Remerciements

Nous tenons avant tout à remercier Monsieur Alain Ferrant d’avoir accompagné nos travaux pendant ces nombreuses années. Ses critiques et ses interventions nous ont continuellement poussée à relativiser nos analyses et incitée à développer une rigueur scientifique toujours plus pointue. Son grand intérêt pour nos travaux et son respect pour notre manière de les mener n’entamaient en rien son esprit critique à leurs égards. Malgré son désaccord sur certaines de nos conclusions, il a su avec finesse nous amener vers une réflexion amplement plus porteuse pour notre recherche.

Nous tenons ensuite à exprimer notre profonde gratitude à de nombreux professionnels qui tout au long de nos recherches ont contribué au développement de celles-ci, en nous facilitant des accès nécessaires à notre recherche de terrain, en nous apportant des éléments de compréhension sur les sujets, en adaptant souvent leurs emplois du temps pour faciliter nos démarches et échanger avec nous, et en témoignant de leurs vifs intérêts pour nos travaux et pour leurs évolutions. Il s’agit des personnes suivantes :

Monsieur Jean-François Reboul, Psychothérapeute en I.M.P.

Madame Denise Dufoux, Institutrice en hôpital de jour, puis Psychologue.

Madame Suzanne Thiébault, Orthophoniste.

Madame Géraldine Chaussard, Directrice d’école en I.R. et toutes les institutrices.

Madame Maria Muletier, Psychologue en I.R.

Nous remercions en outre les Directions des différentes institutions nous ayant reçues ainsi que l’ensemble de leurs intervenants.

Nous tenons enfin à remercier les enfants et les adolescents qui ont participé à cette recherche. Dans leur innocence et leur grande envie de se sentir utile, ils ont beaucoup donné d’eux-mêmes. C’est ainsi que parfois sur un seul entretien le sujet présentait un "concentré" de tout ce dont nous avions besoin pour notre réflexion. Au-delà des remerciements que nous leur avons personnellement adressés, nous souhaitions que des remerciements écrits soient exprimés, afin que le lecteur et nous-mêmes, gardions à l’esprit que sans la participation du sujet aucune recherche de terrain n’est féconde.