Dans sa thèse, J.C. Maillard 1 propose aussi un comptage des recueils publiés par instrument, entre 1700 et 1760. Il obtient des résultats conformes à ceux relevés par A. Devries. Les recueils pour violon, ainsi que ceux pour flûte, se détachent nettement. Viennent ensuite les hautbois, et avec une fréquence très voisine les musettes à égalité avec la vielle. Si l'on cumulait, comme le fait Devriès, ces deux derniers types de recueil pour former un ensemble « vielle/musette », le poids quantitatif deviendrait plus important que celui du répertoire pour Hautbois.
Op. cit. p.840.