Les processus graphiques plongent leurs racines dans les toutes premières expériences psychiques et corporelles. Une partie d’entre elles découle des premières relations à l’objet. Ces relations, non encore subjectivées, sont objectalisées, l’autre est avant tout une chose hallucinée, matérialisée ou plus psychisée.
Ceci tend à aller dans le sens d’un narcissisme primaire composé de cette double dimension objectale (l’animé) et objective (l’inanimé).
Ces deux composantes se jouent selon les lois présentées ci-dessus : celles qui, non euclidiennes, admettent les concepts de géométrie fractale et, dans la dynamique de la rencontre du sujet avec la matière, d’une force d’attraction exercée par celle-ci sur celui-là.