Si originellement, séculariser revenait à transférer un bien du domaine ecclésiastique au laïque, par extension, le phénomène de sécularisation en est venu à désigner le vaste mouvement historique et continu par lequel divers champs de la vie sociale se sont émancipés avec brutalité ou non de la tutelle religieuse. Une analyse exhaustive des rapports entre religion et société n’est pas l’objectif de ce travail. Ici, nous ne rappellerons que quelques faits, fondés sur de nombreux travaux en sociologie des religions 15 .
Notamment : HERVIEU LEGER D, 1986 « Vers un nouveau christianisme ? » Paris, ed du Cerf ou ACQUAVIVA S & PACE E. 1994. « La sociologie des religions » Ed du Cerf. Paris.202p