3.2. Fantasme de toute-puissance, d’immortalité et écriture

M. Proust et F. Kafka entretiennent, nous l’avons vu, un rapport particulier au temps et à la mort en lien avec l’enfermement. L’écriture permettra-t-elle que s’enclenche un travail de reconnaissance de la finitude de l’être humain et par là même de renoncement à l’intemporalité ?