La poétique labéenne, dans le sens d’une esthétique particulière aux Euvres, est subversive en ce qu’elle renverse ou inverse de nombreux codes dominants, ce qui tient à sa position d’expression dominée. Dans cette perspective politique, la poétique se refonde en une nouvelle proposition littéraire, en prose et en vers. L’hétérogénéité des Euvres ne nuit en rien à leur profonde cohérence. Labé affiche dans l’ensemble de sa production un double attrait pour le désordre apparent et pour l’ordre caché, en ayant une conscience aiguë des enjeux littéraires et philosophiques de la Renaissance. Les formes génériques choisies pour composer les Euvres – l’écart entre le Privilège et l’ensemble publié prouve assez ce choix – correspondent à la fois à celles préconisées par les théoriciens du temps (Du Bellay, Peletier) et à celles qui doivent apparaître aux lecteurs/trices comme des résurgences de l’ancienne poésie/littérature française. La lisibilité des influences antiques, médiévales et contemporaines est un facteur en faveur d’une variété non-exclusive et par là même d’une poétique très personnelle. Apollon associe en une même phrase l’ensemble de la littérature ancienne et contemporaine de Labé : « et viendront à inventer madrigalles, sonnets, pavanes, passemeses, gaillardes […] serenades, aubades, tournois, […] Comedies, Tragedies, Jeux, Montres, Masques, Moresques… » 1466 . Il n’y a ni distinction ni hiérarchie entre les divers genres évoqués, entre les diverses époques convoquées. La disparité générique non seulement n’empêche en rien l’expression d’une poétique labéenne mais au contraire la fonde sans doute, en est l’élément primordial, du moment que cette disparité est perçue et défendue comme une variété dont le point central est l’Amour et l’Ecriture d’Amour. L’unité thématique est forte ainsi que l’absence de subordination des genres, à laquelle Labé préfère leur coordination ou leur juxtaposition. Cette absence de choix ou d’exclusion se retrouve dans les influences des Euvres, qui témoignent de la culture humaniste de l’auteure, mais aussi de son savoir linguistique dans sa manière de les insérer à son discours, sans cesse à double lecture ou à double tranchant.Après bilan effectué sur l’utilisation des rimes par Louise Labé et autres points de convergences possibles avec les arts poétiques contemporains, Michèle Clément arrive à la conclusion de l’absence de choix réel fait par l’auteure des Euvres entre les « préceptes de Sébillet-Aneau-Des Autels » et ceux de « Du Bellay-Ronsard-Peletier, même si l’on sent chez Labé un penchant pour les nouveautés de la Pléiade » 1467 . C’est la même chose pour les tonalités : la plainte et l’ironie s’entremêlent, ne s’excluent jamais, car les larmes et les rires sont un tout, sont l’humanité dans son ensemble.
Orphée n’apparaît jamais directement dans la poésie comme il apparaît dans la prose, ce qui est déjà un premier indice de la volonté labéenne de mélanger les genres, de mêler les styles. De même, la parole folle d’amour que devrait constituer le lyrisme s’organise dans le cadre étroit des Sonnets dont Labé maîtrise les codes avec virtuosité et la parole de Folie s’exprime dans une rhétorique judiciaire, le Débat, d’une grande efficacité. Poésie lyrique et poésie épique sont associées, par l’intermédiaire de la convocation, à chaque bout de la période rhétorique apollinienne, des deux poètes qui en sont les symboles : « Petrarque en son langage ha fait sa seule afeccion aprocher à la gloire de celui qui ha representé toutes les passions, coutumes, façons, et natures de tous les hommes, qui est Homere » 1468 . La comparaison est d’autant plus probante que Labé écrit son premier sonnet en italien, langue de Pétrarque, en faisant d’Ulysse, héros homérique par excellence, le personnage principal du premier vers de son canzoniere. D’ailleurs, la philosophie et la poésie elles aussi participent d’un tout : « Poëtes et Filozofes » travaillent ensemble, dans le culte d’Amour, donc de la littérature sous toutes ses formes, pour le bien de l’humanité. La persona élégiaque l’avait déjà dit, on peut écrire inspiré par Amour, Phebus, Jupiter ou Mars… 1469 .
Les Euvres sont riches en interférences entre prose et poésie : le mélange des genres se fait autour de l’Amour, et de façon concomitante ou conséquente, d’un culte de l’écriture. C’est là que se définit la poétique labéenne. Amour sous-tend l’ensemble du discours car c’est le fait même de la littérature qui traverse la poétique de façon métapoétique et profondément subversive. La poétique labéenne est une suite de subversions : la première est celle de l’écriture assumée par une femme ; la seconde celle du choix du dialogue philosophique d’influence lucianique ; la troisième celle de l’utilisation de la satire dans le Débat ; la quatrième celle du retournement de situation dans l’expression des genres sociaux masculin et féminin des Elégies et Sonnets ; la cinquième celle de la revendication du plaisir d’aimer et du plaisir d’écrire, supérieur encore ; et ainsi de suite…. Mais la plus importante de toutes, et qui semble les résumer, est celle de l’invention d’un style propre, d’une poétique qui n’a pas besoin de traité pour être théorisée mais se suffit à elle-même dans son expression. Ce style propre est celui du refus de l’exclusion et du cloisonnement entre des genres littéraires et poétiques que les contemporains de Labé veulent théoriser pourtant. Le mélange varié des genres voulu par l’auteure des Euvres et qui constitue la base de sa poétique est celui du décloisonnement d’une esthétique éthique : la poétique de la saillie en est une brillante preuve. Il semble nécessaire de sortir de son genre pour aller vers l’autre : c’est le sens de l’arret interlocutoire prononcé par Jupiter à la fin du Débat, jugement de conciliation qui semble donner la clé des Euvres.
Le mélange des genres est sensible dans la poéticité de la prose labéenne et le prosaïsme de ses vers. Dès l’Epistre se découvre cette prose poétique. Labé évoque rapidement sa pratique de la « Musique » 1470 dont on trouve aisément des exemples par la suite : « Mais celle de l’estude laisse un contentement de soy, qui nous demeure plus longuement » 1471 . A la qualité sonore de la phrase (allitérations en [s] et [m] et assonances nasales, insistant sur la douceur du plaisir produit par l’exercice du savoir et de l’écriture) s’ajoute la qualité rythmique : « le passé nous resjouit et sert plus que le présent / les plaisirs des sentimens se perdent incontinent » 1472 . Ces deux phrases pourraient être des vers de treize syllabes. C’est sur les phrases les plus métapoétiques de son Epistre que Labé joue de sa virtuosité poétique dans la prose. La suite du texte liminaire des Euvres joue sur les assonances en [on / ion], dont on trouve au moins vingt occurrences en seize lignes, celles qui expriment un point de vue collectif, de « nous », de « on ».
Dans le Débat, on trouve plusieurs traces de poéticité de la prose. L’article de Kenneth Varty, intitulé « Quelques aspects poétiques de la prose de Louise Labé », sert notre démonstration : « Bien que mon sujet principal soit la prose de Louise Labé, c’est-à-dire son Débat de Folie et d’Amour, je veux parler surtout de quelques aspects poétiques de cette prose… » 1473 . Si elle connaît les règles de la rhétorique (Christiane Lauvergnat-Gagnière analyse l’utilisation des figures rhétoriques du Débat bien mieux que nous 1474 ), Labé utilise aisément dans sa prose des figures davantage « aux franges de la poétique » 1475 , comme l’explique Françoise Charpentier. L’exemple le plus probant est sans doute celui avancé ensuite par la critique : « Folie la plus outrageuse Furie qui fust es Enfers », aux sonorités cinglantes. Le « souci d’expressivité musicale, sonore et rythmique » 1476 est évident. Cette « prose est intimement liée aux élégies et aux sonnets qui la suivent, et dans cet ordre. Ils forment, ensemble, un tout ; un tout poétique ; une fiction poétique dont l’assemblage fut conçu, sans doute, après la composition des parties constituantes » 1477 . Les exemples ne manquent pas, d’entrelacements des phonèmes, de jeux sonores, de rythmique poétique, dans la prose : « Es tu point quelque Circe, ou Medee, ou quelque Fée ? » 1478 ; « on admire celui que lon pense estre aymé : on parangonne sa beauté, grace, richesse, avec celui duquel on est jalous : puis soudain on le vient à despriser : qu’il n’est possible, estant de si mauvaise grace, qu’il soit aymé : qu’il est impossible qu’il face tant son devoir que nous » 1479 ; « languissons, mourons, brulons d’Amour » 1480 ; « bruler de loin, geler de pres » 1481 . Autres exemples de poéticité de la prose labéenne : « répétitions de sons qui coïncident avec, ou soulignent le sens d’un groupe de mots ; répétitions de constructions syntactiques qui se font équilibre et donnent une forme agréable au passage ; groupes de mots qui se font équilibre et aident à façonner le passage ; des gradations, ascendantes ou descendantes ; des antithèses et des contrastes pittoresques ; des images, y compris des personnifications, des allusions aux célébrités mythologiques ou historiques qui ont leurs propres valeurs poétiques, aussi bien que des comparaisons et des métaphores poétiques, etc… » 1482 . Comme le souligne Kenneth Varty 1483 , nous sommes dans l’ordre de la poésie en prose à plusieurs reprises dans le Débat de Folie et d’Amour, dont le titre lui-même constitue un octosyllabe (même lorsqu’il est inversé : Débat d’Amour et de Folie). Les nombreuses figures d’accumulation hyperbolique qu’on retrouve tant dans le discours d’Apollon que dans celui de Mercure vont aussi dans le sens d’une poétisation rythmique de la prose. Sans vouloir plagier Labé, il semble bien que même dans la prose le plaisir poétique soit en jeu avant tout : « le Débat fait partie intégrante de la fiction poétique qu’est l’œuvre de Louise Labé » 1484 .
Dans les vers, la narration, la description ou l’argumentation sont présentes. L’absence de cloisonnement entre les genres est recherchée par l’auteure des Euvres. Si la description n’est pas le discours le plus souvent choisi par Labé dans ses vers, nous trouvons plusieurs exemples de narration, signalés notamment par Françoise Charpentier 1485 , dans les élégies. Un autre fait d’importance qui réduit le caractère apparemment disparate des Euvres, est l’utilisation de l’humour (satirique, ironique ou burlesque). Françoise Charpentier signale le sonnet XXI 1486 « dont les quatrains, exceptionnellement, me paraissent de ton satirique ; il semble que ce sonnet veuille opposer à des spéculations stériles, quantitatives et de type scolastique, sur l’amour, la réalité absolue et irrationnelle de son vécu » 1487 . Nous lisons dans ce sonnet une ironie sur l’utilisation blasonnante faite par le discours masculin, jusqu’alors dominant, du corps féminin, dominé. Les quatrains de ce sonnet XXI réclament une « lecture parodique » 1488 , tout comme le vers 11 du sonnet II 1489 , nous l’avons vu. L’élégie I se termine d’ailleurs sur un portrait satirique, celui de la « vieille fardee » 1490 , sorte de critique facétieuse du discours d’Apollon qui laissait cependant déjà percevoir la possibilité de l’ironie (« elles demeurent presque tousjours jeunes » 1491 ).
Labé recherche souvent une complicité tendre et facétieuse avec son lectorat comme dans le dernier tercet du sonnet VI :
‘ Tant emploiray de mes yeux le pouvoir,’ ‘ Pour dessus lui plus de credit avoir,’ ‘ Qu’en peu de temps feray grande conqueste… 1492 ’où la persona lyrique semble se jouer des codes habituels du discours dominant. Les femmes se servent de leur pouvoir sur les hommes, notamment ceux de leurs yeux, pour les dominer, alors que le Débat a déjà mis en évidence le caractère fantasmatique et mensonger d’une telle proposition : « Dire que c’est la force de l’œil de la chose aymee… » 1493 . En s’emparant du discours satirique, ironique, burlesque, voire tout simplement facétieux (dans un humour qui se fonde sur la complicité des lecteurs/trices avec le texte qu’ils lisent, essai de « poésie comique » nous dit Charpentier 1494 ), Louise Labé sert sa poétique, subversive, conciliatrice et politique.
Indéniablement, Louise Labé n’est pas seulement une poète : c’est une auteure qui remet en question la notion de genres littéraires avant même qu’elle ait été réellement théorisée. Sa poétique se fonde sur le décloisonnement et l’émulation, celle du rire et des larmes, mêlés, mélangés, comme dans la réalité. Cela nous conduit à devoir définir en deux mots cette poétique : elle est moderne et simple. En ayant conscience de l’anachronisme de l’utilisation d’un tel adjectif pour définir une poétique renaissante, nous entendons par moderne ce qui est du temps de celui/celle qui parle, ce qui est actuel, contemporain, récent. Labé est de son temps. D’ailleurs, Giudici s’y est laissé piéger, comme le relève Daniel Martin 1495 , repoussant l’ambiguïté de la sentence du Débat comme trop moderne. L’« ensemble des pièces des Œuvres regarde vers le présent », nous précise Michèle Clément. La modernité de la poétique labéenne tient dans sa capacité à produire un texte bigarré mais cohérent, car la bigarrure même sert la cohérence. Sa lyre est véritablement humaniste. D’ailleurs, Labé a répondu aux impératifs de Des Autels qui voulait damer le pion à la Pléiade en inventant enfin une prose française digne de ce nom par l’intermédiaire de son Débat. Elle produit une « fiction française en prose qui ne ressemble à rien de connu. Voilà en quoi elle serait une réponse vraiment dérangeante aux positions de la Pléiade » 1496 .
Le véritable enjeu des années 1554-1555 est « de trouver le style qui fasse l’œuvre pas “trop obscur[e] au simple populaire” » 1497 . Il s’agit de revenir sur l’art de pétrarquiser. Du Bellay s’oppose depuis 1553 au pétrarquisme forcené et veut « d’amour franchement deviser ». Or, la mise en question du discours pétrarquiste est évidente dans les Euvres qui cultivent habilement les paradoxes. C’est ce qu’on trouve dans le sonnet XXIII, notamment dans le constat fait au premier tercet :
‘ Donques c’estoit le but de ta malice’ ‘ De m’asservir sous ombre de service ? 1498 ’Louise Labé veut faire œuvre simple, dans le sens de moderne. Puisque Maurice Scève avait été « obscur », il fallait que se lève dans le ciel de Lyon un nouveau soleil qui puisse répondre parfaitement aux attentes du moment. G.A. Pérouse lit dans le sonnet 7 des Escriz, contribution de Claude de Taillemont, la révélation de la reconnaissance du milieu lettré de la Capitale des Gaules envers la place à donner à Louise Labé, nouveau « soleil » lyonnais : « On se souvient que Pernette Du Guillet, dix ans auparavant, appelait Scève son “soleil”. Le jeune Taillemont, constatant le silence de Scève depuis la Délie, en tout cas depuis la Saulsaye (1547), et pressé de voir triompher la poésie, ne voudrait-il pas ici, en termes figurés, saluer la naissance d’un nouvel astre au firmament des Muses. Si Scève veut faire retraite et renier l’amour d’où procède toute poésie, alors un autre Phébus le remplacera. Pour qui accepte cette lecture, il est clair que l’œuvre de Louise est un prétexte à parler d’amour, et surtout de poésie » 1499 . C’est d’ailleurs Maurice Scève qui joue le rôle de « passeur » dans les Escriz puisqu’il occupe une place privilégiée (premier sonnet français).
Le style labéen est limpide : l’auteure semble mettre toute sa virtuosité, tant prosaïque que poétique, au service de la simplicité. Elle évite d’utiliser dans ses vers les figures mythologiques ampoulées, et les introduit plus facilement dans sa prose. Ses vers ne sont donc jamais alourdis de références antiques obscures pour le lecteur, contrairement à ce qu’un pétrarquisme outrancier encore très actif en 1555 était capable de produire. La densité qu’exige la taille du canzoniere labéen et le choix que l’auteure a fait de le faire précéder de prose et d’élégies sont autant d’explications possibles à cette limpidité des vingt-quatre sonnets, où ce qui se joue est bien l’invention d’un lyrisme simplifié, esthétiquement parlant. G. A. Pérouse oppose la limpidité labéenne à l’obscurité de Taillemont 1500 . Au cœur des Euvres se trouvent des manifestations comparatives de ce type : au sonnet XXI, défi envers le pétrarquisme, s’oppose le caractère ampoulé et obscur à qui ne connaît sa mythologie, de l’ode XXI, qui revient elle aussi sur le Débat et la mise en évidence par Mercure de l’aspect possiblement mensonger de la poésie apollinienne
‘Qui de langue plus diserte’ ‘Fait le Musagete orer’ ‘Contre l’éloquence experte’ ‘Du Dieu qui peut atirer’ ‘Par le caut de son parler’ ‘L’erreur à la vraye trace… 1501 ’Echo à la ruse malicieuse d’Ulysse qui se trouve cependant manquer de clairvoyance au sonnet I du canzoniere labéen, ces vers mettent en évidence la limpidité et la lisibilité du discours labéen, face au vers entortillonné de l’ode des Escriz.
La simplicité labéenne n’est ni ontologique, ni sociologique, ni morale mais esthétique. Elle procède d’un « dous stile », celui précisément évoqué par Peletier dans l’ode qu’il dédie à Labé et qui intervient dans le volume qui contient son Art Poétique. Ce « dous stile » labéen est moderne en ce que l’art poétique de Peletier est bien le plus récent par rapport aux Euvres. « Louise Labé atteint à une fluidité dans la prose comme dans les vers, qui semble répondre à un impératif de douceur (quasi comme à un cahier des charges) » 1502 , douceur qui correspond à la quête de simplicité voulue par Peletier et que suit Du Bellay, et que suivra Ronsard… Labé va jusqu’à resémantiser un topos pétrarquiste, celui des antithèses, dans son sonnet VIII : la concomitance des états contraires n’est plus seulement un code mais une véritable association lucide et pragmatique, celle qui fait qu’on peut en « tout » en même temps « plorer et rire », comme il est dit dans l’élégie II 1503 , et « chanter » ajouterait Amour 1504 .
Ibid., p. 76.
Michèle CLÉMENT, « Louise Labé et les arts poétiques », art. cit., p. 71.
Louise LABÉ, Œuvres complètes, op. cit., p. 77.
Ibid., p. 107.
Ibid., p. 41.
Ibid., p. 42.
Ibid.
Kenneth VARTY, « Quelques aspects poétiques de la prose de Louise Labé » in IlRinascimento a Lione, op. cit., p. 965.
Christiane LAUVERGNAT-GAGNIÈRE, « La rhétorique dans le Débat de Folie et d’Amour », art. cit., p. 242.
Françoise CHARPENTIER, « Le Débat de Louise et d’Amour », art. cit., p. 214.
Ibid.
Kenneth VARTY, « Quelques aspects poétiques de la prose de Louise Labé », art. cit., p. 965.
Louise LABÉ, Œuvres complètes, op. cit., p. 52.
Ibid., p. 95.
Ibid.
Ibid., p. 98.
Kenneth VARTY, « Quelques aspects poétiques de la prose de Louise Labé », art. cit., p. 969.
Ibid., pp. 976 à 979, notamment. Le critique compare la prose poétique labéenne avec celle de la traduction des Asolani de Bembo, traduit en français en 1545.
Ibid., p. 969.
Françoise CHARPENTIER, « Le Débat de Louise et d’Amour », art. cit., p. 217.
Ibid., pp. 132-133.
Françoise CHARPENTIER, « Le Débat de Louise et d’Amour », art. cit., p. 200.
Ibid., p. 201.
Louise LABÉ, Œuvres complètes, op. cit., p. 122.
Ibid., pp. 109-110.
Ibid., p. 75.
Ibid., p. 124.
Ibid., p. 92.
Françoise CHARPENTIER, « Le Débat de Louise et d’Amour », art. cit., pp. 213-214.
Daniel MARTIN, Louise Labé, op. cit., p. 107.
Michèle CLÉMENT, « Louise Labé et les arts poétiques », art. cit., p. 72.
Ibid., p. 71.
Louise LABÉ, Œuvres complètes, op. cit., p. 134.
Gabriel André PÉROUSE, « Louise Labé, Claude de Taillemont et “Jeanne Flore” », art. cit., p. 83.
Ibid., p. 85.
Louise LABÉ, Œuvres complètes, op. cit., pp. 176-177.
Michèle CLÉMENT, « Louise Labé et les arts poétiques », art. cit., p. 72.
Louise LABÉ, Œuvres complètes, op. cit., p. 118.
Ibid., p. 63.