9.1.2 Les représentations autour des « mobiles africains »

Nous entendons par représentations des «mobiles africains», un «système de savoirs pratiques, mythologies (pour Barthes 452 )» :

opinions, images, attitudes, préjugés, stéréotypes, croyances, générés en partie dans les contextes d’interactions interindividuelles et/ou inter-groupaux par les individus détenteurs de téléphones mobiles en Afrique. Les représentations mentales (individuelles et sociales) nourries à l'égard du téléphone mobile sont nombreuses. Seules deux seront ici examinées : le téléphone mobile comme symbole de réussite sociale et le mobile comme nouvel outil de développement. L'étude ici consistera à étudier son contenu symbolique, l'«imagination sociale et culturelle» qu'il suscite aux yeux des acteurs sociaux (RICOEUR, 1997, p.17) en concentrant l'attention sur l'idée que l'on se fait de l'objet plutôt que sur l'objet lui-même. Lorsqu’on s’intéresse au «phénomène» téléphone mobile en Afrique ce qui interpelle tout de suite c'est d'abord le comportement des «branchés».

Lucienne Motuo 453 commente le phénomène : «posséder aujourd'hui au Cameroun un portable fait partie des nouvelles règles de noblesse.

Quiconque en possède un est respecté et admiré. Pour ce faire d'aucuns n'hésitent pas à engager des sommes exorbitantes pour s'offrir un portable. L'exhibitionnisme est de mise. Le téléphone mobile, au lieu d'être un outil de travail, devient un objet de luxe que chacun voudrait porter».

Et d’ouvrir le débat en ces termes : pourrait-on dire que le besoin de se mettre à la mode motive les sacrifices ? Certainement pas, surtout si l’on reste dans le contexte exhibitionniste actuel.

La dimension connotative et symboliques du téléphone portable en Afrique laisse donc transparaître une sorte d'idéologie qui fait de ce média un appareil valorisant. Cette "mythologie du portable" conduit à l’évanouissement du réel (son côté outil de communication) pour ne laisser primer que le caractère secondaire (appareil moderne de communication très prisé par "les grands hommes").

L’évaporation du caractère originel du mobile laisse place au sens commun que les gens lui donnent «médias pour les hommes importants» à l’origine d’un «paraître idéologique» qui affuble sans cesse sa réalité qui finit par être celle que la société lui donne. Toutes proportions gardées, cette exubérance des «branchés» africains se manifeste par une édulcoration du sens qui fait du téléphone portable l’un des mythes de la modernité se manifestant chez ses détenteurs par un comportement qui consiste à s’afficher en public leurs téléphones à la main.

Cette catégorie 454 de branchés use de tous les stratagèmes (préférence pour des téléphones avec voyant lumineux, écrans couleur, etc.) pour ne pas passer inaperçue. Et la plupart du temps ils s’en sortent plutôt bien : un jeune homme est assis dans un bar en train de siroter une Régab 455 , un groupe de filles arrive et s’installe à une table voisine. Elles passent une commande et se mettent à boire tout en discutant.

Le type observe et cherche un tant soit peu à se faire remarquer ; les toisant du coin de l’œil. Tout d’un coup son téléphone se met à sonner, il s’écria brusquement « Dieu merci» !! Simplement parce qu’il est parvenu grâce à un moyen magique et non-intentionnel à capter l’attention des charmantes créatures qui composent ses voisins de table. Aussi, est-il est persuadé que ce retentissement du téléphone ajoutera un plus à ses élans de dragueur. On le voit, le côté apparat occupe donc une place importante dans les représentations qu’on a du téléphone mobile ; quand bien même il n’est pas l'unique et principale motivation.

Plusieurs autres raisons guident donc cette haute idée du portable, au nombre de celles-ci nous pouvons citer une envie de modernité, la nécessité d’être joignable, la plus ou moins souple accessibilité du mobile. Ce sont ces bouclages idéologiques qui paraissent aujourd’hui orienter la lecture des mobiles africains.

Malgré tout il n’en demeure pas moins que ce penchant exhibitionniste occupe une place de choix. Qu’en est-il exactement ? Au centre des représentations qui entourent la soif de détenir un téléphone mobile en Afrique figurent, à tout le moins, deux motivations : une variable communicationnelle qui trouve son ancrage sur la nécessité d’être en contact, et un fondement identitaire qui a pour corollaire, l’envie de se distinguer. C’est justement ce désir de se faire remarquer qui a pour conséquence l’insensibilisation non pas de l'usage du téléphone mobile, mais de sa possession. D’où l’attitude qui consiste à se procurer des téléphones factices à défaut de pouvoir s’acheter les vrais. En fait ce qui provoque le déclic de ce qui devient le sens commun (le portable comme outil de modernité), c’est l’envie d’être assimilé aux personnes nanties. Cette compacité savoureuse du réel est à l’origine du comportement à la mode qui conduit la plupart des "branchés africains" à se faire remarquer.

Aussi important que la communication elle-même, être vu et reconnu comme détenteur d’un téléphone mobile met l’acteur dans une sorte d’état second lui procurant un certain satisfecit. Mue par cette illusion, le «branché» recherche par le fait de vouloir se faire remarquer une certaine reconnaissance. Cette logique d’action permet au «branché» de se regarder de l’extérieur (avec le regard de son entourage) et de concevoir sa vie non seulement comme déterminée par sa dotation (le téléphone portable), et par son insertion dans un système d’interdépendance.

On le voit, le fait d’être perpétuellement branché 456 perturbe de la même façon que les communications mobiles (dans la rue) mettent en vedette le communiquant. Le lien médiatique ici est vécu comme une reconnaissance statutaire se donnant à voir sur un réseau comme une appartenance distinguant. Le fait d'être reconnu comme possesseur d'un téléphone mobile donne ”une autre image” à celle ou celui qui en est détenteur.

En l’espèce, le téléphone portable est utilisé par ces individus pour signifier à leur environnement qu’ils ne sont pas «seulement» ce qu’ils paraissent. Qu’ils sont plus que ça. Ce dont, bien sûr, grâce aux idées reçues tout le monde est déjà convaincu. Le dépositaire d’un téléphone mobile – reconnu ‑ se voit comme auréolé d’une sorte d’onction. Onction qui lui permet de se démarquer des autres : ceux qui n’en possèdent pas.

On le voit, cette logique identitaire définit donc davantage la façon d’être et d’agir des gens. Elle tend même à conduire à la dépendance : «toute personne responsable doit être en possession de son cellulaire où qu’elle soit. Un appel peut l’atteindre à tout moment 457 », s’exclame Mado, une jeune congolaise.

Cette euphorie pour le téléphone mobile a des travers a priori comportementaux qu’il ne faut pas éluder. Il y a des comportements qui ne laissent pas indifférents.

C’est le cas de l’attitude qui consiste a posséder une multitude de téléphones que nous avons évoqués précédemment. Ce désir vivace pour les portables les plus onéreux suscite bien de curiosités surtout dans un contexte de pauvreté (comme celui dans lequel vit un grand nombre d'africains). Sans mobile apparent il est difficile de le comprendre pourquoi se ruiner pour un téléphone de luxe - sans pour autant être obligé de penser à l’ostentation.

L’exhibitionnisme ambiant est donc motivé par le fait de détenir des appareils de marque du type Mitsubishi, Nokia, Samsung, Siemens et Motorola. Or, qui dit «marque», dit qualité, et qui dit qualité dit prix élevé du produit. Cette attitude conduit à s’interroger sur la question des circuits de distribution, de la qualité des produits, ainsi que celle des pratiques douteuses consécutives au développement du marché du mobile en Afrique.

En effet, ce désir fiévreux d’entrer en possession d’un téléphone portable conduit incontestablement au Gabon comme ailleurs, à des pratiques illégales. Le caractère lucratif du marché semble sans doute faciliter de nombreux circuits parallèles de distribution. Un grand trafic de téléphones portables et de produits dérivés (housses, coques, kit mains libres, chargeurs, etc.) existe donc aujourd’hui en Afrique.

Mais, inutile de compter sur les vendeurs dont beaucoup exercent à la sauvette (usant parfois de tous les moyens pour s'en sortir), pour avoir la moindre information sur leurs pratiques: ils ne laissent rien filtrer. Toutefois, rien qu'à se rendre compte de ce que la plupart des produits aujourd’hui disponibles sur le marché ont pour provenance l’Asie, avec pour épicentre Dubaï, on mesure tout de suite le caractère élevé du trafic, de la contrebande et du contournement des règles du jeu du marché.

C’est vraisemblablement pour cacher leur jeu : trafics, contrebandes, copinages à la Douane que de nombreux vendeurs de téléphones que nous avons rencontrés sur le terrain n’ont pas voulu nous donner une quelconque explication sur la provenance de leurs produits, le coût à l’importation et le chiffre d’affaires généré par leurs commerces 458 . Mais il n’y a pas que cela. Le substrat culturel régi par le secret semble aussi guider le comportement de ces vendeurs. Généralement en Afrique, une affaire qui marche doit rester le domaine réservé de ceux qui l’ont initiée en premier. Ainsi paraît-il suicidaire (aux yeux des précurseurs) d’expliquer à un tiers "étranger" les circuits, partenaires ainsi que les ramifications de leur activité. Le réflexe qui est de rigueur est de se taire pour se préserver de la concurrence. Pierre 45 ans, employé au ministère de l’Enseignement Supérieur dit ceci : « il faut garder de la hauteur vis à vis du commun des mortels. Je ne peux pas avoir le même téléphone portable qu’un étudiant, je suis quand même un cadre » ! Assurément, les «branchés» africains ont changé de stratégie.

Pour relever le défi de la distinction identitaire, la guerre des portables a changé de terrain. Elle se fait désormais sur un champ qualitatif. Le sentiment de ne pas être reconnu dans ce cafouillis du tout portable produit une sensation d’étouffement chez les «branchés» ; étouffement dont la seule issue disponible est : l’achat, le prêt, la demande ou le vol d’un téléphone de marque. Ainsi convient-il pour préserver son paraître de se démarquer du commun des possesseurs de téléphones mobiles en disposant d’un téléphone portable dernier cri : «celui que personne n’a encore dans tout Libreville». À défaut (pour compenser) de s’orner d’une palette de téléphones «bas de gamme».

Toutefois, cet usage ostentatoire de téléphones portables ne demeure pas sans risques. Dans l’environnement africain où le vol des téléphones mobiles devient l’activité de prédilection des malfrats 459 qui en font un commerce, brandir son téléphone, de surcroît un téléphone de marque, est un comportement à haut risque. Mais beaucoup ne s’en inquiètent pas outre mesure tellement le désir de s’affirmer semble primer. Il faut le dire, ce désir de paraître, nourri par le portable, est légitimé par le sens commun. Il y a comme un principe culturel (tacite) de la pensée qui voudrait qu’on exhibe ce qui nous distingue des autres. Et la possession des téléphones dernier cri rentre dans ce cadre. Le sens commun que les individus donnent au téléphone mobile affuble sans cesse sa réalité qui devient celle que la société lui donne : un objet important.

Fort de l’idée que certains ont du portable, le constat d’un attachement à l’exhibitionnisme nous aide déjà à faire tomber un premier masque et non les moindres sur la fièvre des mobiles à l'africaine. Il convient ici d’insister sur le fait que ces individus qui s’entourent de téléphones portables (dernier cri) sont habités par le souci d’exister. Ils sont mus par le souci de s'affirmer auprès de leur entourage. Cela étant, clamer une richesse dont-ils ne sont pas en réalité possesseurs devient l’attitude à la mode. «On fait comme on peut» disait l’une des personnes que nous avons interrogées. « Il faut revendiquer l'appartenance à une certaine classe sociale (à laquelle on n’appartient pas en réalité), ça " fait classe " pour être bien vu». Et d’ajouter : «certains ont des véhicules 4x4 dernier modèle, nous nous n’avons que les cellulaires» !? Nous l’avons compris, à chacun son domaine de définition.

Assurément en Afrique les signes d’apparence occupent une place importante.

D’ailleurs certaines choses là-bas se disent (par exemple) avec les vêtements 460 qui peuvent parfois servir de support publicitaire.

Le fait que l’usage du téléphone mobile ne soit pas circonscrit à un cadre, (milieu physique précis) comme le serait la détention d’un DVD ou d'un tout autre produit high-tech. Le fait que le téléphone cellulaire soit un objet extérieur, la mobilité de son usage répond vraisemblablement de manière parfaite, aux attentes du ”nomade“ africain. Le but du jeu étant de se faire remarquer auprès de l’entourage, le paraître que permet la technologie du portable (objet mobile), sied donc bien avec l’envie d’exister que visent ses possesseurs qui recherchent à tout prix à parvenir à leurs fins.

Mus par le souci de se faire remarquer, c’est à croire que "les options de discrétion" : le vibreur, les sonneries brèves et discrètes, etc. n’auront jamais de succès auprès des "branchés vantards 461 ", tant l’un des objectifs qu’ils recherchent est d’attirer l’attention de leur entourage.

Dans tous les cas pour cette frange de la population l'envie de se faire remarquer outrepasse parfois la morale et le rôle premier assigné au téléphone mobile : être un moyen de communication. Dans la perspective d’éviter tout conformisme, un téléphone portable de marque, même hors service, suffit pour se faire distinguer et hisser au rang d’homme important son heureux possesseur.

Cette approche du téléphone portable concourt donc vraisemblablement à conforter notre analyse qui consiste à dire que toute option qui ne permet pas de mettre en évidence l'appareil 462 et son détenteur sera sans intérêt pour cette catégorie de branchés.

Car ce "déterminisme technologique à l’africaine" ( ?) est à l'origine de la préférence de certains individus pour des appareils «new style et high-tech 463 ». C'est le cas des appareils équipés d'un voyant lumineux mettant le téléphone en évidence une fois la nuit tombée 464 . Des appareils écrans couleur avec des options waps pour le téléchargement d’images et de sons. Des téléphones polyphoniques dotés d’une caméra : un téléphone à tout faire. Faut-il présager qu’un téléphone mobile qui ne sert qu’à téléphoner sera bientôt dépassé ? Une chose est sûre, la médiation du téléphone est en train de changer de sens et d’implication.

De nos jours, même si l’aspect outil de travail 465 et moyen de communication pour le maintien des liens sociaux notamment gardent toute leur place dans cette euphorie pour le mobile, le simple besoin de posséder un téléphone ne suffit plus. En marge de sa possession (nous venons de le voir dans le paragraphe précédent), il faut en plus que le portable soit façonné au goût de son propriétaire.

C’est, semble t-il, une valeur ajoutée. Le marché du mobile étant toujours florissant (cf. le CD-ROM qui accompagne ce travail), les possibilités d'avoir un téléphone taillé sur mesure sont de plus en plus grandes. Cela étant, les images 466 le montrent, toutes les fantaisies sont désormais possibles : c’est le marketing du «design» ! Une kyrielle de possibilités existe : changer de coque à son appareil, des casques capteurs d’appels, écouteurs, oreillettes, kit mains libres, etc. Tous ces ornements conduisent donc à donner au branché le caractère d'«homo technologique». De même qu'ils lui permettent d'avoir une autre approche du téléphone mobile.

Convient-il avec tout cela de considérer que le  téléphone fixe, celui de la voix et de l’écoute est mort avec ce siècle ? S’il est encore trop tôt pour le dire, il est en effet réaliste de reconnaître qu’on assiste à l’émergence d’un double mouvement de retour à des formes écrites par le biais des messages électroniques et SMS 467 et, au-delà de la fascination pour la nouveauté du portable, à des usages de distanciation et de multimédiation.

Une importante disparité d’usage existe entre catégories socioprofessionnelles, villes et campagnes, abonnés et non abonnés. Mais aussi entre jeunes et moins jeunes. Sans compter que, selon qu’on est en Europe ou en Afrique, les choses semblent différentes.

Toute dérive pouvant avoir un côté positif, le fondement identitaire qu'entoure la représentation du mobile en Afrique a pour effet positif, la généralisation de sa possession par un nombre croissant d'individus. Des disparités subsistent cependant.

Notes
452.

Roland, Barthes, Les mythologies, du Seuil, 1957.

453.

«Téléphone portable au Cameroun, mode ou nécessité» ? Cf. http: www.aftidev.net/fr/ressources/fiches/fiche.phtml?numero=28.

454.

Reconnaissons-le, ce n’est pas tout le monde qui exhibe son téléphone portable.

455.

Marque de bière gabonaise dont le nom est parfois défini comme un sigle : « Regardez les Gabonais Boire».

456.

Non pas en appelant, mais grâce aux appels que l'on reçoit de ceux qui ont les moyens d'appeler (téléphone de bureau, personnes ayant de bonnes assises financières, les hommes qui "se sacrifient" pour séduire une jeune fille, etc.)

457.

Propos recueillis par Maurice Kongolo Mutela, et tirés du magazine féminin (africain) «AMINA» n° 402, octobre 2003, pp. 28-30 : «La fougue du portable», rubrique Enquête.

458.

La plupart de vendeurs que nous avons rencontrés conditionnaient l’acceptation d’un quelconque entretien donnant droit à des informations sur le commerce à l’acceptation du patron. Or dans la plupart des cas, la réponse était la même : «le patron était absent». Et les cas où ce dernier et était présent, il se trouvait retranché dans son bureau et ne recevait «que sur rendez-vous». Cela après avoir expressément rempli un document expliquant les mobiles de la demande de rendez-vous. Au final, eu égard à l’objet de notre enquête qui à leurs yeux portait sur une question jugée «sensible» : le commerce, la concurrence, un grand nombre de demandes sont demeurées sans suites.

459.

Des sources policières 60% des portables vendus de seconde main sont des téléphones volés.

460.

Il suffit de s’attarder un moment sur le style vestimentaire de certaines stars de la musique africaine. Sur l’extravagance de leurs clips : avec des paillettes et des strasses. On aura pas besoin de rappeler que le premier «pape de la SAPE (Société des Ambianceurs et des Personnes Élégantes» au monde est né en Afrique Centrale : Papa Wemba. Mouvement dont il a été l'un des initiateurs au Zaïre dans les années 70 et qui se caractérise par les plus grandes audaces vestimentaires.

461.

L’un des réflexes des « branchés vantards » est de changer de téléphone le plus régulièrement possible et de s’adapter aux nouvelles options et accessoires : il faut selon eux être à la pointe de la technologie.

462.

Et de mettre en vedette le détenteur ou le propriétaire du téléphone.

463.

Philippe Guyon Op. cit. n’en pense pas moins quand il affirme, JAI n° 2207, p. 71, que «les utilisateurs africains sont à l’affût : ils veulent toujours avoir le « top » du portable et sont, beaucoup plus qu’ailleurs, curieux de découvrir de nouvelles fonctions».

464.

Période où la chasse à la séduction est propice et la plus forte.

465.

L’outil téléphone mobile devient de plus en plus indispensable pour la communication particulièrement dans le secteur des services où les échanges sont nombreux.

466.

Qui composent le CD-ROM de ce travail, notamment les images des kiosques et lieux de vente de coques et accessoires en témoignent.

467.

«Short Messaging Service» ; service associé aux téléphones mobiles qui permet d’écrire de courts messages. Il est aussi désigné par le terme de texto : petit texte.