III. De L’absence de mémoire au « juste oubli »

Une fois la memoria reconnue comme valeur politique fondamentale se pose la question de son absence : comment Cicéron l’envisage-t-il dans la vie de Rome ? Un critère moral intervient de nouveau, puisque, nous le constaterons, condamnable chez les ennemis de la République, l’oubli peut être en revanche une vertu chez ses défenseurs.