Planche V : Le ruissellement urbain et les unités de collecte : bas-fonds et cours d’eau

Photo A : Faute d’exutoire ou de canaux de drainage dans les quartiers populaires, les eaux de ruissellement empruntent les pistes carrossables ou cheminements piétonniers.
Photo B : Connexion entre un ruissellement provenant des quartiers périphériques et les eaux circulant à même sur les voies bitumées, à défaut de canalisation.
Photo C : Idem photo B ; ici les eaux sont acheminées par des rigoles façonnées par l’érosion des sols nus urbains.
Photo D : Phase de décrue progressive après la concentration des eaux pluviales.
Photo E : Le flat marécageux de la Guitangola, avec les eaux chargées et de dépôts frais (de décantation) au lendemain d’une pluie (septembre 1999) ; ces dépôts résultent du ruissellement urbain.
Photo F : Résurgence d’une source sur le site d’un ancien marais, Kalakpata, à Galabadja complètement colonisé par l’habitat en août-septembre 1999 ; due à la pluviométrie exceptionnelle (plus de 2000 mm à la station de Bangui-Orstom), elle a disparu à la fin de l’épisode, comme bien d’autres à l’échelle de la ville, cette année-là.