2-3- Acte de peinture et inclusion réciproque

Au sujet de Laurent, on pourrait alors dire à présent, en restant dans cette mouvance des traces primaires, que les schèmes d’enveloppes, représentants des traces-contacts et de l’empreinte, se doublent pour lui des schèmes de transformation, permettant par ce biais non une inertie passive mais bien une sorte d’inclusion réciproque (S. Ali, 1974): Laurent est inclus dans le groupe en même temps qu’il l’inclut dans sa structure graphique. Tout ceci se déroulerait dans une ambiguïté (au sens de J. Bleger) entre fonctions défensives, sensorielles et symboligènes.