En 1999, Gilles Chomer, à qui je tiens à rendre hommage, me suggérait de prendre comme sujet de maîtrise « La peinture sur pierre sur supports semi-précieux à Florence à la fin du XVIe siècle et au début du XVIIe siècle ».
Mes recherches, rendues possibles grâce au programme Socratès, portaient sur les différentes œuvres exécutées sur métaux ou sur pierres dures à Florence et se limitaient essentiellement aux années 1590-1621 correspondant au règne de Cosme II de Médicis. Après une interruption d’une année due à la préparation de mon DEA - portant sur les rapports entre Filippo Napoletano et les artistes nordiques - il paraissait intéressant de reprendre mon sujet de maîtrise et d’en élargir le contenu : Florence, Rome, la Vénétie, la Lombardie ou encore la Ligurie apparaissaient comme des centres essentiels.
Au cours de ces recherches, j’ai eu la chance de séjourner à la Villa Médicis à Rome, au Kunsthistorisches Institut à Florence. J’ai également bénéficié d’une bourse du Fonds National Suisse. Je suis reconnaissante à ces institutions d’avoir soutenu mes recherches et tiens à remercier, pour la France, Madame Brigitte Martin, monsieur Marc Bayard, et pour la Suisse, Jean-Yves Tilliettes.
Je tiens à remercier tout particulièrement mes deux professeurs, madame Marie-Félicie Pérez, professeur émérite à l’université de Lyon 2 et monsieur Mauro Natale, professeur à l’université de Genève : tous deux, par la confiance qu’ils ont bien voulu mettre en moi, auront permis que je puisse mener à bien ce travail. Leurs encouragements, leurs conseils ont été constants, et par leurs intermédiaires et recommandations j’ai eu, durant toutes ces années de recherches, l’opportunité de rencontrer nombres de spécialistes de ce sujet qui ont permis une bonne progression de mon travail. Madame Perez et Monsieur Natale ont toujours été là lorsque je doutais, lorsque parfois je me décourageais et leur tutorat conjugué m’a amenée au terme de cette tâche passionnante.
Je souhaite également remercier les membres de mon jury, Ferdinando Checa, Michel Hochmann et Jean Wirth pour leurs recommandations durant le déroulement de mes recherches.
Dans l’élaboration de ce travail, les conseils et suggestions m’ont été d’une aide fort précieuse et je tiens à remercier pour ce concours : Claudio Strinati, Alessandro Nova, Roberto Zapperi, Erich Schleier, Kristina Herrmann Fiore, Paolo Bensi, Roberto Contini, Sylvie Deswarte-Rosa, Philippe Costamagna, François René-Martin, Olivier Michel, Sophie de Montgazon, Françoise et Bernard Allombert, Sylvain Auvray.
Je souhaite également remercier madame et monsieur Giulini, madame Luly Lemme ainsi que monsieur Gilbert Molle.
Pour chacune de ces orientations, un travail de coopération avec les musées, surintendances, bibliothèques ou archives a été profitable : Rome, Galleria Borghese (Kristina Herrmann Fiore), Galleria Doria Pamphili (Andrea de Marchi), Rome, Palazzo dei Conservatori, Museo Civico et archives de Padoue, Museo civico de Vérone (Paola Marini), archives de Padoue, musei Comunali de Florence (Chiara Silla, Cristina Poggi), Gabinetto Disegni e Stampe de Florence, Accademia Ligustica de Gênes (Giulio Sommariva), archives et Surintendance de Gênes (Francesca de Cupis), archives et surintendance de Naples, archives diocésaines de Milan, Castello Sforzesco de Milan, château de Fontainebleau (Danièle Denise), musée, documentation et bibliothèque de Lyon (Laurence Berthon, Dominique Dumas, Gérard Bruyère), musée national de Monaco (Jean-Michel Bouhours), musée Granet d’Aix-en-Provence (Bernard Terlay), musée national de la Renaissance Ecouen, musée Roger Quilliot de Clermont-Ferrand, Musée Antoine Vivenel, Compiègne (Erich Blanchegorge), musée des Beaux-Arts d’Orléans, musée des Beaux-Arts de la Rochelle.
Enfin, ce travail n’aurait pu être élaboré sans le soutien de ma famille, de mes proches et de tous mes amis lyonnais et genevois. Un grand merci donc à : Geneviève Collomb, Gérard Collomb, Thomas Collomb, Solange Nectoux, Yvette et Roger Ravet, Pierre Rousselot, Géraldine et Joseph, Laurence, Aline et Vincent, Maud et Michael, Fabien, Olivier et Cécile, Valérie, Christophe, Vincent, Annalisa, Mayte, Filippe, Barbara et enfin les familles Strasser, Allombert et de Montgazon.
Pour les documents d’archives, nous avons choisi d’indiquer les sources originales accompagnées
des références bibliographiques contemporaines lorsque celles-ci avaient déjà été publiées. Dans le
cas contraire, la mention « inédit » apparaît.
Les références bibliographiques sont indiquées dans leur intégralité lors de la première insertion puis
apparaissent sous forme abrégée - nom, date et page - pour les mentions successives.
Concernant les artistes, les données biographiques n’apparaissent que dans le volume II, sous forme
d’index et les œuvres sont mentionnées dans le volume III, annexe 5.
Enfin, pour les collectionneurs, nous avons également choisi de retracer brièvement leurs biographies
dans un glossaire présenté dans le volume II.