6. Les dernières productions de Claude Drevet, les différents procès, son mariage, sa vie jusqu’à sa mort (1739-1781).

En à peine deux ans, Claude a perdu les trois personnes de son entourage proche qui avaient formé non seulement l’essence même de sa vie familiale mais encore celle de sa vie professionnelle. Il est probable qu’il a dû se laisser envahir par un certain découragement, car on ne retrouve de lui que deux estampes signées et datées entre 1739 et 1749 618 . Il s’agit de deux portraits gravés d’après Rigaud, l’un, Alexandre Milon, évêque de Valence, dans l’année qui a suivi la mort de Pierre-Imbert (cat. Cl. Dr., n° 12), l’autre, le cardinal Henry-Oswald de la Tour d’Auvergne (cat. Cl. Dr., n° 11), commencé à la mort de Pierre-Imbert et terminé dix ans après. La date du début de la gravure est attestée par la supplique de Claude adressée au Cardinal de Fleury le 30 avril 1739 par l’intermédiaire du cardinal de la Tour d’Auvergne, lequel insiste en faisant remarquer que Claude « grave actuellement son portrait d’après Rigaud 619  ». Il aura donc fallu dix ans à Claude Drevet pour terminer la gravure de ce portrait qui sera probablement le dernier de sa carrière de graveur, car il ne réalisera, pendant les quarante-deux annés qui le séparent de la mort, que ces deux portraits tout à fait remarquables. En effet, aucune preuve ne peut être avancée que les deux seuls cuivres qui n’ont pu être datés, Saint-Jean de Dieu (cat. Cl. Dr., n° 4), et le portrait de Christophe Steiger (cat. Cl. Dr., n° 8), aient été gravés avant ou après 1739. En outre, considérant les affligents procès intentés contre lui par les neveux de Marie-Anne Béchet, par ses frères et sœurs et ses neveux de Loire, immédiatement après la mort de Pierre-Imbert, on comprend, d’une part, que Claude ait dû passer du temps à se défendre et, d’autre part, qu’il n’ait pas eu le goût de se remettre au travail 620 . De ces procès, il subsiste deux Mémoires et un Plaidoyer qui nous éclairent sur les différents intérêts des héritiers désireux de percevoir la « légitime » de Pierre-Imbert.

Néanmoins, selon le contrat signé le 18 octobre 1745 devant les notaires Doyen et Leverrier 621 , Claude, âgé de quarante-huit ans passés, épouse Catherine Guillemette Baudry, encore mineure, qui a pour père Alexandre Baudry, procureur au Châtelet et pour mère Anne Satenoy. Le contrat de mariage est signé dans la demeure des Baudry, paroisse Saint-Eustache. Claude se dit fils de Floris Drevet « marchand à Lyon » et de sa veuve Antoinette Bailly. Cette dernière donne son consentement au mariage de son fils, devant Maître Geste Notaire à Givors, consentement transmis aux notaires de Paris 622 . Les qualités et les fonctions de certains des personnages qui ont donné leur agrément à ce mariage et signé le contrat, ne sont pas sans étonner : le maréchal de Saxe, le cardinal Henry Oswald de la Tour d’Auvergne — dont le portrait gravé par Claude n’était pas encore terminé —, l’archevêque duc de Paris, Charles-Gaspard-Guillaume de Vintimille, dont Claude avait gravé le portrait en 1736, le lieutenant civil du Châtelet Jérôme d’Argouges, également conseiller du roi et ami des Drevet — magistrat qui avait dressé les procès-verbaux d’interdiction de Pierre-Imbert —, et l’intendant des Batiments du roi, Jules Robert de Cotte. Sont également présents les botanistes Antoine et Bernard de Jussieu, Michel Audran, entrepreneur des tapisseries des Gobelins et un « Audran fils ». On note aussi dans les amis de Claude, un Maître Jean Thurot avocat au parlement et un sieur Jacques Quennes, « ancien intéressé dans les affaires du Roy ». Les témoins de la future épouse sont issus de familles de notables tels que le lieutenant des chasses du duc d’Orléans ou le plus souvent de la magistrature du Châtelet.

Il est dit dans ce contrat que Claude Drevet recevra de la part des époux Baudry pour la dot de leur fille, vingt-cinq mille livres en deux acomptes, le montant du premier s’élevant à douze mille cinq cents livres payables « en louis d’or, d’argent et monnoyes », la veille des « épousailles » et le reste en deux ans avec les intérêts. De son côté, Claude donne en « douaire » à sa future épouse la somme de mille livres. Le quatorze novembre suivant, probablement la veille du mariage religieux, treize mille livres sont versées par les Baudry, en remplacement des douze mille cinq cents livres promises 623 . Les 1er et 15 décembre 1746, les époux Baudry s’acquittent du solde de leur dette 624 .

Il est intéressant de noter l’évaluation des biens de Claude au moment de son mariage, c’est à dire six ans après la mort de Pierre-Imbert : une maison achetée seize ans auparavant par son oncle et sa tante pour quarante mille livres et louée par Claude mille sept cents livres par an au sieur Chapelot ; vingt mille six cent sept livres et trois deniers de fonds de rente sur les États du Languedoc ; trois mille livres de fonds de rente sur le collège d’Autun et trente mille livres « a quoi a esté evalué le mobilier du s. futur époux, consistant en meubles de toute nature et compris en planches gravées en cuivre qu’il a de différents auteurs ». Non seulement Claude est à l’abri du besoin mais il est riche. Il se marie donc religieusement le 15 novembre 1745, à l’église Saint Eustache, paroisse de son épouse 625 . Le couple se séparera après quelque temps de vie commune, dans tous les cas avant 1769, puisque Catherine Guillemette Baudry est domiciliée cette année là, dans l’acte de succession de son père, à Saveure près d’Amiens 626 .

On suppose que Claude a vécu du commerce des estampes appartenant au fonds laissé par son oncle ainsi que des tirages du fonds de cuivres et de la vente de certains d’entre eux. De plus, il a dû obtenir des bénéfices sur des prêts ou sur des ventes de ces cuivres. Plusieurs exemples de ce genre sont à remarquer : l’éditeur Bligny, qui diffusait surtout des portraits, a édité onze planches des Drevet à son adresse, A Paris chez Bligny, Peintre, Doreur, Vitrier et M d d’Estampes, Cour du Manege aux Thuilleries. On remarque que parmi ces onze planches, neuf se trouvaient encore à la vente des biens de Claude en 1782 et ont donc été transmises à l’éditeur, puis rendues à Claude 627 . Entre 1774, année de l’accession de Louis XVI au trône, et la fin des années 1770, Bligny avait édité un ouvrage non daté, pour lequel il avait dû, soit emprunter, soit acheter des cuivres 628 .  Le plus plausible est qu’un arrangement soit intervenu entre Bligny et Claude, permettant au graveur de recevoir un pourcentage sur la vente du recueil. Le même cas se présente pour Geneviève-Marguerite Chéreau, veuve de François II Chéreau, qui obtient un privilège en 1757, pour une série de portraits, dont ceux du roi et du Dauphin… 629 . Elle édite, en effet, le seul sujet allégorique gravé par Pierre-Imbert, Minerve guidant Louis XV au Temple de la Mémoire, d’après Antoine Coypel (cat. P.-I. Dr., n° 14), probablement à partir de cette date. En ce qui concerne cette éditrice, Claude lui a certainement vendu le cuivre, car il n’apparaît plus dans le catalogue de la vente de ses biens en 1782.

On trouve encore un fait similaire, celui du deuxième état du Christ au Jardin des Oliviers, d’après Jean Restout (cat. P.-I. Dr., n° 9), qui porte l’adresse de Surugue (1686-1762) 630 : A Paris chez L . Surugue Graveur du Roy rue des Noyers vis-a-vis le mur S t . Yves. Avec Privilége du Roy. Le cuivre ne figurant plus dans le catalogue de la vente de Claude en 1782, on peut en déduire qu’il avait été vendu par ce dernier à l’éditeur.

D’autre part, il ne fait aucun doute que Claude a encore vendu d’autres cuivres, car sauf erreur, sur leur totalité s’élevant à mille quarante-cinq que compte l’inventaire de 1739, seuls sept-cent quatre-vingt-trois figurent encore dans le catalogue de sa vente en 1782. Une chose est certaine : Claude ne vivait plus du fruit de son travail, mais occupait son temps à la gestion et au commerce des différents fonds qui avaient appartenu à son oncle, à son cousin ou à lui-même. Il devait aussi fréquenter les ventes, soit pour acheter, soit pour vendre. On le trouve, par exemple, à la vente Collin de Vermont en 1761, où il acquiert deux œuvres de Rigaud : Une Élévation de Notre-Seigneur en croix, tableau non fini(Tableaux, n° 71), et la Tête d’Edelinck (Tableaux, n° 81). Il achète également un lot de cent-quatorze portraits gravés d’après Van Dyck pour quatre-vingt-dix-neuf livres dix-neuf sols (Estampes, n° 21), huit morceaux de Coypel dont Adam et Eve (Estampes, n° 22), deux estampes d’après Louis de Boullogne, dont la Présentation au Temple gravée par Pierre-Imbert (Estampes, n° 23) 631 .

Depuis son mariage, une série d’événements, d’ordre juridique ou familial, jalonnent la vie de Claude, authentifiés par des documents d’archives. On trouve en 1747, plusieurs pièces dont un bail d’une durée de neuf ans, concédé le 11 avril 632 par Claude au sieur « Charles Chaplot » 633 , pour la maison de la rue du  « Sépulchre ». Le 23 juin de la même année, Claude remet à son notaire, en raison du décès de sa sœur Antoinette, un acte de notoriété suivi de cinq pièces concernant les héritiers de Loire encore vivants 634 . Par acte du 29 janvier 1748, Claude Lercuillier, imprimeur en taille-douce, agissant au nom des héritiers de Loire, réclame à Claude, le paiement immédiat de quatre mille cent quatre-vingt-trois livres « à répartir entre les cinq héririers » 635 . Le 22 juillet 1749, il reçoit une quittance de Charles Allouet, perruquier à « Suze en Piemont », pour le paiement d’un acompte sur le prix de la maison de la rue du Sépulchre 636 .

Il continue également à fréquenter le monde artistique.  Très lié au peintre Jean-Baptiste Greuze (1725-1805) ― qui, rappelons le, était né à Tournus et avait séjourné à Lyon avant de se rendre à Paris vers 1749-1750 et d’y rester 637 ― Claude est témoin, le 31 janvier 1759, à son mariage avec la fille du libraire de la rue Saint-Jacques, Anne-Gabrielle Babuty 638 . Le 20 novembre suivant, à l’église Saint-Benoît, « Claude Drevet, graveur, demt aux Galeries du Louvre », tient sur les fonts baptismaux, Marie-Anne-Claudine, premier enfant de Greuze 639 . Cette enfant devait décéder le 16 juillet 1762 chez son grand-père François Babuty, « À l’Image Saint-Christophe », rue Saint Jacques 640 . Le 14 mai 1764, Claude est encore parrain du second enfant de Greuze, Louise-Gabrielle. La marraine est Marie-Louise Desforge, épouse de Jean-George Wille, « graveur du roy, quay des Augustins 641  ». Probablement offert par le peintre, Claude possédait un dessin de celui-ci, représentant Un homme demandant l’aumône, accompagné de sa femme et de ses enfants, de dix-huit pouces de haut et quatorze pouces, huit lignes de large, « dessin à la plume et lavé au bistre et à l’encre de Chine sur papier blanc […] c’est un des plus beaux de ce maître 642  ».

Les relations avec la famille de Loire étaient bonnes, puisque le 4 mars 1774, Claude écrit à son neveu Fleury III, pour le remercier « du ballon de marrons que vous avez eu la bonté de m’adresser ». Il s’excuse pour son manque de promptitude à le remercier, invoquant ses nombreuses « occupations 643  ».

Pour finir, Claude dépose son testament le 15 septembre 1780, entre les mains de Maître Boulard, notaire à Paris 644 . Il lègue à sa domestique, Marguerite Emery, la somme de six cents livres ainsi que l’usufruit de la rente perpétuelle de quatre- vingts livres, due par le sieur Sené, employé à la Chambre des Comptes. Il n’oublie pas le neveu qu’il avait fait venir à Paris pour lui apprendre la gravure, Abel Drevet, enfermé par ordre du roi, à qui il lègue quatre cents livres de pension viagère. À son frère Simon et aux enfants de cinq de ses frères et sœurs décédés, il donne, par famille, cinq cents livres et institue pour légataire universel, son petit-neveu Étienne Perrin, qui s’est occupé de lui, en lui léguant le surplus des biens qu’il laissera à son décès. Il nomme « Maître Marcel » 645 , avocat, pour être son exécuteur testamentaire. On est loin de l’immense fortune espérée par les descendants de Loire qui n’ont reçu que cinq cents livres par famille.

Les courriers trouvés dans les archives des descendants contemporains du père de Claude, Floris Drevet, vivant actuellement à Loire-sur-Rhône, ont permis, en outre, d’obtenir par des témoignages écrits, un éclairage sur la dernière année de la vie du graveur et sur le partage final entre les héritiers de Loire après la vente. Il en ressort qu’au fil des changements de générations et les années passant, les relations familiales ― altérées par les procédures concernant le partage de l’héritage de Pierre-Imbert ―, se sont apaisées, Claude étant devenu l’oncle respectable et vénéré à qui l’on envoie des produits régionaux et à qui l’on adresse un petit-neveu, Étienne Perrin, pour améliorer son parcours de fin de vie 646 .

Claude Drevet meurt le 23 décembre 1781 à « six heures et demie du soir » 647 . Un inventaire est dressé des biens qu’il laisse et les scellés sont immédiatement apposés, la veuve de Claude, Catherine Guillemette Baudry, faisant opposition à leur levée 648 . L’inhumation a lieu le lendemain à Saint-Germain-l’Auxerrois en présence de son neveu du côté maternel, Claude Denis Monnaye, procureur au parlement, de son petit-neveu, Étienne Perrin et de Maître Antoine Marseille (ou Marcel), son exécuteur testamentaire.

La vente du fonds de cuivres et d’estampes ainsi que des tableaux et dessins, constitué principalement par Pierre Drevet, a lieu le lundi 15 avril 1782 et les jours suivants, aux galeries du Louvre dans le logement de Claude. L’organisateur de la vente est Joullain le fils, marchand d’estampes et de tableaux à Paris. Le fonds de cuivres constitué en majeure partie de sujets religieux pour lesquels le goût n’est plus aussi vif en 1782, s’est mal vendu, hormis quelques exceptions. C’est ce qu’écrit maître Marseille le 24 avril 1782 à Fleury III Drevet en lui adressant un extrait du dépouillement de l’inventaire après décès de Claude 649 . L’éditeur Bernard 650 avait acquis, selon Ambroise Firmin-Didot, un nombre important de cuivres.

On remarque que les aspects biographique et artistique sont plus particulièrement liés dans le déroulement du terme de la carrière de ces trois graveurs constituant ce cinquième chapitre, en raison du nombre important des documents d’archives qui ont pu être exploités.

Notes
618.

Le portrait d’Alexandre Milon, évêque de Valence, en 1740 (cat. Cl. Dr., n° 12), et celui du cardinal Henri Oswald de la Tour d’Auvergne, en 1749 (cat. Cl. Dr., n° 11).

619.

A. N., Maison du Roi, O1, 1088, fol. 80, voir annexes, vol. III, p. 46.

620.

BNF, Ms fr. 2331, Joly de Fleury, plaidoyers 115, janvier-mars 1742.

621.

A. N., m. c., ET/CXVIII/437, voir annexes, vol. III, p. 58.

622.

A. N., m. c., ET/CXVIII/437 ; consentement d’Antoinette Bailly joint au contrat de mariage.

623.

A.N., m. c., ET/CXVIII/437, f ° 4, renvoi en marge.

624.

A.N., m. c., ET/CXVIII/437, f ° 5 en marge, et 10.

625.

Jal 1867-1872, p. 506.

626.

Perroud-Christophle 1985, p. 137.

627.

Cuivres figurant au Catalogue de la Vente de Claude Drevet en 1782 et donc prêtées à Bligny : d’après Rigaud, Philippe V d’Espagne (cat. P. Dr., n° 16), Louis de France, Grand Dauphin, (cat. P. Dr., n° 26), Louis de France, duc de Bourgogne (cat. P. Dr., n° 27), Christian de Guldenleu (cat. P. Dr., n° 39), Louis-Antoine de Noailles (cat. P. Dr., n° 49), Jean-Balthazard Keller (cat. P. Dr., n° 108), Louis de Boullogne (cat. P. Dr., n° 128/VIII) ; d’après Charles Antoine Coypel, Louis, duc d’Orléans (cat. P.-I. Dr., n° 20) ; d’après Tournières, Antoine Portail (cat. P. Dr., n° 100). Cuivres à l’adresse de Bligny que Claude ne possédait plus à sa mort et qu’il lui a probablement vendu : d’après N. de Largillierre, Mitantier (cat. P. Dr., n° 97) ; d’après Charles Antoine Coypel, Adrienne Lecouvreur (cat. P.-I. Dr., n° 35).

628.

Recueil des Portraits de la Famille royale et des autres princes, des ministres, et des hommes illustres de l’Europe, sous les règnes de Louis XV et Louis XVI, gravés par les meilleurs artistes et suite d’autres gravures qui se vendent A Paris, chez Bligny, lancier du Roi, Cour du manège aux Thuilleries [s. d., in-fol.] 233 portraits par Morin, Le Beau, Cathelin, Gaucher, Littret, Edelinck, Duflos, Drevet, Ingouf etc. Vente Destailleur, 1891, n° 451. Voir aussi Cohen 1912, p. 164.

629.

Préaud 1987, pp. 81-82.

630.

Préaud 1987, pp. 284-285.

631.

Catalogue des Tableaux, Desseins, Estampes et Bosses, provenant du Cabinet de M. Hyacinthe Collin de Vermont… 1761.

632.

A. N., m. c., ET/CXV/56.

633.

Dénommé « Chapelot » dans le contrat de mariage de Claude (A. N., m. c., ET/CXVIII/437).

634.

A. N., m. c., ET/CXV/568.

635.

A. N., m. c., ET/CXV/570.

636.

A. N., m. c., ET/CXV/580.

637.

Jal 1867-1872, p. 658.

638.

A. N., m. c., ET/XXXI/165.

639.

Herluison 1873, p. 465.

640.

Jal 1867-1872, p. 659.

641.

Jal 1867-1872, p. 659.

642.

Cat . vente Claude Drevet, 1782, p. 7, n° 17.

643.

Dunand 1939. Cet auteur ne donne pas la localisation de ce document, probablement chez l’un des nombreux descendants du père de Claude Drevet, vivant encore dans la région lyonnaise.

644.

A. N., m. c., ET/LXXIII/1014, insinuation Archives de la ville de Paris, DC6, n° 260, f° S 120, r°, v°; voir annexes, vol. III, pp. 58-59.

645.

Il s’agit d’une erreur car le nom de l’avocat est Marseille : il est noté ainsi dans les lettres adressées à la famille et sur le catalogue de la vente de Claude.

646.

Famille Vaganay à Loire-sur-Rhône. Lettre d’Étienne Perrin adressée à Fleury Drevet, en date du 27 Avril 1781 ; voir annexes, vol. III, pp. 59-60. Il apparaît que ce courrier, rédigé sans faute d’orthographe, n’est pas de la main d’Étienne Perrin, s’il est comparé à celui du 19 octobre 1781 dont l’écriture n’est plus la même et qui contient de nombreuses fautes de français.

647.

Archives de la ville de Paris, Reconstitution de l’Etat Civil en date du 4 décembre 1876, n°4/920/7.

648.

A. N., V3, 91 ; Guiffrey 1885, 2e série,VI, pp. 129-132.

649.

Archives Vaganay à Loire-sur-Rhône ; voir annexes, vol. III, pp. 60-61.

650.

En activité à Paris en 1805, au 31 du quai des Augustins.