1.5.- Conclusion

Depuis nos ancêtres la danse est pratiquée dans toutes les sociétés. Nous pouvons donc dire qu’elle est incorporée à la configuration sociale et psychique depuis l’être humain primitif et, même quand certaines sociétés et religions, comme la catholique et la musulmane, essaient de minimiser le contact entre les corps et nient la sexualité ; la danse comme pulsion primaire vient et revient. La danse se présente toujours soit comme expression gestuelle instinctive où élaborée, soit comme expression rituelle ou artistique et plus encore.

Ni l’histoire, ni les fabuleuses représentations de toutes les danses : hindoue, arabe, africaine, etc., ne seront étudiées dans le cadre de cette thèse faute d’espace et de temps, mais nous invitons le lecteur à s’intéresser aux cultures du monde et à ces expressions artistiques. La danse révèle nos racines et notre identité à partir, non seulement de la musique et des mouvements qui caractérisent chacune de ces cultures, mais aussi des costumes si divers et pleins de couleurs qui montrent le travail et le savoir-faire des artisans.

Si les cultures nous montrent bien qu’il y a des différences il existe des similitudes que nous pouvons découvrir et ainsi nous retrouver dans les autres.

Figure 6 : Danse de « Concheros » présentée à Lyon
Figure 6 : Danse de « Concheros » présentée à Lyon Photographie WILK, J. « Le cœur dansant des Azthèques ». Groupe de danse traditionnelle mexicaine : OLLIN MALINALLI in Le Progrès, Edition de Lyon–Villeurbanne– Caluire-et Cuire. Lyon, France, 25 juillet 2005. www.leprogres.fr
Notes
*.

Photographie WILK, J. « Le cœur dansant des Azthèques ». Groupe de danse traditionnelle mexicaine : OLLIN MALINALLI in Le Progrès, Edition de Lyon–Villeurbanne– Caluire-et Cuire. Lyon, France, 25 juillet 2005. www.leprogres.fr