Transformation qualitative du rapport à la nature qu’induisent les avancées fulgurantes de la science et des technologies

Essentiellement par une artificialisation du rapport des hommes à la nature d’une part mais remise en question des frontières entre l’humain et le non humain, la vie et la non-vie. La déstabilisation des références partagées en ces matières suscite la prise de conscience que la nature n’est plus un ordre dans lequel s’ancre ultimement toutes les représentations de l’absolu.