Je dédie ce travail à :
Mon regretté père, toi qui aurais été si fier de moi
Ma mère
Mes frères et sœurs
Toute ma famille, de la lignée Diabe-di-Kotsi
J’adresse mes REMERCIEMENTS à :
Professeur Mohamed LAHLOU d’avoir accepté de diriger et pour m’avoir accompagné tout au long de cette recherche.
MM les Professeurs Bernard CHOUVIER, Pascal ROMAN, Université Lumière Lyon 2 et à Michel WAWRZYNIAK, Université de Picardie Jules Verne, pour les discussions riches d’enseignement qui m’ont permis d’avancer dans ma réflexion.
MM. les Professeurs, Jean-Marie BESSE et Serban IONESCU d’avoir accepté de participer à l’évaluation de ce travail.
Je suis très honoré de votre présence dans ce Jury.
Tous mes remerciements aussi à :
MM. BISSIEMOU-BI KONDOU, Godefroy MAYOMBO, psychologues cliniciens, Dr Frédéric MBUNGU MABIALA et aux infirmiers de l’hôpital psychiatrique de Mélen pour votre aide sur le terrain ; Samuel MBADINGA, Onanga OPAPE, Enseignants en Psychologie à l’Université Omar Bongo de Libreville.
Mon très cher Daniel DERIVOIS, pour ton précieux temps d’écoute, de discussion et de capacité de contenance ; Anne et Odile, merci pour votre disponibilité et votre présence.
J’adresse spécialement mes remerciements à :
Mes parents et à toute la famille de la lignée Diabe-di-Kotsi ; mes frères et sœurs, pour votre présence éternelle.
Emma Prisca, pour ta présence et ton réconfort ; Aimé-Brice et sa petite famille, Guy Armel, Marina pour m’avoir permis de maintenir la fibre familiale ; André-Marie, Alain, Gildas, Nicaise, Simplice, Hervé et Marcelle Emma, Exare, pour m’avoir permis de maintenir mes relations avec la communauté gabonaise.