L’année 1896 voit l’édition d’un dictionnaire sur les graveurs lyonnais du XVIIe siècle dont l’auteur est Natalis Rondot. Celui-ci se base pour la biographie sur des documents d’archives et sur l’œuvre de chaque graveur connu à cette époque. Il ne cite, en ce qui concerne Pierre Drevet que treize portraits, alors que le catalogue raisonné de Firmin-Didot existait déjà depuis 1876 :
‘« …Pierre Drevet est certainement un des premiers graveurs français, particulièrement pour le portrait. Il avait une science du dessin merveilleuse, un trait ferme et pur, une gradation des tons harmonieuse ; son travail était parfait jusque dans les moindres détails 826 ». ’Rondot1896, p. 109.