A mon fils Côme

Que soit ici remercié chaleureusement le Professeur René ROUSSILLON pour avoir accepté de m’accompagner et de me guider tout au long de ce parcours de recherche.

Je tiens également à exprimer toute ma gratitude au Professeur Albert CICCONE pour ses encouragements et ses suggestions, aussi parce qu’il a su me faire découvrir toute la richesse des auteurs kleiniens.

Merci encore à tous les collègues et amis qui m’ont soutenue ; à Thierry FAURY, compagnon du séminaire de thèse, à Jean-Marc DI TROCCHIO qui a relu attentivement ce travail, à Tessie JONHSON pour ses traductions.

A Stéphan COURTEIX, à Jean-Louis CONTI et à Yannick CORDOU, je suis redevable d’avoir encouragé ma réflexion par des échanges riches et féconds ; je les remercie pour leur disponibilité qui m’a été d’un appui précieux.

Enfin, j’aurai une pensée toute particulière pour ma famille, notamment pour ma mère qui m’a transmis son intérêt pour la vie psychique, pour mon père qui a mis à ma disposition une première machine à écrire avant même que je ne sache tracer mes premiers mots, pour mon oncle qui a ouvert tout un monde imaginaire avec ses récits des « aventures de Nabousoula et de son chameau ».

Quant à mon fils qui a vécu à côté de moi – non sans plainte pour tout ce temps qui lui était volé – ce long cheminement avec ses errances, ses découragements, qu’il se souvienne aussi des moments de plaisir que ce travail a pu m’apporter, qu’il lui en reste la curiosité et le goût d’apprendre.