12.2.3.1. Les airs vifs

‘« Dans les airs gais et vifs, il faut ordinairement marquer les tours de la roue avec le poignet… » (p .17).’

Boüin consacre sept pages au tour de roue et à ses divisions selon la mesure et, plus avant, une page supplémentaire traite des « coups de poignet pour chaque mesure ». Ses explications très complètes vont dans le sens de celles de Dupuits et nous n'y reviendrons pas, sauf pour dire que Boüin est le seul auteur à proposer un coup de poignet divisant la roue en huit parties, « mais très rarement », ce qu'un nombre restreint de joueurs arrive à réaliser correctement, en tout cas de nos jours.

Dans les mêmes termes que Dupuits, Boüin considère qu'il faut respecter les silences : « il faut retrancher ordinairement sur la valeur de la note qui précède » (p. 18).