Quelques actions ponctuelles

Elles n’ont pas été systématiques mais elles ont constitué un support concret pour des enfants encore jeunes. Dans certaines écoles, des objets ou des cartes de vœux ont été vendus au moment de Noël. Dans une autre, une quête de stylos a été organisée pour les écoles de Ouahigouya. Beaucoup d’écoles ont participé à l’opération « Du riz pour la Somalie ».

Les difficultés mentionnées ont fait osciller les enseignants entre le découragement et même le doute : « Qu’est-ce que ces échanges peuvent apporter aux enfants africains ? » et l’envie de se donner une nouvelle chance en redémarrant sur des bases plus solides. Cela signifiait mieux structurer les projets et d’abord acquérir une formation.