Aucun mot ne pourrait suffire pour traduire ce que je ressens vis-à-vis de :
Certaines âmes chaleureuses qui ont pris le temps de m’écouter,
Celles qui se sont données la peine de me comprendre,
Celles qui ont su choisir les mots justes pour m’encourager,
Celles qui ont fait preuve de patience pour m’attendre,
Jusqu’au dernier jour de mon aventure avec Cocteau.
Un Grand merci,
A Monsieur Claude Burgelin, mon Directeur de thèse. Grâce à votre enseignement attentif et à votre bienveillance soutenue, j’ai appris à m’écouter et à distinguer chaque facette de mes défauts et qualités en essayant de ne pas les confondre. Des perceptions extérieures à moi, bienvenues, qui m’ont réconcilié dans mes choix.
Aux Amis de Cocteau, notamment Monsieur Claude Séférian qui m’a permis d’avoir avec moi tous les Cahiers, documents qui ont été très enrichissants pour cette thèse.
A Lionel, Cécile, Seun-Kyong, Kang-Won et Jung-Eun qui sont toujours là…
Et a ma mère qui m’attend impatiemment de l’autre côté du globe…
Oui, faire une thèse était pour moi une expérience avant tout humaine et dont je garderai longtemps le souvenir.
‘Te voilà guéri, intrépide. Intrépide et stupide, secoué par le désordre que tu détestes, toujours en fuite de quelque chose, en route vers quelque chose, ton traîneau entouré de neige et de loups. Te voilà guéri et seul (…). Intrépide et stupide, il te fallait prendre parti. Cela limite la difficulté d’être (…). Mais toutes les causes te sollicitent. Tu as voulu ne te priver d’aucune. Te glisser entre toutes et faire passer le traîneau. Eh bien, débrouille-toi, intrépide ! Intrépide et stupide, avance. Risque d’être jusqu’au bout. ’Postface, in La Difficulté d’être