Vocation sacerdotale et familiale

La formation ecclésiastique de Laurent Remillieux se déroula au milieu des combats anticléricaux d’un gouvernement radical qui avait voulu résoudre le problème des congrégations soumises au pouvoir romain et qui réussit ensuite à faire voter la loi de séparation des Eglises et de l’Etat. Comme la majorité des catholiques français, Laurent Remillieux vivait cette laïcisation de la société française, imposée unilatéralement par le pouvoir politique en place, comme le retour au temps des persécutions religieuses. A ses correspondants autrichiens, il se plaignait de la situation en des termes amers qui décrivaient la coupure de la France en deux partis irréductibles, coupure dont il rendait responsables les adversaires des catholiques. Par leur faute, la France, vraie et éternelle, celle qui était promise à Dieu, disparaîtrait.

‘« De votre côté, priez pour nous, pour notre patrie : il y a une certaine accalmie dans la persécution religieuse. Avant d’en arriver aux derniers excès, nos adversaires semblent redouter d’en assumer la terrible responsabilité. » 407 ’ ‘« Il y a dans notre pays une vague de folie à propos du mépris de la religion. […] Si l’année prochaine, les choses vont aussi vite que cette année, la France telle que vous l’aimez […] n’existera plus. » 408

Au début de l’affrontement, en 1902, il disait lutter par la prière contre la tristesse qui l’envahissait et revendiquait pour les catholiques la liberté que leur confisquaient les radicaux. Il se réfugiait derrière la pensée du Père Didon, dominicain, « l’illustre exilé, le plus grand apôtre de notre Troisième République » 409 , pour réclamer le désengagement mutuel de la religion et de la politique mais selon les principes catholiques. En 1905-1906, il concourait désormais ouvertement au climat de haine réciproque qui jetait l’un contre l’autre les deux camps. Quoiqu’il proclamât, la prière était loin d’être son seul recours. Après une réunion publique organisée par les tenants de la défense catholique et à laquelle avaient assisté ses parents, Louis et Emilie, il vitupérait l’influence de la « hideuse Franc Maçonnerie » et cautionnait la résistance usant de violence que comptaient opposer les paroissiens de Saint-François et d’Ainay aux inventaires 410 . Dans ce contexte, la vocation sacerdotale pouvait apparaître comme un choix particulièrement courageux qui posait Laurent Remillieux en héros auprès de ses relations autrichiennes.

‘« Pour faire quelque chose plus tard, comme nous le voulons, comme je le veux, nous devrons être des saints. […] C’est un honneur que Dieu m’a fait quand il m’a choisi pour être son prêtre, son représentant devant les hommes. Maintenant surtout où dans mon pays il y a beaucoup de bien à faire, où être prêtre, être représentant de Dieu peut me mener jusqu’à la prison, jusqu’à la mort, une mort de laquelle je ne suis malheureusement pas digne. » 411

Laurent Remillieux savait se mettre en scène pour appeler de ses vœux la souffrance 412 et le martyr qui l’associait à la passion du Christ et au sacrifice des premiers chrétiens. Les déclarations enflammées qui parvenaient à tous ses correspondants reprenaient les topoi des textes décrivant la Passion et, en toute occasion, Laurent Remillieux assimilait son parcours à celui du Christ. Tempérament romantique et facilités d’écriture nourrie de littérature sainte concouraient à l’expression de cette fusion.

‘« Oh ! quel poids que l’humaine nature ! Je m’étais promis jusqu’au 4 juillet de ne manifester aucun désir, cela en vue de mon ministère futur. En effet pour ressusciter au monde et l’entraîner, il faut avoir connu les trois jours du tombeau. Savoir mourir : voilà pour un séminariste la science suprême. »’

Or, c’était au milieu du monde que Laurent Remillieux choisirait de souffrir. Il n’était finalement nullement question de consacrer sa vie à la prière. La cellule qui le retenait le temps de sa formation ne saurait avoir raison de son besoin d’action une fois qu’il aurait été ordonné prêtre. Le refus du clergé régulier était exprimé dès 1902, alors que le séminariste subissait la solitude exigée par des heures de méditation et d’oraison privée.

‘« Je ne suis pas une âme tranquille, une âme de cloître, que voulez-vous ? Mais, pour le moment, tâchant de profiter le mieux possible de ce bon mois de séminaire, laissant momentanément le “monde”, le point de pire de demain, j’ai ramené tout l’effort de la bataille sur moi-même. » 413 ’ ‘« O mes chers Parents, c’est un véritable bonheur d’appartenir au Bon Dieu […] mais ce n’est pas un bonheur de chartreux. » 414

Il était, de toutes les façons, inimaginable pour lui de choisir ce type d’engagement, dans un contexte politique qui fragilisait la situation des réguliers en France et les menait à se retirer de toute action publique, voire qui entraînait leur expulsion. Cette solution était non seulement incompatible, en ce qui concernait les ordres contemplatifs, avec son besoin d’action et le modèle d’un catholicisme d’œuvres qui s’était imposé à la fin du XIXe siècle et avec lequel il avait grandi, mais aussi, pour tous les ordres, avec le fonctionnement du groupe familial dont il ne pouvait supporter d’être séparé. Pour cette même raison, Laurent Remillieux ne pouvait envisager un départ pour des missions lointaines, même si cette vocation induisait le sacrifice le plus romantique qui fût, vu d’Europe. En juin 1902, des missionnaires partis pour l’Afrique venaient au grand séminaire d’Alix pour recruter de jeunes séminaristes.

‘« Nous avons eu hier et avant-hier un Evêque Père Blanc, évêque de la mission du Tanganika, dans la région des grands lacs africains. Qu’il était beau ce jeune évêque de quarante ans drapé dans une blanche soutane : je croyais voir le Christ en personne, et combien plus encore sa sublime vocation ! Vraiment si j’avais eu en moi le moindre germe d’une âme de missionnaire, il m’aurait entraîné à sa suite dans cette belle et grande Afrique où il y a tant de bien à faire. » 415

Les missionnaires repartirent en ayant suscité des vocations mais en laissant Laurent Remillieux à ses regrets. Il assistait au départ d’Alix de quinze volontaires, « demain prêtres des missions étrangères, maristes, lazaristes, pères blancs », promis « au martyr », « à une mort certaine dès trente-cinq ou quarante ans par la fièvre pour ceux qui viv[aient] chez les Pères Blancs ».

‘« Oh ! pourquoi pour le moment n’ai-je pas cette vocation ? ? ? Elle est incomparablement plus belle que la vocation ecclésiastique ordinaire. » 416

Car il ne doutait plus que la réalisation de sa vocation le maintiendrait comme prêtre du diocèse de Lyon, dans la proximité familiale, quand bien même elle devait le priver d’une destinée glorieuse. Il revendiquait pourtant l’importance de la tâche à accomplir : la restauration d’une société chrétienne, dans l’esprit d’un catholicisme social prônant un christianisme intégral.

Ce projet, sûrement informé par la pensée catholique que véhiculait le tiers ordre franciscain, en étroite liaison avec les orientations qu’avait prises l’Eglise catholique lors du pontificat de Léon XIII, fut élaboré entre 1902 et 1906. Laurent Remillieux l’annonçait explicitement pour la première fois en juin 1902 et le justifiait dans des termes qui reprenaient la vision apocalyptique d’une société où survenaient « tous les malheurs », où « les ruines s’accumul[aient] sur les ruines » 417 , une société perdue pour la foi et perdue pour la vie.

‘« Ne voyez-vous pas ces naufragés qui s’engloutissent ? N’êtes-vous pas épouvantés de ces multitudes d’âmes qui ne connaissent plus le Christ et qui meurent sans espoir, sans foi, sans amour ? Est-ce lugubre ce spectacle de désolation ? » 418

La politique des radicaux, qui livraient une guerre implacable contre les catholiques (que Laurent Remillieux ne distinguait jamais de l’institution ecclésiale), était perçue comme la conséquence des progrès de l’irréligion. L’amalgame ne s’arrêtait pas à la question politique. Tous les problèmes sociaux étaient envisagés dans la même logique : l’incroyance expliquait l’accroissement de la misère, la dégénérescence de la famille, origine de la tristesse et des larmes, du malheur du peuple français 419 . Il fallait agir à la source des maux, contre la déchristianisation de la France : la mission intérieure ne requérait pas moins de vocations sacerdotales que les missions extérieures. Laurent Remillieux désirait agir sur le terrain paroissial, car il ne concevait pas d’autre cadre à son ministère que cette circonscription territoriale de base. Il sentait qu’il était « fait pour les paroisses de France » 420 et demandait à son père de prier déjà « pour toutes les âmes qui [devaient lui] être confiées, pour celles surtout qui intéressaient le Christ : les déshérités de ce monde qui [avaient] perdu le seul vrai bien, Dieu » 421 . A l’image du Christ, Laurent Remillieux serait un sauveur.

‘« Le Christ ne ressuscitera-t-il pas aussi bientôt dans les âmes, dans ces âmes en particulier que la Providence me destine ? Oh ! ces âmes, sans les connaître, je les aime déjà, et quand le découragement ou la tristesse se présentent, c’est la pensée de ces âmes à sauver, à sanctifier qui me réconforte et m’anime. […]
Si donc, sur mon petit terrain à moi, sans bruit, par les moyens ordinaires, je ne suis pas, par la grâce de Dieu, un instrument inutile, pour une seule âme ; si dans une seule âme je suis l’occasion, le motif d’une seconde résurrection du Christ, du Christ intégral, tel qu’Il fut, tel qu’Il est, mon sacerdoce n’aura pas été sans fruit. » 422

Ces mots écrits un « samedi saint » investissaient une fois encore la métaphore de la Passion du Christ et Laurent Remillieux se redisait prêt à périr pour réaliser sa mission. Ses propos aux accents tragiques perpétuaient en fait le discours d’un catholicisme qui avait condamné la société libérale et laïcisée, issue des révolutions politique et industrielle. Il fallait réparer les crimes commis par une modernité honnie en rétablissant l’ordre religieux. Mais au-delà de cette vision pessimiste héritée d’un catholicisme intransigeant, Laurent Remillieux recevait aussi l’héritage d’un catholicisme qui avait tenté de réorganiser ses forces sur un mode plus offensif et « de renouveler un modèle pastoral […] de plus en plus dépassé, pour proposer un nouveau type de prêtre » 423 .

Les projets de Laurent Remillieux baignaient en effet dans des influences diverses mais dont les contradictions n’apparaissaient pas forcément irréductibles. Sa vocation se conformait aussi à ce nouveau modèle sacerdotal qu’avait engendré, dans les années 1870-1880, une prise de conscience de « la tiédeur croissante des attitudes face à la religion ». Le prêtre désormais « dépouillé de la méfiance envers les aspirations des contemporains » devenait « moins soucieux de politique que d’insertion sociale auprès des plus défavorisés » 424 . Le Prado, une société de prêtres œuvrant en milieu populaire, avait été fondé à Lyon sur ces critères par Antoine Chevrier, et réclamait un engagement parmi les pauvres primant sur toute formation spirituelle. Certes, le parcours, très classique, de Laurent Remillieux n’avait pas rejoint ce type d’engagement et pas une seule fois le Prado n’était mentionné dans sa correspondance. Mais cette expérience lyonnaise, extrême, révélait les préoccupations d’une Eglise cherchant à regagner les populations urbaines qui cristallisaient le désarroi des catholiques. Alors que la séparation des Eglises et de l’Etat mettait fin « aux liens traditionnels entre l’Eglise catholique et l’Etat », les catholiques sociaux ressentaient plus vivement que jamais « l’urgence de la question sociale » 425 dans un contexte de détachement religieux et de regain d’anticléricalisme. Au Séminaire universitaire, Laurent Remillieux aurait l’occasion de tirer les leçons sacerdotales des premières enquêtes de sociologie religieuse tendant à montrer par « des statistiques comparées les ravages et les horreurs de l’absence de religion » 426 . Le professeur de la classe de diaconales venait d’offrir une base « scientifique » à sa vision catholique de la société, qui justifiait encore plus son désir de ministère paroissial en « milieu déchristianisé », et cette fois il en appelait au modèle de l’apôtre Paul. Porté par son histoire personnelle, il donnait cependant à la voie qu’il avait choisie une autre dimension, celle d’un projet collectif, du moins familial, qui associait son frère Jean. Les différentes sociétés de prêtres vivant en communauté qui voyaient alors le jour avaient peut-être inspiré Laurent et Jean Remillieux. Toujours était-il que le premier concevait, déjà au grand séminaire 427 , un tel plan, qu’il définit plus précisément quelques années plus tard à l’intention de son frère Jean.

Leur vocation commune avait rapproché les deux frères aînés de la famille et c’était à Jean que Laurent Remillieux réservait ses confidences spirituelles. Cette proximité semblait permettre un échange affectif intense et les mots de tendresse enveloppaient les demandes de prières communes. La formation des deux ecclésiastiques qui s’était déroulée dans le même creuset et avait subi les mêmes influences accentuait leur proximité de pensée. A lire Jean Remillieux, on remarquait la même exaltation d’une lecture spirituelle du monde et de ses événements au détriment d’une lecture politique plus lucide. L’expression était certes différente, mais le contenu des analyses correspondait bien à la formation reçue par les séminaristes au début du XXe siècle. La primauté du spirituel les habitait tous les deux et les réunissait dans une vison du monde semblable. Les témoignages envoyés à Joseph Folliet, au moment de la préparation de sa biographie, laissent souvent entendre que Laurent Remillieux, plus timide, plus réservé, à la parole moins aisée, s’effaçait devant la personnalité brillante de son frère, pourtant plus jeune. Leur correspondance ne donne toutefois pas cette impression. Si les lettres de Jean dévoilent un style littéraire enlevé, si les commentaires qu’il proposait de ses lectures ou du calendrier liturgique se détachent de la simple paraphrase pour parvenir à une réflexion personnelle, qui souligne les aptitudes intellectuelles de leur auteur, si en tout cela Jean surpassait son frère aîné, il n’en restait pas moins que c’était ce dernier qui lui donnait des conseils et le maintenait dans ses perspectives. Certes, l’âge venant, l’influence deviendrait mutuelle. Et quand Jean ouvrirait la voie de la militance sillonniste, son ascendant sur la famille se révélerait. Mais le dernier mot appartiendrait toujours à Laurent Remillieux, surveillant son cadet, celui qui s’était considéré comme son émule pendant son adolescence et dont la prise d’indépendance ne devait pas aller jusqu’à renverser les projets familiaux. L’amitié qui naquit entre Jean Remillieux et Victor Carlhian perturba tout de même le fonctionnement des deux frères Remillieux, engendrant des alternatives aux projets plus étroitement familiaux qui conservaient la préférence de Laurent Remillieux.

Finalement, on ne peut savoir qui des deux avait vraiment lancé l’idée d’une société de prêtres missionnaires destinés à ramener à Dieu la population française. A l’encontre du témoignage recueilli par Joseph Folliet, Laurent Remillieux lui-même abandonnait la paternité de cette idée à son frère. Il rapporta que Jean avait exposé « ses vues sur la Conquête religieuse du pays » dans une « causerie faite à la conférence des œuvres » du grand séminaire, en 1907 ou 1908 428 . Jean Remillieux se révélait cependant plus novateur puisque son projet personnel subvertissait le cadre paroissial ordinaire. Les prêtres sortiraient des églises pour aller débusquer « chez eux, au café même s’il le fa[llait], ou sur la place publique, ceux, chaque jour plus nombreux, que n’attei[gnait] plus le ministère des missions classiques ». Ils iraient à leur rencontre et ancreraient le discours religieux dans leurs préoccupations quotidiennes, pour démontrer « la nécessité et la valeur des forces religieuses ». On accueillera toujours avec la même prudence ces propos écrits pendant la guerre, après la mort de Jean Remillieux. Ils n’anticipaient cependant pas sur le ministère paroissial à venir de Laurent Remillieux et n’en étaient donc pas la conséquence, ce qui relativise leur possible anachronisme. En revanche, ils étaient peut-être informés par les expériences pastorales que les deux frères avaient eu le temps d’engager avant 1914, en particulier dans la périphérie de la paroisse de Saint-Julien de Cusset, dans la banlieue lyonnaise. Il demeurait évident que Laurent Remillieux n’avait pas su gagner l’autonomie de son frère. Tandis que Jean avait trouvé d’autres interlocuteurs et qu’il avait noué des amitiés qui élargissaient le cercle familial et ses perspectives d’action religieuse, il portait toujours quant à lui un projet de nature plus familiale que collective. En 1909-1910, les lettres adressées à Jean et à ses parents revenaient sans cesse sur la préparation de ce projet, gage « d’une magnifique issue vers l’avenir », où il annonçait avoir admis « l’hypothèse de devenir “religieux” de nom sans l’être de fait » 429 . Mais pour parler d’avenir, il n’employait plus que la première personne du pluriel, en précisant bien qu’il s’agissait du sien et de celui de Jean, puisqu’ils se devaient d’être « l’alter ego l’un de l’autre » 430 . Le 13 décembre 1909, il demandait à ses parents de préparer son aube pour l’ordination de son frère, qui pourrait ainsi conserver celle, plus belle, offerte par Victor Carlhian pour sa première messe. Malgré la justification donnée, on pouvait penser que c’était un moyen de s’interposer entre les deux amis et de rappeler la prégnance des liens fraternels qui les associaient dans une vocation commune. Pourtant, Laurent Remillieux abandonnait désormais à Jean l’initiative de la mise en place de leur programme.

‘« Les loisirs que me laisseront les devoirs d’état, je les consacrerai à un travail intellectuel intense : j’y suis fermement décidé. Pendant ce premier mois ce ne me sera pas difficile, et ensuite l’idée d’un autre apostolat, plus vaste, moins caché, plus vrai, plus pénible aussi, dont tu fixeras l’heure, mon cher Jean, suffira certainement à me donner l’amour du travail. » 431
Notes
407.

Lettre d’Augustine Remillieux (dont le modèle a été rédigé par Laurent Remillieux) à Mme Mayr, datée du 29 avril 1905.

408.

Lettre de Laurent Remillieux à Mme Bakarie, datée du 2 mars 1904.

409.

Lettre de Laurent Remillieux à ses parents, datée du 9 juin 1902, déjà citée dans l’introduction de ce chapitre. Sur le Père Didon et l’influence qu’il peut avoir au sein du clergé français, voit la thèse de Simone Hoffmane, La carrière du père Didon dominicain (1840-1900), Paris, Université Paris IV-Sorbonne, 1985, 3 vol.

410.

Lettre de Laurent Remillieux à Jean, datée de 1906.

411.

Lettre de Laurent Remillieux à Mme Bakarie, datée du 24 octobre 1903.

412.

C’est un mot qu’on retrouve dans d’autres lettres rédigées en allemand pour ses correspondants autrichiens.

413.

Lettre de Laurent Remillieux à ses parents, datée du 3 juin 1902.

414.

Lettre de Laurent Remillieux à ses parents, datée du 6 juin 1902.

415.

Ibid.

416.

Lettre de Laurent Remillieux à ses parents, datée du 20 juin 1902.

417.

Citations extraites d’une lettre de Laurent Remillieux datée du 11 avril 1903.

418.

Lettre de Laurent Remillieux à ses parents, datée du 6 juin 1902.

419.

Lettre de Laurent Remillieux à Mme Bakarie, datée du 2 mars 1904.

420.

Lettre de Laurent Remillieux à ses parents, datée du 6 juin 1902.

421.

Lettre de Laurent Remillieux à son père, datée du 9 juin 1902.

422.

Lettre de Laurent Remillieux à ses parents, datée du 11 avril 1903.

423.

J.-M. Mayeur et J. Gadille (dir.), Histoire du christianisme, op. cit., p. 510.

424.

Ibid., p. 517-518.

425.

Ibid., p. 520.

426.

Lettre de Laurent Remillieux à Jean, datée de 1906 et envoyée du « Séminaire universitaire – Facultés catholiques ».

427.

Témoignage de l’abbé Ballandras envoyé à Joseph Folliet et datée du 28 février 1851, conservé au Prado, Papiers Folliet, « Le Père Remillieux », carton 1 : « Il rêvait de la vie de communauté pour les prêtres d’une même paroisse ou de plusieurs petites paroisses de campagne. »

428.

Âme de prêtre-soldat. L’abbé Jean Remillieux (1886-1915), op. cit., p. 80.

429.

Lettre de Laurent Remillieux à ses parents, datée du 24 avril 1909.

430.

Lettre de Laurent Remillieux à Jean, datée du 19 octobre 1909.

431.

Lettre de Laurent Remillieux à Jean, datée du 4 octobre 1910.