Planche III : Les carrières d’extraction de pierres de construction, facteurs de production de matières dommageables à l’échelle urbaine

Photo A : Une carrière d’extraction et ses produits non loin d’un quartier habité vers l’amont de la source de la Ngoubagara.
Photo B : Cette carrière de pierres est connectée à une piste par laquelle les produits sont vendus.
Photo C : Une carrière sur un versant de la Daouba-Kassaï ; la colonisation humaine du site est nette, avec des jeunes manguiers ; bientôt, ce sera le tour de l’habitat.
Photo D : Ces processus créés par l’extraction sont relayés et entretenus par les eaux pluviales qui rongent les couloirs d’évacuation à leur tour. Ici, ce couloir abandonné par l’extraction se réactive par l’écoulement des eaux pluviales dévalant le versant.
Photo E : Le processus prend de l’ampleur ici avec la connexion du couloir artificiel de drainage légué par l’activité extractive et le talweg naturel vers le haut de la Daouba-Kassaï. Les résidus de l’extraction sont mobilisés par les eaux ruisselantes.
Photo F : Vers l’aval, le couloir se transforme en ravin et charrie les fragments de quartzites vers la source de la Ngoubagara. La tache blanchâtre dans le paysage verdoyant vers l’arrière-plan est le toit de l’hôpital de l’Amitié, construit sur un ancien marécage.