CONCLUSION :
Synthèse des travaux et perspectives théorico-pratiques

‘« Dans ce temps où le corps biologique est de mieux en mieux connu, réparé, les médecins constatent que la souffrance du patient […et de sa famille] échappe à leurs possibilités thérapeutiques. La connaissance biologique de plus en plus parfaite du corps ne s’accompagne pas de la connaissance de la souffrance du sujet qui a d’autres coordonnées que celles de la biologie.
La souffrance du patient, ses symptômes sont en rapport avec le fait que chaque individu parle à l’intérieur. »
Guérin G., in Préface de l’ouvrage de Ginette Raimbault, “Clinique du réel” p 5. ’