Mes remerciements vont d’abord à mon directeur de recherche, pour la bienveillante exigence qu’il m’a accordée. Je le remercie tout particulièrement de ne m’avoir jamais parlé ni de mon âge, ni de mon statut professionnel et de m’avoir épargné les louanges blessantes que d’aucuns accordent inconsidérément aux “étudiants méritants”. Il m’a permis d’expérimenter et d’accéder à l’autonomie : j’ai le sentiment qu’il m’a “auteurisé”.
Je remercie Choukri Ben-Ayed de m’avoir prodigué des critiques aussi directes que stimulantes, et de m’avoir (re)donné le goût de la recherche, en m’associant, par anticipation, à une équipe de recherche.
Je remercie François-Régis Guillaume pour les traitements qu’il a effectués dans les fichiers informatiques de la DPD et les éléments de cadrage qu’il a mis à ma disposition.
Je remercie Chantal et Martine pour leur aide dans la transcription sur informatique des entretiens.
Je remercie Claire et Marie-Laure, pour leurs relectures attentives et l’opportunité de leurs remarques.
Je remercie Alyne et Michelle, mes collègues de travail, dont l’engagement professionnel et la bienveillance m’ont permis de dégager du temps et de l’énergie pour ce travail, somme toute sans lien direct avec ce qui nous occupe habituellement.
Et merci à Lucie, pour sa remarque pertinente… à plus d’un titre.
Sans oublier mes proches, qui ont supporté (presque) sans protester mon comportement cyclothymique et mes absences –à tous les sens du terme– d’apprenti chercheur : c’est promis, je ne recommencerai plus.
Quoique…