HYPOTHESES

• Le corps, vécu dans l’institution de la danse, nous parle d’une incarnation de la relation narcissique au corps idéal de l’autre comme objet. La danseuse a un « besoin » de souffrir, car elle cherche à se retrouver, comme une forme de régression jusqu’à l’objet perdu.
• Il faut de la violence physique pour survivre psychiquement
• La nature de la relation au corps de la mère est un érotisme primaire défaillant, où le corps s’utilise comme objet fétiche, idolâtré, corps absolu, pour soi-même, pour le groupe ou pour le public. Tous ces miroirs qui renvoient au miroir du regard de la mère, à son corps devant le regard de l’autre.