5- Conclusion 

Ces quelques exemples montrent bien l’ambition de la société civile d’une part, et celle du comité des espaces verts d’autre part ; mais ces types de coopérations restent toujours minimes par rapport aux besoins de la ville, surtout qu’ils ne dépassent pas les mesures ponctuelles ou d’accompagnement.

Aucune enquête publique par exemple au n’a eu lieu à l’échelle de la ville ; aucune participation directe à l’élaboration des objectifs d’une politique ou d’un projet d’espaces verts ou publics n’a été faite…

En résumé, bien qu’il y ait une ambition chez les deux parties, la participation des habitants à l’élaboration de leurs politiques et projets urbains d’espaces publics reste au niveau des souhaits, à l’exception de quelques interventions privées.

Ainsi, un vrai travail s’impose, celui d’une nouvelle définition d’une culture urbaine locale qui pourra englober tout le monde autour d’un projet partagé…