Ce document est diffusé sous le contrat Creative Commons « Paternité – pas d’utilisation commerciale - pas de modification » : vous êtes libre de le reproduire, de le distribuer et de le communiquer au public à condition d’en mentionner le nom de l’auteur et de ne pas le modifier, le transformer, l’adapter ni l’utiliser à des fins commerciales.
A mes parents
Si je suis arrivée à mener au bout cette entreprise passionnante mais difficile, c’est certainement grâce à ceux qui m’ont accompagnée et soutenue tout au long de ce chemin, entre la Roumanie et la France.
Je remercie particulièrement François LAPLANTINE qui m’a fait entièrement confiance, et dont le regard ethnologique m’a aidé à comprendre plus en nuance le travail de notre discipline. Je remercie également Traian ROTARIU qui m’a offert tout son soutien à Cluj et qui m’a orientée pour mener à bien mes recherches sur place. En outre, je suis très reconnaissante au Centre d’Etude et de Recherches Anthropologiques qui m’a accueillie à Lyon durant six ans et aux deux universités qui m’ont offert le cadre institutionnel nécessaire pour mener un travail en cotutelle. L’expérience riche de ces échanges m’a permis de rencontrer, en France et en Roumanie, des interlocuteurs qui ont joué un rôle essentiel dans ma formation.
Le travail de thèse se nourrit de liens et d'expériences antérieures. Cela m’amène à évoquer Vintila MIHAILESCU, le premier qui a suscité ma curiosité et mon intérêt pour cette discipline. Les recherches de terrains que mes collègues étudiants de l’Université de Bucarest et moi avons menées sous son regard vif et chaleureux sont certainement les premiers pas dans un chemin dont une étape se termine aujourd’hui. Parler de la Roumanie m’oblige à parler de la France, car depuis six ans l’une n’existe plus pour moi sans l’autre. Si ce travail aboutit aujourd'hui, je le dois en grande partie au fort soutien dont m'ont entourée en particulier Dominique BELKIS et Denis CERCLET, qui m’ont accueillie lors de mon arrivée en France, m’ont offert leur confiance et m’ont soutenue dans chaque étape difficile de ce long parcours. Je les remercie pour leur patience.
Ce travail n’aurait certainement pas été possible sans la participation de tous ceux que j’ai rencontré en Transylvanie et qui ont pris le temps de discuter avec moi sur des sujets qui, parfois, les intriguaient ou les indignaient. La liste serait trop longue si je devais citer toutes les personnes rencontrées dans les institutions et les associations de Cluj qui m’ont offert leur soutien. Néanmoins, j’évoquerais les noms de Tudor SALAGEAN, Andor HORVATH, Valér VERES, Melinda si Sorin MITU dont les conseils et l’amitié m’ont accompagnée et m’ont permis de ne pas me perdre dans l’univers très complexe et infiniment compliqué de la Transylvanie.
Sans oublier ceux qui ont été les plus proches de moi dans les moments les plus difficiles de cette entreprise, je remercie Sylvain et mes parents (malgré leur éloignement) pour leur présence constante à mes côtés.
Enfin, je remercie tous ceux qui, d’une manière ou d’une autre, m’ont aidée, conseillée et inspirée dans ce travail d’écriture, qui est aussi le fruit de ces rencontres.