Otetz Kostadin, village de Maritza, mai 1996.
‘« Alors que notre parti était aux commandes de la ville, on a souhaité organiser une fête de la ville avec un kourban, et on a décidé de continuer pour faire une tradition »’Docteur Panev, Samokov, août 1998.
‘« Les gens veulent bien aider à restaurer la chapelle de sveti Todor, mais à condition qu’il y ait un kourban. Sans kourban, les gens ne s’y intéressent pas ».’Un bénévole de l’église Sveti Gueorgui, Asénovgrad, mars 2000.
‘« Le kourban est très important : c’est une occasion pour tous de participer, en offrant des animaux, des légumes, des ingrédients variés »’Baba Ratka, Bansko, août 2002.
‘Deux babi s’interrogent sur les nouveaux prénoms qui commencent à émerger en Bulgarie : ces prénoms n’étant pas dans le calendrier, on ne pourra pas faire un kourban à l’imenden (fête nominale) de leurs porteurs.’Rakitovo, août 2002.