Ce travail n’aurait pas vu le jour sans l’accueil que nous ont réservé Maîtres Christian Bravard et Jacques Lavaud, Greffiers en chef du Tribunal de Commerce de Lyon, ainsi que tous les cadres et employés de leur société. Par-delà l’autorisation de consulter le Registre du Commerce et des Sociétés et les réponses apportées à nos nombreuses questions, ils ont, en nous offrant un emploi pendant plus de cinq années, contribué au financement et à la maturation de cette recherche. Nous remercions particulièrement Monsieur Bruno Gaillard, responsable juridique du Greffe, pour l’intérêt qu’il a porté à notre démarche, pour la mise à notre disposition de ses compétences et connaissances juridiques mais également de son expérience du monde des affaires. Qu’ils recueillent ici l’expression de notre profonde gratitude.
Nous remercions Monsieur Yves Grafmeyer de nous avoir fait l’honneur d’accepter la direction de notre thèse. Nous lui sommes non seulement reconnaissant de ses commentaires théoriques et méthodologiques, toujours pertinents, mais aussi de sa compréhension et de ses encouragements lors des moments difficiles que nous avons pu traverser. Nous n’oublions pas non plus, dans cette aventure, tous les enseignants-chercheurs qui nous ont accompagné et formé durant notre cursus, et notamment Messieurs Jean-Yves Authier, Bernard Bensoussan et Claude Giraud, dont la diversité des points de vue nous aura été, de près ou de loin, profitable pour construire ce travail.
Nous adressons nos plus vifs remerciements à nos parents, à notre sœur, à Marie et à nos ami(e)s pour leur constant soutien affectif et/ou matériel. Nous remercions chaleureusement Pascal pour ses relectures du manuscrit et sa précieuse aide à la mise en page. Nous avons également une pensée particulière pour Patricia Browne et Maurice Brottet ; nous leur devons beaucoup, bien qu’ils s’en défendraient sûrement.
Enfin, sans l’accueil des nombreux porteurs de parts de SCI et des professionnels du conseil juridique, économique, fiscal, immobilier et patrimonial, notre projet serait resté à un stade embryonnaire. Prodigues de leur temps, de leurs connaissances, d’histoires et d’anecdotes, ils ont su répondre à nos attentes parfois anxieuses mais jamais désespérées. Ce travail leur est en grande partie dédié.