CHAPITRE IV : THOMAS HARDY ET JOSEPH CONRAD : RÉÉCRIRE LE TRAGIQUE.

Nous avons rappelé dans les chapitres précédents l’intérêt de Hardy pour les ouvrages des grands hommes du dix-neuvième siècle tels que Darwin, Carlyle, Ruskin et Schopenhauer. Son attrait pour des idées nouvelles 674 , sa désillusion face à la société dont il se coupa au fil des ans et son évocation du progrès – notamment du chemin de fer – le situent cependant déjà dans le vingtième siècle où il se distingua d’ailleurs en tant que poète.

Notes
674.

Voir Schweik, in Kramer, pp. 54-72.