1.3. Du côté des détenus : entrer en écriture… et trouver une issue à l’enfermement ?

D’emblée j’ai pu constater le décalage existant entre la représentation que j’avais de mon dispositif et la manière dont les sujets ont pu se l’approprier.

Paradoxalement, c’est cette clinique « dans le vif » qui est apparue comme la plus artificielle dans la mesure où il s’est avéré une fois le dispositif mis en place, que le groupe de sujets étudiés n’entretenait pas nécessairement un rapport privilégié à l’écriture. Ils venaient moins pour écrire que pour « s’évader » de leur cellule ou « voir quelqu’un ».