2 - Des rythmes spécifiques

Etaient arrêtés pour vagabondage des individus qui semblaient ne plus suivre les rythmes essentiels de la vie sociale, c’est-à-dire ceux adoptés par le plus grand nombre. Et l’article 270 du Code Pénal ne signifiait pas autre chose en prenant pour cible les ‘«’ ‘ gens sans aveu, qui n’ont ni domicile certain ni moyens de subsistance et qui n’exercent habituellement aucun métier, aucune profession ’». Il y avait donc deux rythmes fondamentaux à suivre et que les errants ne respectaient plus : celui du travail et celui du logement. Ils correspondaient aux phases de l’entrée en ville et de l’intégration à la cité 1320 . Une étape antérieure doit préalablement être prise en compte : celle de la venue en ville.

Notes
1320.

Phases qui ne concernaient pas seulement les nouveaux venus, mais aussi les populations jeunes natives de la cité.