La mise en relation

Elle est recommandée depuis longtemps par le Ministère, y compris dans des pays lointains. Le CNDP s’est donc doté d’un service spécialisé, le Bureau de la correspondance scolaire internationale, qui organise cette mise en relation et propose des classes « correspondantes ». Mais il est possible de passer par d’autres structures aussi : les collectivités locales dans le cadre d’un jumelage, un établissement du Tiers Monde qui est demandeur, une personne rentrant d’Afrique et qui peut donner les coordonnées d’une école qu’elle connaît, des associations bien implantées dans un pays. Une correspondance sur trois serait mise en route après une rencontre avec une association et 1 sur quatre après un voyage ou un stage. Il existe aussi des organismes privés, plus ou moins fiables, spécialisés dans ce type d’échanges. Le journal des lycéens, « Phosphore », propose des correspondants africains.