3.2. Enfermement, écriture et non reconnaissance de l’irréversibilité du temps

L’incarcération perturbe les repères temporels, c’est pourquoi la question du temps est si souvent au centre des préoccupations du détenu ; nous pourrons le constater aussi bien chez C. Lucas que chez les détenus que nous avons rencontrés à la Maison d’Arrêt de la Talaudière. Mais il semblerait que cette perception du temps soit aussi liée à l’impossibilité de s’inscrire dans une histoire et un temps vectorisé.