Pierre Drevet a eu trois élèves attestés par Pierre-Jean Mariette qui a dressé la liste de leur œuvre respectif, en ayant soin de noter pour chacun d’entre eux ― parmi les estampes signées ou non, portant l’excudit de Drevet ― celles exécutées avec son aide 350 . Ce document fiable nous a permis de réparer les erreurs d’attribution qui ont été commises jusqu’à aujourd’hui.
François Chéreau et Simon Vallée étaient de quatre ans plus âgés que Michel Dossier. Des trois élèves de Pierre Drevet, seul François Chéreau atteindra l’habileté et la dextérité de son maître et sera ainsi reçu à l’Académie royale de peinture, de sculpture et de gravure en 1718 351 . Il gravera pour Rigaud et ne manquera pas de commanditaires 352 . Il aurait fait une brillante carrière si la mort n’avait interrompu ses activités en 1729 353 . François Chéreau avait été formé par Girard Audran 354 avant d’entrer dans l’atelier de Pierre Drevet où il devait rester peu de temps, sans doute, car seuls deux cuivres gravés par Chéreau portent l’excudit de Drevet. L’un est le Christ aux Anges d’après l’estampe de Gérard Edelinck sur un modèle de Charles Le Brun 355 dont Mariette dit qu’il a été gravé « par François Chéreau l’aisné dans le temps qu’il demeurait chez Pierre Drevet » 356 , l’autre Jésus en Croix, avec la Vierge et St Jean à ses côtés et la Madeleine agenouillée à ses pieds, d’après Guido Reni. Cette estampe est signée par François Chéreau et Pierre Drevet y a inscrit son excudit et son adresse rue Saint Jacques à l’Annonciation 357 . Il est ainsi possible d’affirmer que François Chéreau travaillait encore chez Pierre Drevet après Noël 1702, date du début de son bail de la maison de la rue Saint-Jacques à l’annonciation. Mariette n’inscrit pas ce travail dans ses notes, bien qu’il soit signé.
Ces burins sont finement conduits, et présentent les marques de l’enseignement de Drevet pour l’obtention du velouté final : multitude de petites tailles diversement puissantes ou légères, et de coups de burin ; les mains et les visages sont adroitement gravés et l’anatomie du Christ est bien restituée. Outre les conseils reçus de Drevet, François Chéreau a probablement eu de bons rapports avec celui-ci puisqu’il grave son portrait d’après Rigaud en 1710. Le cuivre se trouverait à la chalcographie du Louvre sous le numéro 2167 358 .
La date précise à laquelle Simon Vallée ou Valé ― dont le vrai nom est Simon de La Vallée 359 ― entre chez Pierre Drevet, est inconnue. Comme cela a déjà été dit, la « rue du Foin vis a vis les Mathurins » a été la première adresse stable de Pierre Drevet lui permettant d’accueillir un apprenti à partir de 1696. En étudiant l’œuvre de Simon Vallée, on note l’existence d’un Saint François en Extase d’après Philippe Lauri, présentant sous le cadre à gauche, la mention : « Simon Valé sculpsit » suivie de l’adresse de Pierre Drevet rue du Foin 360 . Cette estampe témoigne donc, non seulement de la présence de Simon Vallée en apprentissage chez Pierre Drevet à cette adresse, mais encore que son maître le laissait déjà signer les planches qu’il considérait comme réussies. Elle sera la seule signée par Simon Vallée à cette adresse, retrouvée à ce jour.
Les nombreuses autres estampes qui seront gravées chez Pierre Drevet par Simon Vallée porteront l’adresse de la « rue Saint Jacques à l’Annonciation ». Elles seront signées ou non. Il faut, semble-t-il considérer que les estampes non signées par Simon Vallée ont été exécutées alors que Pierre Drevet estimait que le jeune homme n’avait pas terminé son apprentissage. C’est ce qui ressort de l’examen de certaines d’entre elles, telles que La Vierge embrassant l’Enfant Jésus couché sur ses genoux, d’après Antonio Corregio 361 . Ce burin, dont la technique traitant de la Vierge et de l’enfant, est peu inspiré de celle de Pierre Drevet : il s’agit d’un beau burin aux tailles franches et bien conduites, attaché à la manière des maîtres graveurs antérieurs dont il est indispensable pour un élève de posséder la technique. Le second plan est traité avec maîtrise et nuances 362 . Parmi les gravures signées par Vallée lorsqu’il travaillait chez Pierre, gravures qui portent le nom et l’adresse de Pierre Drevet « rue Saint Jacques à l’Annonciation », peuvent être citées les réductions de quatre planches gravées en 1684 par Étienne Baudet (1643-1671) d’après Poussin, qui sont le Voyageur se lavant les pieds à la fontaine, l’Homme puisant de l’eau, une Femme de Mégare recueille les cendres de Phocion, et les Funérailles de Focion 363 .
Simon Vallée est encore autorisé par Pierre à signer deux portraits d’apparat qu’il a gravées sous sa conduite et dont son maître effectue les tirages 364 . Il s’agit des portraits de Madame Pécoil sous la figure de Flore, d’après Rigaud et de Madame Catherine de Loyson, d’après François de Troy 365 . Chacune de ces estampes présente le nom de P. Drevet et son adresse rue S t . Jacques à l’Annonciation. Les deux cuivres conservés par Pierre, sont mentionnés dans le catalogue de la vente de Claude Drevet en 1782 366 . Pierre a donc considéré qu’il s’agissait du travail d’un élève conseillé par son maître, élève certes en fin d’apprentissage, mais dont le patron restait propriétaire du cuivre qu’il avait, sans doute, retouché. D’autre part, en nous aidant de la liste dressée par Mariette qui recense vingt planches gravées par Vallée lorsqu’il travaillait chez Pierre Drevet, et en la comparant au catalogue de la vente de Claude, il apparaît que Pierre avait gardé de son élève, en plus des deux portraits précédemment cités, douze planches gravées à sujets religieux et probablement, plusieurs autres dont on pense qu’elles auraient pu être exécutées par Vallée 367 .
Simon Vallée serait resté longtemps chez Pierre Drevet, peut-être jusqu’en 1720. Dans tous les cas il n’y est plus en 1721, puisqu’il fait effectuer le tirage chez Diacre de la suite des Surprises de l’Amour, d’après Pierre-Jacques Cazes 368 . À partir de cette époque, excepté les deux portraits gravés chez Drevet, Simon Vallée grave encore, ceux de Pierre Taisand, Barras de la Penne, d’après Louis-René Viali (Aix-en Provence 1680-Paris1770) 369 ― dontle traitement du visage et de la perruque aurait pu être bon si les tailles n’avaient pas été trop incisives, au détriment de l’expression ― et ceux de Jean-François Savary et Jean-Baptiste de Troy 370 . L’ensemble de ces portraits gravés au burin illustre l’habileté de Simon Vallée. Par la suite il exécute surtout des pièces religieuses et mêle l’eau-forte au burin. L’abbé de Fontenai analyse ainsi le meilleur de l’œuvre de Vallée : « il puisa dans l’école de Pierre Drevet le père, les excellents principes auxquels il dut sa réputation ; son burin est pur, & son dessin correct » 371 .
On ignore tout sur le contrat qui liait Simon Vallée à Pierre Drevet, ce contrat n’ayant pas été retrouvé. L’élève logé, nourri, entretenu, une fois sa formation terminée, a cependant dû disposer d’avantages complémentaires sérieux pour travailler aussi longtemps chez Pierre Drevet avant de prendre son indépendance vers quarante ans. Simon Vallée devait aussi jouir chez Pierre d’une certaine autonomie, puisque le 19 mars 1712, il obtient un privilège « pour faire graver et imprimer divers livres de Serrurerie, d’ornements, de figures et gravures au burin et à l’eau-forte 372 » .
Simon Vallée qui, d’après Fontenai, ne s’était pas beaucoup préoccupé de sa carrière, « toujours recueilli dans le silence du cabinet, éloigné du monde, comme les anciens sages », est mort dans l’indigence 373 .
Mon insistance sur cette partie de la vie de Vallée chez Pierre Drevet montre de quelle manière l’élève, tout en se formant, a secondé son patron, permettant ainsi à Pierre de se consacrer à la réalisation de ses commandes de portraits. Elle se veut également une réponse aux affirmations des auteurs de la notice sur ce graveur dans l’Inventaire du fonds français 374 , selon lesquelles Pierre Drevet a largement profité du travail de Simon Vallée ainsi que Pierre-Imbert pour la gravure de la Résurrection d’après Jean André en 1716. Ces allégations ne sont pas véritablement justifiées en raison de ce qui a été développé plus haut : il y a eu obligatoirement un contrat entre le maître-graveur et le disciple, déjà formé, qui travaillait pour son patron. D’autre part, les auteurs attribuent à Simon Vallée trois planches qui ne sont pas de lui et dont deux ont été réalisées par Pierre Drevet 375 , et une par Michel Dossier 376 . En ce qui concerne la part apportée par Simon Vallée à la gravure de la La Résurrection par Pierre-Imbert, ces assertions sont encore moins crédibles en raison de la qualité des planches gravées par celui-ci peu après ce travail 377 ― justifiant ainsi du talent précoce de ce graveur ― et en raison aussi des tailles, coups de burins, et qualité d’exécution, visibles dans cette gravure et déjà caractéristiques de la manière de Pierre-Imbert.
Pareillement à Simon Vallée, Michel Dossier est entré en apprentissage chez Pierre Drevet probablement lorsque celui-ci était encore rue du Foin. Rappelons la présence et la signature au contrat de mariage de Pierre le 31 mai 1696, de Marguerite Dossier, sœur de Michel et épouse de Jean Audran. Michel Dossier avait douze ans à cette époque, âge conseillé, si ce n’est avant, pour l’entrée en apprentissage d’un enfant chez un graveur 378 . Il dût certainement se plier à l’étude du dessin et de la gravure, comme Pierre-Imbert et Claude le feront plus tard en copiant et en réduisant des estampes de maîtres. Michel Dossier est assurément un élève doué puisque Drevet l’autorise à l’âge de dix-neuf ans, à graver trois planches que le maître termine et qui sont tirées peu après l’emménagement de l’atelier rue Saint-Jacques à l’Annonciation, au début de l’année 1703. Ces trois cuivres ont été gravés d’après Jean Jouvenet. Il s’agit de l’Éducation de la Vierge (cat. P. Dr., n° 2), de Saint Bruno en prière (cat. P. Dr., n° 9) du Mariage de la Vierge (cat. P. Dr., n° 3). Elles ne peuvent être mises à l’actif de Michel Dossier car elles ont servi à l’apprentissage de l’élève et Pierre Drevet a largement contribué à leur élaboration et à leur finition. D’ailleurs Pierre, patron et éditeur de son élève, a gardé les deux premiers cuivres 379 . Il a cependant laissé Michel Dossier inscrire son nom au bas de la planche du Mariage de la Vierge, estimant peut-être que les progrès du graveur, âgé d’une vingtaine d’années, étaient appréciables. Une autre gravure qui a dû aussi servir à l’apprentissage de Michel Dossier, et que Pierre a gardé, est le Baptême de Notre Seigneur Jésus-Christ d’après Pierre Mignard 380 . En 1704, le jeune graveur de vingt ans fait preuve déjà d’un goût certain pour l’indépendance en gravant et signant le portrait de Mestrener d’après Vivien dont il fait exécuter les tirages ailleurs que chez Drevet 381 .
Michel Dossier obtient son brevet de graveur du roi avant 1706. En effet, héritant de sa tante Toussainte Dossier, il signe une quittance de rente sur les Aydes et Gabelles concernant le premier semestre 1706, quittance qui le qualifie de « sieur Michel Dossier graveur ordinaire du Roy 382 ».
En 1709, le graveur démontre qu’il a acquis la technique du burin dans la manière de Pierre Drevet avec le portrait de Madame Neyret de la Ravoye d’après Hyacinthe Rigaud 383 dont Pierre a gardé le cuivre 384 . Il a bien rendu les reflets du taffetas de la robe, mais les chairs sont un peu ternes et le modelé des bras ne « tourne » pas assez en raison d’une abondance de tailles égales, bien que légères. Dossier a encore à apprendre pour rendre les mains à la manière de Drevet, cependant, ce travail demeure une belle réalisation.
À la suite de cette gravure et dans tous les cas à partir de 1710 385 , Michel Dossier quitte l’atelier de Pierre Drevet et fait réaliser ses tirages soit chez lui en 1711 386 , soit chez Basan ou Berey ou chez tout autre graveur-imprimeur 387 . Son désir d’indépendance l’a-t-il poussé à quitter Drevet trop tôt après le portrait de Madame Neyret de la Ravoye et lui a-t-il ainsi fait manquer l’occasion de se faire connaître en gravant d’autres portraits de cour d’après Rigaud chez Drevet ? Toujours est-il que l’œuvre de Michel Dossier qui est un bon graveur au burin, est limité. Parmi les portraits inventoriés par Mariette 388 , autres que celui évoqué plus haut, citons ceux dont les dimensions sont notables : Eustache Bousselin, conseiller du Roy, d’après Tramblin, gravé, en 1710, Jean-Baptiste Colbert gravé d’après Rigaud en 1711, Grégoire Gilbert gravé d’après François de Troy en 1713 — sans doute l’un des meilleurs portraits de Michel Dossier, pour lequel un regard expressif s’inscrit dans un visage bien mis en évidence par rapport à la rusticité de la bure — Henry Baudrand, curé de Saint-Sulpice, gravé d’après Guerry, et Nicolas Duval, secrétaire de la chambre du roi, gravé d’après Colleri 389 . Lorsqu’il est à son compte, Michel Dossier grave aussi quelques sujets religieux et des vignettes pour l’édition 390 .
Au cours des sept années de son établissement rue du Foin, entre 1696 et le début de 1703, Pierre a donc eu pour élèves Michel Dossier, Simon Vallée et François Chéreau, ce qui l’a déterminé à s’agrandir en louant une maison rue Saint-Jacques. Il est indéniable que ces trois élèves ont vécu ensemble dans la grande maison de la rue Saint-Jacques à partir du début de l’année 1703 et pendant un temps. François Chéreau part le premier, puis Michel Dossier quitte Drevet vers 1710. Simon Vallée travaillera encore pour Drevet durant quelques années pendant que Pierre-Imbert et Claude achèveront leur apprentissage. Il paraît évident que l’exigence de Pierre Drevet pour lui-même et inévitablement pour ses élèves, tant en ce qui concerne le dessin que la manière de le traiter sur le cuivre, a marqué de son empreinte le savoir-faire de ces trois graveurs. Cette exigence a fait de François Chéreau ― rejoignant ainsi les Drevet ― l’excellent graveur de portraits du premier tiers du XVIIIe siècle, reçu à l’Académie. Simon Vallée aurait pu atteindre l’excellence de François Chéreau, s’il avait osé s’affranchir de Drevet après les deux beaux portraits d’apparat réalisés chez lui, mais il a préféré continuer à graver des sujets religieux chez son maître et prendre sa liberté plus tardivement. Quant à Michel Dossier, manquant au contraire de patience, il a pris son indépendance trop rapidement.
A partir des années 1719-1720, époque pendant laquelle Simon Vallée se met à son compte, l’atelier de Pierre Drevet ne sera que familial, Pierre laissant de plus en plus souvent les commandes de portraits à Pierre-Imbert et de temps à autre à Claude.
BNF, Est., Mariette1740-1770, Ya2.4, petit fol., tome III.
BNF, Est., Aa 300, folio, p. 19. Voir vol. III, Reproductions, A 4, p. 101.
Voir l’IFF, XVIIIe s., IV, pp. 317-331.
Voir Préaud 1987, pp. 79-84.
Janand 1997, I, p. 70.
Rappelons que Claude Drevet a également gravé ce sujet d’après Le Brun mais dans un format réduit ; Cf. cat. Cl.Dr., n° 2.
Mariette 1740-1770, III, fol. 51 r°, n° 65.
BNF, Est., Ed 90, in-fol., p. 3 ; dimensions : H. 0,723, L. 0,521 m.
Voir l’IFF, XVIIIe s., IV, p. 324, n° 32. Après recherches à la Chalcographie du Louvre, il s’avère que le numéro inscrit dans l’Inventaire du Fonds Français est inexact. Ce cuivre n’a donc pas été retrouvé.
Voir IFF XVIIIe s. 1974, vol. XIII.
BNF, Est., AA3, n° 12.
Voir annexes, vol. III, p. 82.
A. N., m. c., ET/LX/266, 1739, Inventaire après décès de Pierre-Imbert Drevet, transcription Weigert 1938, p. 237 ; Catalogue de la vente de Claude Drevet 1782, p. 19, n° 191 ; BNF, Est., Ed 99b, rés. ; IFF, XVIII e s., XIII, p. 50, n° 5.
Voir BNF, Est., AA3 à Vallée. Voir aussi Georges Wildenstein,1957, pp. 243-248, nos 183-185.
Mariette 1740-1770, III, fol. 50 r°, nos 42-43.
Voir dans ce travail Catalogue des estampes achevées par Pierre Drevet ou exécutées sous sa conduite.
Cat. vente Claude Drevet 1782, p. 24, n° 262 et p. 25, n° 286.
Il s’agit de Jésus chez Marthe et Marie et de Sainte Thérèse, pièces cintrées d’après Jean André, (Cat. vente Claude Drevet 1782, p.17, nos 160 et 163) ; Jésus recevant les petits enfants, pièce cintrée d’après Cazes, (Cat. vente Claude Drevet 1782, p. 19, n° 184) ; le Sacrifice d’Abraham et l’Annonciation, pièces cintrées d’après Antoine Coypel et les planches de Pierre Drevet (cat. P.Dr. de cette étude, nos 1 et 4) ; Jésus-Christ sur la croix, pièce cintrée d’après Antoine Coypel (Cat. vente Claude Drevet 1782, p. 20, n° 208) ; Saint-Pierre, d’après L. de la Hire (Cat. vente Claude Drevet 1782, p. 21, n° 223) ; l’Adoration des Rois, pièce cintrée d’après C. Maratta (Cat. vente Claude Drevet 1782, p. 23, n° 239) ; la Sainte Famille, pièce cintrée d’après Raphaël (Cat. vente Claude Drevet 1782, p. 24, n° 255) ; l’Entrée de Jésus à Jérusalem, pièce cintrée, d’après Nicolas Vleughels (Cat. vente Claude Drevet1782, p. 26, n° 289) ; Saint-Charles Borromée et Saint-Louis, pièces cintrées d’après Charles Le Brun et les estampes d’Edelinck (Cat. vente Claude Drevet 1782, p. 18, n° 178).
IFF, XVIII e s., XIII, p. 54, nos 17-19.
Peintre admis à l’Académie de Saint Luc. Cf. Thieme et Becker 1940, XXXIV, p. 319.
Ces portraits sont conservés à la BNF, Est., AA 3,Vallée. Voir aussi l’IFF, XVIII e s., XIII, pp. 60-62.
Fontenai 1782, II, pp. 669.
BNF, Ms. fr., 21950, p. 462.
Fontenai 1782, II, pp. 669-670.
Sjöberg, Gardey, IFF, XVIII e s., XIII, pp. 47-48.
La Nativité ou l’Adoration des Bergers, d’après Rigaud (cat. P .Dr., n° 5), et le Repentir de Saint-Pierre, d’après Antoine Dieu (cat. P. Dr., n° 6)
L’Education de la Vierge ,d’après Jean Jouvenet, cat. P. Dr., n° 2.
Voir plus haut, p. 85.
Voir Grivel 1986, p. 17, 18 et Le Bitouzé 1986,section I.
Cat. vente Claude Drevet 1782, p. 22, nos 225 et 226.
Ibid., p. 23, n° 243.
BNF, Est., Ed 52, in-fol. et N2portraits.
A. N., Ms fr., 27502, pièces originales 1018, à Dossier, f° 6.
Voir dans cette étude : cat. Gravures réalisées par les élèves de Pierre Drevet sous sa conduite, p. 371.
Cat. vente Claude Drevet 1782, p. 25, n° 275.
Portrait d’Eustache Bousselin, conseiller du Roi, d’après Tramblin « Dossier Sculp. 1710 », BNF, Est., Ed 52, in-fol.
Portrait de Jean-Baptiste Colbert, d’après Rigaud, adresse : « A Paris chez M. Dossier rue de la Pelterie du côté du Pont Notre Dame », BNF, Est., Ed 52, in-fol.
Voir l’IFF, XVIII e s., 1951, VII, pp. 296-302.
J.-P. Mariette 1740-1770, BNF, Est., Ya2, 4, petit folio, III, f° 39.
Ces portraits sont conservés à la BNF, Est., Ed 52, in-fol. Voir également l’IFF, XVIII e s. 1951, VII, pp. 299-302, nos 10, 11, 13, 15, 17.
Voir Thieme et Becker-Saur 2001, XXIX, p. 158.