A s’en tenir aux impressions premières, les mésaventures de Jim au grand large, puis sur les côtes de l’Océan Indien, ne troublent guère nos réflexions sémiotiques : le code de conduite est en effet assez souvent mentionné (comme « standard of conduct » (Conrad 1900, p.50, par deux fois), ou dans sa variante « ideal of conduct » (pp.121 & 416)) pour que l’on se croie autorisé, avec Joseph Hillis Miller 135 , à rapprocher la problématique du roman de 1900 de celle de la nouvelle de 1911.
1982b, p.26-27 : « The theme of Lord Jim is stated most explicitly towards the end of chapter 5 », où le « standard of conduct » est nommé deux fois.