Un tel travail ne se réalise jamais seul. Il est à l’intersection de rencontres, de discussions autour d’un café et de débats à toute heure. Il n’aurait pas donc pu voir le jour sans la présence, l’aide et le soutien de plusieurs personnes.
Tout d’abord, ma directrice, Andrée Tiberghien, qui a su guider ce travail dans ses moments les plus faciles comme les plus difficiles. Ensuite, Laurent Veillard, qui a permis un regard complémentaire. Je remercie ici ces deux personnes, qui m’ont aidé tout au long de cette recherche et qui m’ont apporté rigueur et goût du travail de chercheur. Pour tout ce que nous avons pu vivre ensemble tout au long de ces années, je vous remercie.
Rien n’aurait pu se faire, sans les proviseurs des établissements dans lesquels je suis allé filmer sans les enseignants et leurs élève(s), qui m’ont donné l’opportunité de rentrer dans leur monde.
Je remercie également les membres du jury, qui ont pris sur leur précieux temps pour lire ce manuscrit et permettre ainsi un retour, donnant des axes de réflexions pour la suite.
Une thèse se déroule au sein d’une équipe en interactions avec ses acteurs, et c’est pour ces raisons que les membres du laboratoire ICAR et ceux que j’ai pu rencontrer dans d’autres circonstances ont contribué à la réalisation et à la finalisation de ce doctorat.
Et tous les autres, qui n’ont pas forcément une place dans cette recherche, mais une place dans ma vie de tous les jours. Je pense à mes parents, ma soeur, mes grands-parents, Charlotte, François, Lucie, Suzanne, Arnauld, Jim, Bart, Jean-baptiste, Lucie, Jack, Aurélien, Romain, Thibault, Julie, Arnaud, Martine, Gil, Daniel, Françoise, Thierry, Marie, Martin, Coline, Vincent, Sylvain … et les autres …