à ces être chers,
Daniel et Yvonne qui m’ont précédé,
Marilou et Clément qui nous succéderont.
« Le travail d’un intellectuel n’est pas de modeler la volonté politique des autres ; il est, par les analyses qu’il fait dans les domaines qui sont les siens, de réinterroger les évidences et les postulats, de secouer les habitudes, les manières de faire et de penser, de dissiper les familiarités admises, de reprendre la mesure des règles et des institutions et, à partir de cette reproblématisation (où il joue son métier spécifique d’intellectuel) de participer à la formation d’une volonté politique (où il a son rôle de citoyen à jouer). » 1
J’exprime ma gratitude à Guy VINCENT d’avoir dirigé cette recherche.
Je remercie Michel HENRY, Norbert MEUSNIER, Denis BAYART et Paul-Louis HENNEQUIN qui m’ont fait part de leurs remarques et ont mis à ma disposition des documents précieux. J’associe à ces remerciements Monique PAILLAT, des éditions Vuibert-Bordas, pour m’avoir permis de consulter les archives des annales d’examen, et Olivier DE CAMBRY, professeur à l’École supérieure d’ingénieurs en électronique et électrotechnique de Paris, de m’avoir communiqué les documents servant de support aux enseignements de probabilités et de statistique dans cet établissement.
Je suis très reconnaissant envers celles et ceux qui m’ont soutenu à des degrés divers par leurs encouragements et leurs suggestions avisées : Eric BRIAN, Philippe CIBOIS, Marcel CONCHE, Raymond COURT, Joëlle DELATTRE, André DUNY, Gérard GUILLOT, Marie-Paule LECOUTRE, Irène PASSERON, Patrick RAYOU, Dominique REUTER, Jean François FIRER, Jacques et Marie-France LENOIR, Françoise SOUBRIER, Jean Paul RODET, et pour sa relecture attentive Françoise SAPIN.
Je n’oublie pas les étudiants qui ont collaboré à cette recherche.
M. Foucault, Dits et écrits, tome IV, éditions Gallimard, 1994, p.676-677