VI. La postérité de Pierre Drevet et celle de ses deux élèves

1. La gravure de portrait au burin après 1730

Il est nécessaire, de placer le portrait gravé au burin dans le cadre artistique du XVIIIe siècle qui voit se développer, dès ses premières années et, dans tous les cas, dès la mort de Louis XIV, des changements dans les mœurs et dans les goûts. Des graveurs à l’eau-forte relevée au burin dirigent des ateliers plus ou moins importants, comme Nicolas-Henry Tardieu (1674-1749), Nicolas de Larmessin (1684-1756), Louis Surugue (1686-1762), Charles-Nicolas Cochin le père (1688-1754), François-Bernard Lépicié (1698-1755), Laurent Cars (1699-1771), Jacques-Philippe Le Bas (1707-1763)… et qui, pour la plupart, seront reçus à l’Académie sur la présentation de deux portraits gravés au burin. Ils forment des élèves pour, entre autre chose, l’interprétation des peintres comme Watteau, Lancret, Chardin… Puis, au début de la seconde moitié du siècle, apparaîtront les nouvelles techniques, dont celle de la gravure en manière de crayon inventée par Jean-Charles François (1717-1769), perfectionnée par Gilles Demarteau (1722-1786) et celle de l’aquatinte mise au point par Jean-Claude Richard de Saint-Non (1727-1791), reprise par Augustin de Saint-Aubin (1736-1807).

Les succès remportés par ces sujets d’histoire ou de genre et par ces nouvelles techniques auraient dû faire basculer le burin dans l’oubli. Néanmoins, la demande du portrait reste forte auprès des peintres et par conséquent, elle le reste aussi pour le portrait gravé.

Si, déjà à la fin du XVIIe siècle et au début du XVIIIe siècle, certains graveurs comme Gaspard Duchange, Benoît Ier et Jean Audran ou encore Antoine Trouvain se sont inspirés, pour la réalisation de leurs portraits, de la manière de Pierre Drevet, si celui-ci a aussi formé des élèves pendant qu’il était en activité, il faut reconnaître que sa manière, jointe à celle des meilleurs d’entre eux ― François Chéreau, Pierre-Imbert Drevet et Claude Drevet ― a fait école à partir des années 1730, adoptée par d’excellents graveurs qui l’ont généralement bien comprise, et se sont exprimés sur le cuivre selon leur tempérament et leur talent, sans pour autant toujours atteindre la perfection. Ils ont, pour le moins, essayé de rendre, à l’aide uniquement de leur burin, les effets de la peinture dans la manière des Drevet.

L’interprétation des brillants portraits de Nicolas de Largillierre et de Hyacinthe Rigaud a été pour ces graveurs l’occasion de se surpasser et d’offrir, en nombre, d’excellents portraits. Comme nous le verrons plus loin, certains peintres ont perpétué le style de ces deux artistes et l’on trouvera encore des graveurs pour les interpréter jusque dans les années 1790, voire au-delà. À cela, il faut ajouter les morceaux de réception à l’Académie pour lesquels les graveurs ont recherché la meilleure manière de rendre regard, modelé du visage, nuances, interprétation des textures en s’inspirant probablement de la technique de Pierre Drevet et de celle ses élèves. Depuis la fin du XVIIe siècle, les portraits de Pierre Drevet puis ceux de François Chéreau, son brillant élève, circulaient. Les oeuvres de Pierre-Imbert qui faisaient grand bruit, étaient connues des graveurs au burin du XVIIIe siècle 738 .

Parce qu’il a reçu les conseils de Rigaud et que celui-ci en a fait son graveur pendant un certain temps, l’un des premiers que l’on souhaite aborder dans cette étude est Jean Daullé (1707-1763). L’examen de ses travaux indique visiblement qu’il s’est inspiré de la manière des Drevet 739 . Parmi ses belles réalisations, il faut citer, gravé en 1737, le Portrait de Claude Dehais-Gendron 740 , personnage placé par Rigaud dans l’ouverture d’une baie et pour lequel les tailles suivent bien le dessin : modelés, ombres, lumières et nuances, tous les effets de la peinture sont restitués. On retrouve ces particularités dans le Portrait de Louis Moreau de Maupertuis, d’après Robert Tournières 741 , exécuté en 1741. Daullé réalise en 1742, pour son morceau de réception à l’Académie, le très beau portrait de Hyacinthe Rigaud peignant son épouse, d’après son autoportrait 742 , dans lequel les caractéristiques du burin des Drevet sont réunies, bien que le visage soit moins finement travaillé. Le cuivre est incisé régulièrement, soit en surface, soit en profondeur, avec une grande sûreté de main. C’est, en fait le meilleur de son savoir-faire que Daullé offre à l’Académie. En 1744 son talent est moins visible, par exemple, dans le portrait de l’évêque de Metz, Claude de Saint-Simon, d’après Rigaud 743 : les tailles se font lâches dans le visage et le burin cerne un peu trop les structures en bois et autres textures. L’œuvre gravé de Jean Daullé aurait pu être exceptionnel, si la qualité de sa production avait été moins irrégulière : parfois, certains portraits manquent de relief, affichant une indéniable platitude due au burin, pourtant habile, mais qui traite chaque plan d’une manière égale. En outre, les regrets de Mariette concernant le « dégoût » progressif de Daullé pour le genre du portrait, confirment cet état de fait 744 . De même, le doute qui s’est installé selon lequel à partir de 1741, Johann Georg Wille (1715-1808) commence ou termine, à la demande de Daullé, certains de ses travaux, ternit quelque peu sa réputation concernant le portrait gravé 745 .

Si le savoir-faire d’un graveur du XVIIIe siècle pouvait être rapproché de celui des Drevet, c’est bien chez François-Bernard Lépicié (1698-1755) qu’il faudrait le rechercher : on observe, en effet, dans les deux beaux portraits qu’il grave d’après Rigaud, celui de Louis de Boullogne en 1736 746 et celui de Philibert Orry en 1737 747 , la variété des tailles, leur légèreté lorsque cela est nécessaire, leur finesse, l’ensemble générant une multitude de nuances. De même, on trouve chez Edme Petit, élève de François Chéreau, finesse des tailles, précision dans la manière de Drevet : peuvent être cités de lui les portraits du Cardinal de Rohan, d’après Rigaud 748 , de Titon du Tillet, d’après Nicolas de Largillierre 749 et celui de Louis XV, d’après Van Loo 750 .

De nombreux autres bons graveurs se sont probablement inspirés de la manière de tailler le cuivre des trois Drevet ; certains, mieux que d’autres, ont su nuancer, modeler sans cerner, déposer des lumières et des ombres sans provoquer d’éclats métalliques… Parmi ceux-là, figurent parfois Laurent Cars (1699-1771) ― en tous cas pour le portrait du Cardinal de Rohan, d’après Rigaud 751 et surtout pour les deux portraits présentés pour sa réception à l’Académie en 1733, celui de Sébastien Bourdon 752 et celui du sculpteur Michel Anguier 753 .

L’habileté d’autres graveurs français s’est manifestée principalement dans leurs morceaux de réception à l’Académie. Parmi ces graveurs se trouvent Charles Dupuis (1685-1742) qui se présente en 1730 avec les portraits de Nicolas Coustou, d’après Jean Legros (1671-1745) 754 , et de Nicolas de Largillierre, d’après Charles-Estienne Geuslain (1685-1765) 755 ou encore Nicolas IV de Larmessin (1684-1753) qui offre, également en 1730, les portraits de Guillaume Coustou, d’après Jean-François Delyen 756 et de Claude Hallé d’après Jean Legros 757 .

La liste est encore longue des burinistes qui, tout au long du XVIIIe siècle, ont porté la gravure de portrait à un haut niveau. Parmi ceux dont les interprétations seraient les plus proches de la manière des Drevet dans la seconde moitié du XVIIIe siècle, on trouve René Gaillard avec le portrait de François Castanier, gravé d’après Rigaud en 1751 758 , Nicolas-Gabriel Dupuis (1698-1790) dont le portrait de Charles-François-Paul Le Normant de Tournehem, d’après Louis Tocqué est le morceau de réception en 1754 759 , Jean-Joseph Baléchou (1716-1764) avec le portrait de Charles-Antoine Coypel, gravé d’après lui-même en 1749 760 , et celui de Jean de Jullienne présenté par son fils, d’après François de Troy 761 . Deux graveurs d’une même famille ont produit, à vingt-neuf ans d’intervalle, des œuvres pour lesquelles le métier ne varie guère. Il s’agit des deux Tardieu :  Nicolas (1674-1749) qui, en 1720, réalise le Portrait de Louis Antoine de Pardaillan, d’après Hyacinhe Rigaud 762 et,Jacques-Nicolas qui grave pour sa réception à l’Académie en 1749, le Portrait de Robert Le Lorrain, d’après Donat Nonnotte 763 . On remarque que leur métier est similaire en ce qui concerne le traitement des visages et de la fourrure et que la pensée est très proche des Drevet.

On ne peut passer sous silence l’œuvre de deux jeunes graveurs venus d’Allemagne pour se perfectionner à Paris, en raison de l’importance de leurs travaux et de l’influence qu’ils ont eu par la suite sur les graveurs allemands ou ceux de l’Europe du Nord. Il s’agit de Johann Georg Wille et de son ami Georg Friedrich Schmidt (1712-1775). Wille, peu de temps après son arrivée à Paris, se met en relation avec Largillierre puis, appuyé par Schmidt, avec Rigaud qui, non seulement l’encourage mais le prend sous sa protection 764 . Ainsi qu’il avait opéré avec Pierre Drevet et avec d’autres graveurs, Rigaud, par son exigence, fait rapidement progresser le jeune Wille. Le savoir-faire de celui-ci est, certes, empreint de sensibilité, la main est sûre mais ses tailles, souvent trop acérées, alourdissent quelque peu certains de ses travaux ou certaines parties de ses gravures. Il faut noter, à la différence des Drevet, qu’il emploie parfois la taille unique pour souligner un drapé ou la courbe d’une armure. Cependant, les portraits tels que Louis Auguste Foucquet de Belle-Isle, gravé d’après Rigaud en 1743 765 , celui de Berruyer, d’après De Lyon 766 ou celui d’Abel François Poisson de Marigny, gravé d’après Louis Tocqué 767 pour son morceau de réception à l’Académie en 1761, sont de belles réalisations dans la manière des Drevet.

Non seulement Wille connaissait l’œuvre des Drevet puisqu’il cite Pierre-Imbert dans son Journal 768 , mais il avait aussi un ami commun avec Claude Drevet, le peintre Gabriel Greuze. En effet, le 15 mai 1764, à l’église Saint-Benoît, Marie-Louise Desforge, l’épouse de Wille, et Claude Drevet tiennent sur les fonts baptismaux Louise-Gabrielle, la seconde fille de Greuze et de Gabrielle Babuty 769 . Wille indique qu’il était présent à la cérémonie 770 . Donc, Wille ne pouvait ignorer les Drevet et leur œuvre, d’autant moins qu’il avait fréquenté Rigaud.

Contribuant à la pérennité du portrait gravé pendant la seconde partie du XVIIIe siècle, Wille a formé des élèves parmi lesquels Johann Georg Preisler (1757-1831) et Simon-Charles Miger (1736-1820) qui présente en 1778 pour sa réception à l’Académie, le Portrait de Louis-Michel Van Loo, d’après lui-même 771 , pour lequel on ne peut que percevoir le savoir-faire des Drevet et le style de Rigaud. Il réalise plus sobrement le Portrait de Jean-Marie Vien, d’après Madame Guiard 772 , portrait enchâssé dans un ovale et dont l’expression est étonnante de vérité, les modelés du visage taillés finement avec beaucoup d’adresse.

Georg Friedrich Schmidt, quant à lui, a reçu également les conseils de Rigaud, selon les Mémoires de Wille. Il semble qu’il ait progressé plus rapidement que son ami, puisqu’il est reçu à l’Académie dès 1744 sur la présentation du Portrait de Pierre Mignard, d’après Rigaud 773 . Ses tailles sont plus légères et plus variées que celles de Wille et, en cela, il se rapproche davantage des Drevet. Il repartira pour Berlin d’où il restera en contact avec Wille. Parmi ses portraits où l’influence des Drevet est lisible, notons ceux du Comte d’Evreux d’après Rigaud gravé en 1729 774 , de l’évêque d’Auxerre, Charles Gabriel de Tubières de Caylus, d’après Fontaine 775 , de Charles, Archevêque duc de Cambrais, d’après Rigaud 776 et de Jean-Baptiste Silva médecin du roi, également d’après Rigaud 777 .

En avançant dans le siècle, se font jour les productions de graveurs nés dans les années 1730 et dont les morceaux de réception sembleraient confirmer l’influence des styles de Rigaud, de Nicolas de Largillierre et de François de Troy et celle de la technique des Drevet. Pierre-Etienne Moitte (1722-1780) présente en 1771, le Portrait de Jean II Restout, d’après Maurice Quentin de La Tour 778  ; Jacques-Firmin Beauvarlet (1731-1797), en 1776, le Portrait d’Edme Bouchardon, d’après François Hubert Drouais ; la même année, Louis-Simon Lempereur (1728-1807), réalise le Portrait d’Etienne Jeaurat, d’après Alexander Roslin. En 1777 et 1778 on trouve encore les portraits respectivement gravés par Louis-Jacques Cathelin (1739-1804) et Simon-Charles Miger (1736-1820), du contrôleur général des finances Joseph-Marie Terray, d’après Alexander Roslin et de Louis-Michel Van Loo, d’après lui-même. Directement inspirés du style de Rigaud, ces deux portraits gravés rendent les effets de la peinture dans la manière des Drevet 779 .

Le style de Rigaud, admiré dans les cours d’Europe, rendu par les plus beaux portraits des Drevet d’après ce peintre ayant également circulé, paraissent avoir généré une mode de peinture de portrait et de gravure à laquelle ont adhéré les peintres et les graveurs européens 780 . Citons, entre autres, le portrait du proconsul Jacob Henri Zerneck, gravé à Leipzig en 1742 par I.-M. Bernigeroth, d’après Daniel Klein 781 . Le décor cher à Rigaud est planté : colonne, rideau, manteau drapé, riche ameublement, longue perruque, effets de lumières. Concernant la gravure, la manière de Pierre Drevet est mise en œuvre, la perruque et le visage seuls, n’étant pas traités avec assez de légèreté.

En revanche, le portrait gravé et enchâssé dans un ovale de pierre perdure, et les tailles fines, légères ou profondes à la manière des Drevet, modèlent des visages au regard expressif. En 1761, Manuel Salvador Carmona (1734-1820) présente, pour sa réception à l’Académie, les portraits de Hyacinthe Collin de Vermont, d’après Alexander Roslin (1718-1793) 782 et de François Boucher, d’après le même peintre 783 . En 1789, Nicolas de Launay (1739-1792) réalise, également pour sa réception à l’Académie, le portrait de Sébastien Le Clerc, le fils, d’après Donat Nonnotte (1708-1785) 784 .

Pendant le dernier quart du XVIIIe siècle, d’autres graveurs venus d’Allemagne, comme Johann Gotthard von Muller, (1747-1830), Ignaz Sebastian Klauber (1753-1817) ou du Danemark comme Johann Georg Preisler (1757-1831), qui ont travaillé quelque temps en France, ont été reçus à l’Académie pour leurs excellents travaux, puis, ont quitté le France emportant avec eux, en Europe et jusqu’à Saint-Pétersbourg et Copenhague, la technique inspirée de celle des Drevet et apprise en France 785 .

Il est également possible de suivre Jean Laran qui voit en William Woollet (1735-1785) et William Sharp (1749-1824) le prolongement de ce genre de gravure de portrait au burin en Angleterre 786 . De même, il désigne Giovanni Volpato (1753-1803) et Giuseppe Longhi (1766-1831) pour être les continuateurs de cet art en Italie 787 .

Notes
738.

Voir plus loin La fortune critique.

739.

Chennevières et Montaiglon 1853-1854, II, pp. 62-64.

740.

BNF, Est., Da 64, folio, p. 55. Voir annexes, vol. III, A 9, p. 106.

741.

BNF, Est., Da 63, folio.

742.

BNF, Est., Aa 300, fol, p. 40. Voir annexes, vol. III, A 10, p. 107.

743.

BNF, Est., Da 63, folio, p. 117.

744.

Chennevières et Montaiglon 1853-1854, II, pp. 62-64.

745.

C’est le cas pour les portraits du Prétendant au trône d’Angleterre et de son frère le Duc d’York, de celui de Louis Moreau de Maupertuis, pour lesquels J.-G. Wille dit lui-même avoir travaillé, sans être content de son travail. Voir Duplessis 1857, I, pp. 99-100.

746.

BNF, Est., Da 64, folio, p. 87.

747.

BNF, Est., Da 63, folio, p. 171. Voir annexes, vol. III, A 11, p. 108.

748.

BNF, Est., Da 62, folio, p. 96. Voir annexes, vol. III, A 12, p. 109.

749.

BNF, Est., N3, folio, vol. 24.

750.

BNF, Est., N3, folio, vol. 55.

751.

BNF, Est., Da 62, folio, p . 60.

752.

BNF, Est., Aa 300, folio, p. 32. Voir annexes, vol. III, A 13, p. 110.

753.

BNF, Est., Aa 300, folio, p. 31. Voir annexes, vol. III, A 14, p. 111.

754.

BNF, Est., Da 64, p. 109. Voir annexes, vol. III, A 15, p. 112.

755.

BNF, Est., Aa 300, p. 28. Voir annexes, vol. III, A 16, p. 113.

756.

BNF, Est., Aa 300, p. 25. Voir annexes, vol. III, A 17, p. 114.

757.

BNF, Est., Aa 300, p. 26. Voir annexes, vol. III, A 18, p. 115.

758.

BNF, Est., Da 64, folio, p. 60. Voir annexes, vol. III, A 19, p. 116.

759.

BNF, Est., Aa 300 p. 47. Voir Préaud 1982, n° 50.

760.

BNF, Est., N2, folio.

761.

BNF, Est., N3, folio, vol. 44.

762.

BNF, Est., Aa 300, folio, p. 20. Voir annexes, vol. III, A 20, p. 117.

763.

BNF, Est., Aa 300, folio, p. 46. Voir annexes, vol. III, A 21, p. 118.

764.

Duplessis 1857, I, pp. 71-73.

765.

BNF, Est., Da 63, folio, p. 157. Voir annexes, vol. III, A 22, p. 119.

766.

BNF, Est., N2, folio, vol. 152.

767.

BNF, Est., Aa 300, p.48. Voir annexes, vol. III, A 23, p. 120.

768.

Voir La fortune critique, p. 221.

769.

Jal 1867, p. 659.

770.

Voir Duplessis 1857, pp. 255-256. Wille ne cite pas le nom du parrain. Il indique seulement sa présence à la cérémonie.

771.

BNF, Est., Aa 300, folio, p. 60. Voir annexes, vol. III, A 24, p. 121.

772.

BNF, Est., Aa 300, folio, p. 67. Voir annexes, vol. III, A 25, p. 122.

773.

BNF, Est., Aa 300, folio, p. 42. Voir annexes, vol. III, A 26, p. 123.

774.

BNF, Est., Da 63, folio, p. 156.

775.

BNF, Est., N3, folio, vol. 15.

776.

BNF, Est., Da 63, folio, p. 100.

777.

BNF, Est., Da 64, folio, p. 49. Voir annexes, vol. III, A 27, p. 124.

778.

BNF, Est., N3 folio.

779.

Voir Préaud 1982,pp. 40-46.

780.

Lossky1946, pp. 30-40.

781.

BNF, Est., N2 folio, vol. 2058.

782.

BNF, Est., Aa 300, p. 50. Voir annexes, vol. III, A 28, p. 125.

783.

BNF, Est., Aa 300, p. 49. Voir annexes, vol. III, A 29, p. 126.

784.

BNF, Est., Aa 300, p. 65. Voir annexes, vol. III, A 30, p. 127. Pour ces trois portraits voir Préaud 1982, Catalogue de l’Exposition « Les Morceaux de réception des graveurs de l’Académie Royale des Beaux-Arts… », nos 52, 53, 71.

785.

Voir Préaud 1982, pp. 40-43.

786.

Voir BNF, Est., AA3, rés., AA4 rés.

787.

Laran 1959, I, p. 132.