L’échelle a été choisie parce qu’elle n’est pas unidimensionnelle.C’est une échelle plus malléable que celles précédentes. Elle réunit un grand nombre de déclarations et des propositions se rapportant au sujet de recherche. L’enquêté doit donner à chaque item une numérotation à cinq échelon : Approbation totale : 5, Approbation : 4, Indifférence : 3, Désapprobation : 2, Désapprobation totale : 1.
Elle propose, donc, des opinions multidimensionnelles permettant des réponses nuancées dans le but de savoir l’attitude de l’individu, s’il est ’’pour ‘’ ou ‘’contre’’. En reposant sur le pré-test des échelles d’attitudes, une nécessité d’adaptation de cette échelle s’est imposée. Celle-ci concerne les échelons qui deviennent (j’accepte, plus ou moins, je n’accepte pas).
Partant de cette technique, nous avons présenté aux membres de l’échantillon certaines opinions, et nous avons demandé leurs avis à leur égard. Les opinions choisies concernent les thèmes principaux suivants : la révolution des médias, la mondialisation, l’appartenance familiale, la laïcité, la religion, et certaines questions culturelles et politiques considérées indispensables pour la recherche.
Rappelons que l’exploitation des informations récoltées par les échelles d’attitudes n’est significative qu’en fonction des données fournies par l’enquête.
Donc,ordonner par priorité certaines éléments constitutifs de l’identité, pour savoir quel est l’élément fondamentale sur lequel est basée l’identité culturelle (échelle I),ou, classifier les individus selon un critère relationnel, qui nous informe de la réalité de la situation du ’’ contact des cultures ‘’ au Liban (échelle II), ou, donner son perspective à propos des variétés des opinions (échelle III), un parcours technique qui reflète la complémentarité des outils et la nécessité de choisir une approche pluridisciplinaire.