2.3. Administration du questionnaire

2.3.1. Mode de diffusion et de récupération des données

Comme nous l’avons signalé plus haut, nous avons décidé de diffuser notre sondage par le biais d’Internet. Plus précisément, le sondage a été codé en HTML et installé sur le site Web du Projet du Dictionnaire Canadien Bilingue 293 . Nous avons joint les enquêtés potentiels par un courrier électronique dans lequel nous expliquions le but de notre recherche et nous renvoyions au site Web ; autrement dit,

  • sauf demande expresse des personnes contactées, le fichier du sondage n’était pas envoyé en pièce attachée (car cela aurait risqué de rebuter un certain nombre de personnes) ; il était néanmoins téléchargeable au format Word sur le site Web ;
  • ne pouvaient avoir accès au sondage que les personnes ayant reçu l’adresse du site web (aucun lien hypertexte ne permettait de s’y rendre, cela afin de parer aux éventuels abus).

Néanmoins, certaines personnes nous ont demandé explicitement des versions papier du sondage, ou d’autres encore ont imprimé le document Word ou la page Web du sondage et l’on rempli à la main.

Les données ont ensuite été récupérées de deux manières :

  • par courrier électronique, sous forme numérique et partiellement codifiée si elles avaient été saisies sur le site Web 294 , ou seulement sous forme numérique si elles avaient entrées dans le document Word même ;
  • par voie postale lorsque les sondages avaient été remplis à la main.
Notes
293.

Les adresses URL étaient les suivantes : http://www.dico.uottawa.ca/questionnaireFR.html et http://www.dico.uottawa.ca/questionnaireEN.html . Nous tenons ici tout particulièrement à remercier David Ostrosser, alors responsable informatique au DCB.

294.

Le processus était le suivant : les personnes remplissaient le sondage sur le site web lui-même ; ces réponses étaient partiellement codifiées de manière automatique, et nous étaient envoyées (automatiquement aussi) par courrier électronique dans une boîte que nous avions créée à cet effet. Malheureusement, la façon dont les réponses étaient codifiées ne nous permettait pas d’intégrer les données telles quelles dans le logiciel d’analyse des données (nous ne saurions trop recommander que cela soit fait automatiquement pour de futures études. Cela dit, le fait de rentrer les données au fur et à mesure à la main permet de se rendre compte de certaines erreurs et de certaines incohérences et de les corriger).