Annexe 1. Glossaire des termes techniques.

Toute règle munie d’un dipositif servant à viser et à tracer des directions en la plaçant sur une planchette topographique. La règle de l’alidade porte un biseau, généralement gradué, le long duquel on trace le trait relatif à la direction de l’objet sur lequel on a assuré le pointé. La visée est observée au moyen d’une lunette dans l’alidade holométrique et la règle à éclimètre, ou par un dispositif à pinnules dans l’alidade nivelatrice.

Figure 6 : Règle à éclimètre.
Figure 6 : Règle à éclimètre.

Source Berthaut. La carte de France. T.2. Op. cit.

Figure 7 : Alidade holométrique.
Figure 7 : Alidade holométrique.

Source Berthaut. La carte de France. T.2. Op. cit.

Procédé de rédaction sur couche pour les planches de teinte. Une couche d’enduit spécial se tannant à la lumière est insolée à travers un masque portant les contours des zones de teinte, généralement un positif de la planche de trait. L’image négative obtenue est ainsi découpée par les contours où le plastique est à nu : la couche d’enduit est alors arrachée sur les seules zones de teinte, donnant un négatif qui, une fois transformé en positif, sert de masque pour l’héliogravure directe des planches de teinte. Il est possible d’arracher les zones destinées à rester sans teinte pour obtenir un positif, mais les surfaces de teintes étant généralement moins étendues, le premier procédé est plus économique. (Voir partie 4, chapitre 4.1.2.3)

Opération consistant à établir une maquette en assemblant les documents utilisés pour la rédaction cartographique.

Angle formé par le méridien magnétique et l’horizontale reliant l’instrument au point visé.

Distance entre deux points, mesurée directement sur le terrain et rattachée par des triangles à un côté de la triangulation de géodésie primordiale, permettant la mise à l’échelle du réseau de triangles et donc la détermination de la position de leur sommet par mesure d’angles.

Instrument combinant une boussole pour la mesure des azimuts et un éclimètre pour la mesure des angles zénithaux.

Ensemble des points déterminés par la triangulation.

D’un point de vue éditoriale, ce terme désigne une production cartographique formant un ensemble cohérent pouvant comporter de nombreux documents, à l’image de la carte de France au 1 : 50 000 qui compte mille cent feuilles. (Voir « Historiographie », 2.1.3)

D’un point de vue éditoriale, ce terme désigne la sous-division d’une feuille pour les besoins de publication à des échelles supérieures. Par exemple, une feuille de la carte de France au 1 : 50 000 est divisée en huit coupures au 1 : 20 000. (Voir « Historiographie », 2.1.3)

Courbes de niveau spécialement mises en valeur, par une impression en gras ou des indications d’altitudes par exemple, à intervalle régulier, par exemple toutes les cinq courbes (si l’équidistance des courbes de niveau normales est de vingt mètres, celles des courbes maîtresses est alors de cent mètres).

« Pendant longtemps, la planche d’estompage a été faite au crayon lithographique sur un zinc ayant un grain spécial ; ce grain décomposant naturellement le frottis de crayon en une surface teintée formée d’éléments discontinus, de densité plus ou moins forte suivant l’intensité des ombres, il était possible de reproduire toutes les variations de teinte. »1739

Boîtier rectangulaire contenant une aiguille aimantée fixé sur une planchette topographique pour la décliner.

Modèle utilisé pour le tracé des hachures normalisées, afin de moduler leur écartement théorique en fonction de l’importante de la pente pour éviter de donner des teintes trop claires ou trop sombres.

Instrument permettant la mesure des angles verticaux (parfois qualifiés d’angle de pente dans les textes anciens). Par extension, fonction de mesure des angles verticaux dans les instruments complexes comme le théodolite ou le tachéomètre.

1) Ecart entre le report d’un point sur une minute et sa position vraie.

2) Ecart entre une longueur reportée ou mesurée graphiquement sur une minute et la longueur vraie correspondante.

Méthode de réalisation de la planche d’estompage par photographie d’un plan relief. (Voir partie 4, chapitre 4.2.2.1)

1) Levés topographiques exécutés avec moins de précision que les levés réguliers ou de détails, généralement en acceptant une marge d’erreur dans la mise en place des détails supérieure à l’erreur graphique définie pour l’échelle.

2) Dans le cadre des levés de précision dans les Alpes, la méthode expédiée consistait à lever les fonds de vallées avec autant de précision que les levés réguliers, mais à se contenter pour les crêtes et les sommets rocheux de détermination par des intersections à longues distances ou de simples croquis perspectifs. (Voir partie 3, chapitre 2.2.2)

Méthode de restitution de photographies aériennes utilisée quand la densité du canevas planimétrique était insuffisante. Elle se basait sur la propriété géométrique de conservation du rapport anharmonique1740 dans une projection centrale pour placer un point à partir de faisceaux de droites passant par quatre points connus, appelés repères, et le point à placer. Les repères devaient être situés à peu près dans le même plan horizontal, c’est-à-dire à la même altitude.

Impression sur une planche par procédé photographique remplaçant un décalque à la main, et permettant notamment d’assurer un repérage plus précis des planches de couleurs.

D’un point de vue éditoriale, ce terme désigne une unité de l’ensemble formé par une carte, c’est-à-dire ce qui est traditionnellement appelé « carte » au sens physique de l’objet matériel. (Voir « Historiographie… », 2.1.3)

Levé des courbes de niveau par nivellement direct en suivant ces courbes sur le terrain par la détermination de points successifs de même altitude, suffisamment rapprochés et généralement choisis aux endroits où la courbe change de direction afin de pouvoir être reliés sans erreur d’interprétation.

Procédé permettant de déposer du métal sur un objet par électrolyse dans un liquide contenant des sels métalliques.

Opération topographique ou cartographique permettant de passer d’un plan (ou d’une carte) à un autre plan (ou une autre carte) à plus petite échelle par allégement du nombre de détails, simplification des tracés, symbolisation plus poussée.

Instrument servant à mesurer les angles.

Procédé de rédaction cartographique sur une glace recouverte d’une solution aqueuse de gomme arabique et de céruse. « Après séchage de la couche et décalque du dessin, on procédait au traçage à l’aide de pointes de grosseurs différentes […]. On noircissait ensuite la planche par exposition à des vapeurs sulfureuses qui transformaient le carbonate de plomb, blanc, en sulfure de plomb, noir ; on obtenait ainsi un négatif à l’endroit dont on tirait par contact un positif à l’envers prêt pour la copie sur zinc. Ce procédé, rapide et donnant une image d’excellente qualité, n’a cependant jamais été employé que pour les courbes de niveau, et aucun instrument n’a été construit pour le traçage des lignes doubles, cercles et autres figures entrant dans la composition des signes conventionnels »1741. Utilisé pour le tracé des courbes de niveau de la carte de France type 1900, puis abandonné avec l’adoption du type 1922. (Voir partie 3, chapitre 4.1.3.1)

Ensemble des éléments graphiques extérieures au dessin topographiques lui-même : titre, cadre, échelle, légende, tableaux d’assemblage, cartouches, etc.

Gravure en creux d’une planche de zinc par morsure avec une solution d’acide des parties dénudée après une insolation à travers un cliché photographique. (Voir encadré 3, partie 2, chapitre 3.1.3.2)

Dont l’action chimique, en particulier sur les surfaces sensibles, est insignifiante. En rédaction cartographique, se dit d’une couleur réfléchissant ou laissant traverser à peu près autant de rayons actifs que le support, et disparaissant donc à la photographie ou à la copie. Elle permet ainsi de travailler sur un tirage disposant d’un fond topographique qui ne sera pas reproduit lors de la photographie.

Procédé permettant la détermination des coordonnées rectangulaires d’un point non stationné, à partir d’au moins deux visées se recoupant, dites « visées d’intersection ». (Voir partie 1, chapitre 1.2.2.2)

Encre de Chine plus ou moins coupé d’eau. Cette technique était notamment utilisé pour les planches d’estompage, obtenue par un dessin au lavis sur un fond orohydrographique portant en bleu actinique l’hydrographie et les courbes de niveau.

Ensemble des opérations topographiques destinées à recueillir sur le terrain les éléments nécessaire à l’établissement d’un plan ou d’une carte.

Bord gradué du cercle d’un instrument de mesure.

Voir Assemblage.

Dans les procédés de reproduction photomécanique, cliché photographique à travers lequel une planche de métal est insolée afin de reproduire le dessin qu’il porte sur celle-ci.

Procédé similaire au masque lithographique utilisé pour établir des planches de teinte, à la place du procédé plus ancien de la réserve à la gomme. Pour chaque signe conventionnel, un masque est établi avec une trame spécifique, à l’échelle de rédaction et à l’envers, sur des feuilles d’astralon portant en bleu actinique l’impression repérée des planches de noir et de bleu1742. Le tracé des trames suivait ainsi les limites des zones de teinte dessinées sur la planche de trait, qui restait elle sur papier Rives. Il était reproduit par métallographie directe et successive de chaque masque sur une même planche de zinc. Même si elle nécessitait d’attendre que les planches de noir et de bleu soient terminées, cette méthode s’avérait plus souple et plus rapide que la réserve à la gomme, à la fois parce qu’elle pouvait être utilisée pour des cartes qui n’étaient pas rédigées directement d’après des levés, et à la fois parce qu’elle facilitait singulièrement les corrections. (Voir partie 4, chapitre 4.1.2.2)

Voir photogrammétrie.

Le terme « minute » désigne l’original d’un levé, c’est-à-dire la feuille de papier (puis de matière plastique à partir des années cinquantes) sur laquelle sont tracés sur le terrain (ou au moment de la restitution)les éléments nécessaire à la construction de la représentation du terrain et la représentation elle-même.

  • Mise à jour

Opération d’entretien d’une feuille qui consiste à actualiser les informations planimétriques contenues sans modifier le fonds topographique lui-même.

  • Mise au net

Opération consistant à passer à l’encre le dessin au crayon figurant sur la minute (il ne s’agit pas de la rédaction cartographique, seulement de la clarification de la minute sur laquelle demeurent parfois des traces de construction par exemple).

  • Orthophotographie

Technique d’obtention des orthophotoplans.

  • Orthophotoplan

Image photographique complète du terrain, obtenue par transformation d’une perspective conique oblique (photographie aérienne) en une projection cylindrique verticale à une échelle définie, afin de la rendre superposable à un plan et donc de permettre des mesures.

  • Papier armé, ou papier invar

« Support constitué d’une feuille d’aluminium collée entre deux feuilles de papier fort, qu’on emploi notamment pour l’établissement des minutes et stéréominutes. »1743 (Voir Zinc habillé)

  • Papier Rives

Un papier « très blanc, très homogène, assez mince, à grain très serré, et qui ne peluche pas », permettant « un travail très fin, aussi bien au tire-ligne qu’à la plume », mais difficile à corriger car se grattant mal1744.

  • Pelliculage

Voir Arrachage sur couche.

  • Photogrammétrie

Technique permettant de déterminer les dimensions, les positions et la forme d’objet à partir de clichés photographiques pris dans des chambres métriques. Utilisée en topographie pour lever le terrain à partir de photographies (généralement stéréoscopiques) terrestres ou aériennes. (Voir partie 3, chapitre 3)

  • Photographie tramée

Procédé de photographie consistant en « l’interposition entre l’objectif et la plaque sensible d’un réseau appelé “trame” qui transforme automatiquement les teintes dégradées en points de différentes grandeurs, les plus fins correspondant aux parties les mieux éclairées et les plus gros aux parties les plus sombres. Vues à distance les surfaces ainsi ponctuées apparaissent continues »1745.

Utilisé pour la réalisation de la planche d’estompage : l’estompage est d’abord établi en lavis au pinceau sur une épreuve en bleu non photogénique comportant l’orographie et l’hydrographie, puis le modèle est reproduit par photographie tramée, traitée de façon à dégager les blancs de toute trace de trame, puis reporté sur zinc par héliogravure, donnant ainsi une planche de tirage.

  • Phototopographie

Voir photogrammétrie.

  • Pinnules

Plaques percées de trous placées aux extrémités d’une alidade pour servir aux visées topographiques.

  • Planchette topographique

Planche à dessin montée sur un trépied, sur laquelle on fixe une mappe comportant la minute de levé ou la stéréominute à compléter ou à réviser.

  • Planchette déclinée

Méthode de levé topographique dans laquelle le levé s’effectue sur une planchette constamment déclinée, c’est-à-dire orientée par rapport au nord magnétique par l’emploi d’un déclinatoire, boîtier rectangulaire contenant une aiguille aimantée fixé sur la planchette.

  • Polycentrique (projection)

« Système de projection […] dans lequel chaque feuille est la projection, réduite à l’échelle, du terrain sur le plan tangent au sphéroïde, mené par le centre de cette feuille »1746. (Voir partie 3, chapitre 4.1.1.2)

  • Quart de cercle

« Sorte de graphomètre dont le limbe était réduit à 90 ou 100 degrés, quelquesfois 110, au lieu de 180 ; ce qui permettait, sans augmenter le poids et les dimensions totales de l’instrument, de doubler le rayon du cercle, de manière à obtenir une approximation plus grande dans la lecture des angles »1747. (Voir partie 1, chapitre 1.1.1.2)

  • Rayonnement planimétrique

Opération qui consiste à déterminer la position planimétrique d’un point M à partir d’un point A connu en position et en altitude, par la mesure d’un angle et d’une distance AM réduite à l’horizon. Le rayonnement direct s’effectue à partir du point connu, le rayonnement indirect à partir du point à déterminer.

  • Réciproque

Mesure effectué d’un premier sommet en visant un deuxième, puis réciproquement du deuxième sommet en visant le premier.

  • Réduction à l’horizon

Opération délicate que nécessitait l’emploi des anciens instruments géodésiques (graphomètre, quart de cercle) quand la mesure de l’angle azimutal se faisait avec un cercle trop incliné à cause de la différence d’altitude entre les points visés. Le théodolite fut spécialement développé pour la rendre inutile. (Voir partie 1, chapitre 1.4.3.2)

  • Réfection

Opération d’entretien d’une carte qui consiste à effectuer de nouveaux levés et une nouvelle rédaction d’une feuille, c’est-à-dire d’en publier une version entièrement nouvelle.

  • Réitération

Méthode consistant à effectuer plusieurs mesures indépendantes d’un même angle, à partir de traits équidistants sur le limbe. (Voir partie 2, chapitre 4.2.2.1)

  • Relèvement

Procédé de détermination graphique de la position et de l’altitude d’un point par le tracé sur la minute des directions indiquées par l’alidade, à partir de quatres points d’appui.

  • Répétition

Méthode consistant à porter plusieurs fois la mesure d’un angle sur le limbre, puis à calculer la valeur de l’angle par la division de la mesure finale par le nombre de répétition. (Voir partie 1, chapitre 1.4.3.2)

  • Report (tirage en)

Méthode évitant le dessin à l’envers sur les planches destinées à la reproduction, par l’utilisation d’un papier report sur lequel le dessin est effectué à l’endroit dans une encre chimique, puis transférer sur la planche de pierre ou de zinc. (Voir partie 2, chapitre 3.1.3)

  • Réserve à la gomme

Procédé d’établissement des signes de végétation. Sur un faux-décalque (généralement en zinc), le graveur trace légèrement à la pointe les contours des zones qui doivent comporter le signe, puis il recouvre la planche d’une couche de gomme protectrice, en réservant seulement les parties où doit figurer le signe. L’imprimeur tire une épreuve à report de la planche dite de poncifs, entièrement couverte par les signes, et décalque cette épreuve sur la planche préparée à la gomme. Celle-ci est ensuite lavé : la gomme est dissoute et le décalque ne subsiste que dans les parties qui ont été reservée1748.

  • Restitution

Ensemble d’opérations permettant de déterminer les coordonnées géographiques de points à partir d’observations et de mesures sur plusieurs clichés photographiques.

  • Réticule

Monture perpendiculaire à l’axe de visée d’un instrument optique, portant un système de traits orthogonaux gravés généralement sur une plaque de verre.

  • Révision

Opération d’entretien de la carte qui consiste à actualiser le fond topographique et l’image cartographique d’une feuille, de façon plus ou moins poussée, à partir d’informations révisées provenant de nouveaux levés, d’une révision sur le terrain ou de diverses sources indirectes (données administratives, cartes étrangères, etc.).

  • Rocher à l’effet

Procédé de représentation des zones rocheuses fortement déclives par un dessin perspectif en projection horizontale, reproduisant la structure particulière du rocher. (Voir partie 3, chapitre 4.2)

  • Stadia

Instrument de mesure des distances, formé d’une mire graduée, observée par un instrument d’optique muni d’un réticule.

  • Stéréominute

Minute obtenue par restitution de clichés stéréotopographiques.

  • Stéréophotographie

Procédé de photographie dans lequel deux vues jumelées sont prises avec la même orientation depuis les extrémités d’une base, permettant d’obtenir une impression de relief lors de leur observation simultanée avec un binoculaire.

  • Tachéomètre

Théodolite à deux cercles dont le cercle horizontal est muni d’un déclinatoire pour pouvoir l’orienter, et le cercle vertical d’une lunette stadimétrique.

Figure 8 : Tachéomètre Goulier.
Figure 8 : Tachéomètre Goulier.

Source Berthaut. La carte de France. T.2. Op. cit.

  • Taille-douce

Procédé de gravure en creux, avec des pointes à l’eau-forte, des points sèches ou des burins. Désigne spécialement la gravure sur cuivre au burin et le tirage effectué à partir de la planche ainsi gravée.

  • Théodolite

Instrument de géodésie et de topométrie permettant la mesure des angles azimutaux sans réduction à l’horizon. Constitué d’une lunette et d’un (pour les premiers modèles) ou deux cercles gradués : un cercle horizontale pour mesurer les angles azimutaux, et un cercle verticale pour mesurer des angles verticaux. (Voir partie 1, chapitre 1.4.3.3)

Figure 9 : Théodolite réitérateur du SGA.
Figure 9 : Théodolite réitérateur du SGA.

Source Berthaut. La carte de France. T.2. Op. cit.

  • Tracé sur couche (anglais : scribing-mask )

Procédé de rédaction cartographique dérivé du procédé de la glace blanchie. « [Il] consiste à dégager les traits à l’outil sur une glace ou une feuille plastique préalablement recouverte d’un enduit spécial appelé couche à tracer. On obtient ainsi, directement, un faux cliché négatif à l’échelle de publication »1749. (Voir partie 4, chapitre 4.1.2.3)

  • Triangulation

La triangulation est l’ensemble des opérations permettant de déterminer la position d’un système de points formant un canevas géométrique, par la détermination des triangles dont ils sont les sommets, à partir d’une base mesurée sur le terrain et de mesures angulaires. (Voir partie 1, chapitre 1.1)

  • Vertical (angle)

Voir zénithal.

  • Zénithal (angle ou distance)

Angle mesuré entre deux directions situées dans le même plan vertical.

  • Zinc habillé

Papier collé sur une feuille de zinc pour éviter les déformations dues aux variations du degré hygrométrique, et contrecollé à l’envers avec une feuille de papier ordinaire pour éviter une courbure du zinc liée au travail du papier. Utilisé pour le dessin cartographique. (Voir Papier armé)

Notes
1739.

« Etablissement d’une feuille de la carte de France au 50.000e en couleurs, type 1922 », Paris, Imprimerie du Service Géographique de l’Armée, 1936, p. 7.

1740.

Si a, b, c, d sont quatre points alignés, le birapport ou rapport anharmonique est égal au quotient des deux rapports de section de c et d sur ab, soit (ca/cb)/(da/db).

1741.

ALINHAC Georges, Cartographie théorique et technique. Deuxième fascicule : Méthodes générales de rédaction cartographique., Paris, Institut Géographique National, avril 1962, p. 80.

1742.

ALINHAC Georges, Rédaction cartographique. Deuxième fascicule : Techniques appliquées., Paris, I.G.N., janvier 1955, p. 53.

1743.

ALINHAC Georges, Rédaction cartographique. Premier fascicule : Eléments de base et techniques générales, Paris, I.G.N., octobre 1954, p. 84.

1744.

ALINHAC Georges, Rédaction cartographique. Premier fascicule : Eléments de base et techniques générales, Paris, I.G.N., octobre 1954, p. 83.

1745.

« Etablissement d’une feuille de la carte de France au 50.000e en couleurs, type 1922 », Paris, Imprimerie du Service Géographique de l’Armée, 1936, p. 7.

1746.

VALLOT Henri, « Troisième note sur la carte au 20.000e du Massif du Mont-Blanc », Annuaires du Club Alpin Français, 30, 1903, p. 386.

1747.

BERTHAUT Colonel, La Carte de France, op. cit., tome 1, p. 8.

1748.

« Etablissement d’une feuille de la carte de France au 50.000e en couleurs, type 1922 », Paris, Imprimerie du Service Géographique de l’Armée, 1936, p. 6.

1749.

ALINHAC Georges, Cartographie théorique et technique. Deuxième fascicule : Méthodes générales de rédaction cartographique., Paris, Institut Géographique National, avril 1962, p. 80.