A/ Entre politique et éthique

”De nouveaux modes de vie” pour pierre d’angle

Au lendemain de l'assemblée plénière de 1978, le conseil permanent demande à la commission sociale de l'épiscopat de travailler à définir les contours d'une intervention épiscopale sur la situation économique de la France. Une série de tables rondes s’organise entre 1979 à 1981. Après une série d’auditions, la commission propose un document intermédiaire : ”Droit au travail et à l'emploi”, en juillet 1981 944 . Remis en chantier, ce texte aboutit finalement à une déclaration du conseil permanent le 22 septembre 1982 intitulé ”Pour de nouveaux modes de vie”. Centré sur l'emploi, la justice et la redistribution, ce texte s'interroge sur des modalités possibles de redistribution du travail au sein de la société française. ”C'est ce document remis sur le chantier par la commission sociale, aidée de laïcs, de religieux, de prêtres, qui est aux sources de la déclaration du conseil permanent”, indique Mgr Derouet 945 .

C’est le 27 septembre 1982 que le secrétariat général de l'épiscopat rend public le document. ”Dans le cadre de leur responsabilité pastorale, les évêques parlent. Il le faut dans le contexte de la société française globale et non par rapport à tel ou tel pouvoir politique passé ou actuel. Ils sont en contact quotidien avec des personnes et des groupes concernés par cette situation. L'Église n'entend donner de leçon à personne. Mais elle a pour mission, à l'exemple même du Christ, de susciter des attitudes nouvelles inspirées par le sens chrétien de la solidarité, la justice et l'équité” 946 . Apolitique, le texte aborde diverses problématiques pour autant de points d'attention. ”Ils ne s'adressent pas tous à tout le monde. A chacun et chacune, à chaque groupe, de voir ceux qui les concernent davantage, de les approfondir ou d'en inventer d'autres”. Pour Mgr Derouet, le texte a vocation à être discuté : ”Les diocèses vont maintenant demander aux groupes de chrétiens, dans les paroisses, d'étudier le texte et d'envoyer leurs réactions. Un appel identique est adressé aux mouvements apostoliques. A Lourdes, le conseil permanent va certainement examiner comment reprendre cet ensemble au niveau national et voir avec les commissions compétentes quelles suites il conviendra de donner” 947 .

Ainsi, pour Mgr Derouet, le ”premier objectif a été de nous faire entendre” 948 . Or il faut remonter au document ”Pour une pratique chrétienne de la politique” (1972) pour voir un texte épiscopal aussi commenté 949 . Le 2 octobre, Le Monde publie le document dans sa quasi-intégralité, à l'exception de ses deux premiers chapitres 950 . François Simon en fait un long commentaire. ”On pourrait penser que les évêques se sont méfiés de ”l'économisme””, s'enthousiasme-t-il 951 . Concédant le caractère discutable de certaines des propositions épiscopales, il n'en demeure pas moins positif sur la teneur du document. L'article fourmille alors de références aux travaux de l'économiste, Jean Boissonnat, de l'ancien commissaire général au plan, Michel Albert 952 et du maître de recherche au CNRS, Jean-Marie Albertini 953 . Il s'agit ni plus ni moins de trouver une paternité, une afiliation intellectuelle à la réflexion épiscopale. Les commentaires de la presse ne sont cependant pas unanimes et, très vite, Le Monde titre sur les ”coups de crosse sur les évêques” dans sa revue de presse du 13 octobre 954 .

Face à ce flot de réactions, La Croix propose une enquête en deux volets au titre évocateur : ”Quand les évêques font choc”, les 13 et 14 octobre 1982. A cet instant, La Documentation catholique a déjà diffusé 200 000 exemplaires des ”nouveaux modes de vie” et les éditions du Centurion en proposent une présentation agrémentée de notes, commentaires du père Defois. Des annexes reproduisent un extrait de l'encyclique Laborem exercens de Jean-Paul II, les déclarations de l'assemblée plénière de l'épiscopat français de 1975 et du conseil permanent de 1979. Diffusé auprès des mouvements d'Église, ronéotypé dans les paroisses, le texte épiscopal fait réagir.

La position la plus délicate incombe à l'action catholique des milieux indépendants (ACI) ainsi qu'au mouvement des cadres chrétiens (MCC) qui ont alors le sentiment d'être stigmatisés par le texte épiscopal 955 . L'ACI y dénonce ”trop de confusions entre le ”légal” et le ”moral” ” 956 . Le Secours catholique apporte un soutien conditionnel au texte épiscopal. ”Nous sentons la présence des pauvres, bien que l'expression soit floue”, commente l'organisation qui regrette que le Tiers-Monde ne soit évoqué que sous forme d'allusion. ”En tant que Secours catholique, il n'y a rien à dire sur les propositions qui relèvent de la conscience de chacun. Peut-être cela mériterait-il toutefois un peu plus d'analyse ?”, suggère-t-il 957 . ”Sur le plan pédagogique, les propositions apparaissent toutes ou presque comme négatives, car trop individuelles” 958 . Reste que le bureau national s'engage à diffuser le texte à l'ensemble de ses délégations diocésaines ”car c'est une occasion intéressante de dialogue” 959 . Très critique sur la place réservée aux femmes dans le texte de 1979, l'action catholique générale des femmes insiste sur le fait que les ”nouveaux modes de vie” ”précise bien que le renoncement de ”de l'homme ou de la femme faciliterait le partage du travail” ” 960 . Le MRJC salue la teneur politique du texte. Le mouvement rural n'en demeure pas moins sur sa faim concernant l'évocation des rapports Nord-Sud et déplore une focalisation de l'analyse sur le salariat 961 .

Observant les nuances engagées dans les débats, Félix Lacambre salue un pluralisme catholique. Restent ”ces regrets de ne pas avoir été suffisamment associés à la préparation. D'où ce problème que l'on retrouve sans cesse et qu'avait bien vu Paul VI dans sa lettre au cardinal Roy : ”Il nous est difficile de prononcer une parole unique, comme de proposer une solution qui ait valeur universelle” ” 962 . Le président de la commission sociale, Mgr Rozier, ne tarde pas à réagir et adresse un texte à la presse chrétienne que La Croix publie le 16 octobre. Il s'efforce de préciser la portée du texte discuté. ”Les propositions qui sont faites, ne se veulent pas comme des modèles ni comme des principes de solutions, mais comme des points d'attention susceptibles de concrétiser l'interpellation”, insiste l’évêque de Poitiers 963 . Et de se défendre de tout positionnement politique : il s'agit alors d'une ”recherche et de la mise en œuvre d'une éthique dans l'économie” 964 .

Réuni à Versailles le 20 novembre 1982, le comité national de Vivre ensemble l'évangile aujourd'hui (VEA) réagit officiellement. ”Recevant la déclaration du conseil permanent de l'épiscopat ”pour de nouveaux modes de vie”, VEA - mouvement d'action catholique générale, est très sensible aux expressions de ”partage, ouverture, solidarité, justice, paix”, car ses membres se veulent attentifs et présents à tout ce qui concerne la vie des hommes ensemble, tant dans la société civile que dans la communauté ecclésiale. VEA apprécie que soit analysées les causes de la crise et affirmé que des actes doivent être posés, signifiants pour les hommes d'aujourd'hui, sans que rien ne soit imposé” Toutefois, des points d'attention restent à creuser. Ainsi VEA attire-t-il l'attention des évêques sur la dimension collective de l'économie. ”Ne convient-il pas, au-delà des actes personnels d'attirer plus l'attention sur les situations collectives et les ”lieux de décision” où se joue l'évolution de la société ? De mieux intégrer le Tiers-Monde à cette réflexion qui reste souvent assez hexagonale ? De veiller à tenir un langage crédible alors que des théories économiques divergent ?”. Le mouvement invite alors tous ses membres à ”se laisser interpeller par le document épiscopal”. Sa lecture est même fortement recommandée pour initier de nouvelles pistes de réflexion et d'action concrètes au sein du mouvement. ”Ils répondront ainsi non seulement à des exigences de solidarité, mais aussi à des appels de conversion, contribution à la mission d'évangélisation de l'Église à travers la transformation de la société”, conclut le comité national 965 .

L'action catholique ouvrière (ACO) regrette de ne pas avoir été associée à la réflexion de l'épiscopat. ”Ce que nous ressaisissons et partageons de la condition des travailleurs aurait pu enrichir la réflexion des évêques en vue de l'élaboration d'un tel texte”, souligne le secrétariat national du mouvement. Outre la critique sur la forme, l'ACO reproche aux évêques de n'envisager le problème économique qu'en termes individuels et non collectifs 966 . A l'inverse, celui-ci a été ”bien accueilli dans le mouvement” déclare le président de la jeunesse indépendante chrétienne (JIC), Bertrand Thomas qui l'inscrit à l'ordre du jour du prochain congrès national du mouvement en mai 1983. Jean Mahé, président de la jeunesse ouvrière chrétienne (JOC), approuve ”l'esprit du document”. Il regrette cependant que ”ce texte [soit] marqué par une forte tonalité ”classe moyenne”. Ainsi, dans les familles ouvrières, s'il y a deux salaires c'est, d'abord, par nécessité économique” 967 .

L'audience du texte épiscopal est tel que le grand ”Jury RTL - Le Monde” accueille le père Defois le soir de la Pentecôte afin d'en discuter la pertinence 968 . Le secrétaire général de l'épiscopat se prête alors à un exercice de sociologie. ”On constate une tendance très ferme dans tous les pays de l'Europe de l'Ouest à un repli sur soi, sur le couple, sur le petit groupe, sur l'individu. Il me semble qu'aujourd'hui se mettent en place des réflexes individualistes dans la société française. Parler de solidarité, c'est prendre conscience de nos interdépendances. […] La solidarité me semble être une question de survie à une époque où l'être ne peut pas affronter ses propres problèmes” 969 .

A la demande la commission sociale, le magazine Fêtes et saisons propose un numéro spécial consacré aux chrétiens et l'économie. Ce numéro est mis à la disposition des curés, des responsables de communauté ou de groupe comme instrument de base pour une réflexion en vue du Carême 970 . Il s'agit alors pour l'épiscopat de canaliser les nombreuses réactions approbatrices ou critiques aux ”nouveaux modes de vie”. L’enjeu consiste également à stimuler ou accompagner la mise en route de divers groupes de réflexion et d'action sur le sujet.

Les revues jésuites accompagnent la réception du texte. Les Cahiers proposent d'opérer un discernement d'ordre moral et spirituel de la crise actuelle à partir du document : ”Relisant les trois parties de la déclaration des évêques et réfléchissant à partir d'elles, il est possible d'adresser aux Cahiers ses suggestions sur les points suivants” 971 indique la rédaction tout en rappelant qu'il ”ne s'agit pas de faire la critique du texte, mais celle des réalités, des situations !” 972 .

Au niveau associatif, Gabriel Marc apporte son plein soutien au document épiscopal dans une tribune publiée le 3 février 1983 en quatrième de couverture de La Croix. Le président du C.C.F.D. en appelle à la mise en œuvre d'une pastorale spécifique aux ”nouveaux modes de vie”. Les corps intermédiaires interviennent alors comme les relais déterminants du document épiscopal 973 :

‘Il y faudra quelque temps et quelque ingéniosité. Mais inévitablement surgira un jour la sanction du risque pris par les évêques en produisant ce texte. S'il est ramené au statut de sujet de discours, bienveillant ou polémique ; pire encore, s'il conduit à des refus, un non-pouvoir ou un non-vouloir massif de chrétiens qui continueraient de vociférer dans les rues pour leurs droits acquis et contre la solidarité, cela manifestera que le christianisme réel, parfois très virulent pour ses intérêts, n'a rien à voir avec Jésus-Christ. L'Évangile alors ne sera plus, pour les païens, qu'une sympathique utopie de quelques décennies il y a deux milles ans, et une couverture chamarrée dissimulant les noirceurs habituelles des hommes.
L'enjeu est tel que cela mériterait bien un effort pastoral résolu pour que l'appel soit entendu par ceux à qui il est destiné.’

En mars 1983, la revue Etudes organise un colloque sur l'opinion dans l'Église. Parmi les intervenants - journalistes, sociologues, historiens, prêtres, évêques – Mgr Derouet noue une discussion avec les intervenants autour de la réception du document ”Pour de nouveaux modes de vie”. A cette occasion l'évêque de Sées tente, en présence de Mgr Hamer de la congrégation pour la doctrine de la foi, de qualifier le texte référence de l'épiscopat. Celui-ci n'est ”ni un cri prophétique, ni une encyclique, mais une déclaration”, indique Mgr Derouet 974 .

Le 15 mars 1983, c'est au tour des Cahiers de livrer quelques réflexions de lecteurs élaborées à partir de la grille de lecture proposée par la rédaction de la revue pour une meilleure appréhension du texte. Un consensus semble se dessiner autour du diagnostic de la crise économique, à la fois en terme d'emploi et de revenus. ”Économique, la crise est également morale avec une tendance marquée à l'irresponsabilité”, complète un groupe de Malakoff. Un groupe de lecteurs à Maisoncelles dénonce ”un non-respect de l'autre, un phénomène de chacun pour soi ; on a une place au travail, on y fait son ”trou” et on attend que ça passe” 975 . Les thèmes de la protection sociale et la solidarité par l'impôt font également l'objet de remarques avec une évaluation de l'Etat et des pratiques individuelles.

Outre ces points de discussion, le volet emploi et partage du travail de la déclaration épiscopale est ”incontestablement l'un des points les plus controversés” relève la rédaction des Cahiers. La proposition des évêques concernant les doubles salaires dans un foyer est interprétée comme un désaveu du travail féminin. Outre ce point litigieux, les lecteurs discutent la priorité à l'emploi donnée au chef de famille. Un groupe Vie chrétienne du Val-de-Marne insiste sur l'éthique personnelle à avoir pour répondre à l'appel des évêques en matière de consommation. ”Ce ne sont pas nos options politiques ou les structures qu'il faut changer, mais les mentalités - et d'abord la nôtre et celle de notre entourage. Comment s'associer à d'autres pour agir en ce sens ? Nous sommes bien peu nombreux et trop dispersés…”, déplore le groupe 976 .

Au mois de mai 1983, Mgr Rozier publie un communiqué revenant sur le document du conseil permanent après l'organisation de forums, de conférences et de groupes de travail autour du texte durant l'hiver 1982-1983. Le président de la commission sociale annonce la définition d'un programme de réception plus poussé de la déclaration. Du 12 au 15 juillet 1984, le centre jésuite LesFontaines propose une session à l'intention des laïcs en position de responsabilités dans l'Église et dans la vie sociale, professionnelle et politique autour du thème ”pour de nouveaux modes de vie” : ”Dans les débats actuels sur l'économie et la vie sociale, quelles valeurs (et quelles représentations idéologiques) sont mises en question ? Quelles autres valeurs, les nouvelles conditions économiques et sociales amènent-elles à privilégier ? Quelle parole l'Église peut-elle, doit-elle prononcer aujourd'hui ?”

Pour sa part, le Ceras prépare et publie un numéro hors-série des Cahiers dans lequel il est rappelé l'intérêt que porte historiquement l'épiscopat à l'économie. Le texte est accompagné d'un tour d'horizon des réactions qu'il a provoquées. Une grille de travail suggère des thèmes à approfondir (travail, croissance, entreprise, éthique de l'argent, etc.) avec des éclairages fournis par des études sur le partage du travail, l'impôt, la protection sociale et l'encyclique de Jean-Paul II sur le travail (1981). En annexe, on retrouve le texte de l'épiscopat ”Croissance économique, civilisation et Évangile” (1975), une bibliographie et un répertoire des textes publiés par l'épiscopat français.

L'épiscopat décide de prolonger le débat avec les communautés chrétiennes. Mgr Rozier, président de la commission sociale annonce la tenue d'un colloque à l'institut catholique de Paris comme ”suite aux nouveaux modes de vie” pour les 23 et 24 novembre 1984. Celui-ci s'intitule : ”pratique économique, éthique de l'Église”. Ce faisant, le président de la commission sociale recommande aux groupes et organismes d'Église aux communautés chrétiennes de reprendre la grille de lecture des Cahiers pour organiser leur réflexion autour des ”nouveaux modes de vie”.

Dans le même temps, Denis Maugenest (s.j.) s'applique à ressaisir des réactions catholiques au texte de sorte que s'esquissent quelques pistes de réflexions pour une pratique chrétienne de l'économie. Les recommandations dans la lecture du texte épiscopal sont d'ordre méthodologique. Il ne fait aucun doute pour Denis Maugenest que les évêques vont être appelés à un ”travail complémentaire d'élucidation et d'éclaircissement” pour articuler les trois niveaux personnel, collectif et public du comportement moral 977 .”Sans doute, ces différents niveaux ne peuvent pas être séparés et dissociés les uns des autres ; mieux, ils sont articulés les uns aux autres. Ils ne le sont pas pour autant en continuité simple, et il faudra se garder d'un amalgame entre eux” 978 .

Notes
944.

Commission sociale de l'épiscopat, ”Réflexion sur le droit au travail et à l'emploi”, Documents-Episcopat, 13, juillet 1981, 16 pages

945.

Félix Lacambre & Bénédicte de Peretti, ”Comment est né le texte”, La Croix, 13 octobre 1982

946.

Snop, n°474, 29 septembre 1982

947.

Félix Lacambre & Bénédicte de Peretti, ”Comment est né le texte”, op.cit.

948.

Ibid

949.

Le 29 septembre, Le Monde titre en Une sur ”Église et politique”. L'éditorialiste indique que ”c'est la première fois qu'ils interviennent avec une pareille vigueur” depuis la publication, en 1972, du document ”Pour une pratique chrétienne de la politique”. Anonyme, ”Église et politique”, Le Monde, 29 septembre 1982

950.

Anonyme, ”Pour de nouveaux modes de vie”, Le Monde, 2 octobre 1982

951.

François Simon, ”L'individu et les lois ordinaires de l'économie”, La Croix, 2 octobre 1982

952.

Michel Albert, Le pari français, Paris, Seuil, 1982

953.

Jean-Marie Albertini, Les rouages de l'économie, Paris, éditions ouvrières,

954.

Jean-Yves L., ”Coups de crosse sur les évêques”, Le Monde, 13 octobre 1982

955.

Henri Tincq, ”On ne peut pas répéter le passé”, La Croix, 30 septembre & 1er octobre 1984

956.

Anonyme, ”A.C.I. : cela prête à confusion”, La Croix, 14 octobre 1982

957.

Anonyme, ”Secours catholique : Oui, mais…”, La Croix, 13 octobre 1982

958.

Ibid

959.

Ibid

960.

Anonyme, ”ACGF : Et les femmes !”, La Croix, 13 octobre 1982

961.

Anonyme, ”MRJC : Et nous ?”, La Croix, 14 octobre 1982

962.

Félix Lacambre, ”Impossible parole”, La Croix, 14 octobre 1982

963.

Mgr Rozier, ”L'invitation à de nouveaux modes de vie”, La Croix, 16 octobre 1982

964.

Ibid

965.

Snop, n°482, 8 décembre 1982

966.

André Vimeux, ”L'ACO et les modes de vie”, Témoignage chrétien, 2005, 13 décembre 1982

967.

Anonyme, ”Modes de vie”, Témoignage chrétien, 2000, 8 novembre 1982

968.

Anonyme, ”Pas question d'entrer dans le jeu politique”, La Croix, 24 & 25 mai 1983

969.

Henri Tincq, ”La solidarité, une idée neuve”, La Croix, 27 mai 1983

970.

Collectif, ”Les chrétiens et l'économie”, Fêtes et saisons, février 1984

971.

”Pour de nouveaux modes de vie”, Cahiers de l'actualité religieuse et sociale, n°257, 15 décembre 1982

972.

Snop, n°487, 19 janvier 1983

973.

Gabriel Marc, ”Évangile et modes de vie”, La Croix, 4 février 1983

974.

Anonyme, ”Le risque d'être sommaire”, Témoignage chrétien, 2018, 14 mars 1983

975.

Anonyme, ”De la crise économique à de nouveaux modes de vie”, Cahiers d'actualité religieuse et sociale, 263, 15 mars 1983, page 180

976.

Ibid, page 184

977.

”Il sera important de clarifier davantage les relations entre trois niveaux des comportements et de l'agir social : celui des personnes et des petits groupes, celui de la société toute entière (de la collectivité), celui de l'Etat et des pouvoirs publics avec les moyens qui leurs sont propres (institutions). La déclaration épiscopale visait confusément tantôt l'un, tantôt l'autre de ces lieux différents. […]” DenisMaugenest, ”Quelle pratique chrétienne de l'économie ?”, Cahiers d'actualité religieuse et sociale, 263, 15 mars 1983, pp. 186-187

978.

DenisMaugenest, ”Quelle pratique chrétienne de l'économie ?”, Cahiers d'actualité religieuse et sociale, 263, 15 mars 1983, pp. 186-187