1. Une perte d’accès globale pour les quartiers pauvres et un gain pour les quartiers aisés de la périphérie

L’analyse de l’évolution de la localisation des activités montre qu’entre 1990 et 1999, l’accessibilité en voiture ou en transports collectifs se dégrade pour les quartiers très défavorisés et les quartiers très aisés du centre, pendant que celle des quartiers très aisés de la périphérie s’améliore.