Parce qu’avant de proposer sa propre construction de la réalité, l’historien doit en passer par la critique des discours tenus sur le passé, qui voilent sa perception, nous nous arrêterons maintenant sur ce qui a été dit et sur ce que l’on sait de Notre-Dame Saint-Alban, sur ce qui a fait de cette paroisse le sujet possible d’une thèse d’histoire religieuse. En fait, nous voici arrivés au chapitre qui doit traiter du thème tant attendu du renouveau paroissial mené par l’abbé Laurent Remillieux à Notre-Dame Saint-Alban. Cette phrase indique d’ailleurs que, de la mission au renouveau paroissial, j’ai déjà opéré le glissement évoqué dans l’introduction de la deuxième partie, glissement qui témoigne des ambiguïtés de la paroisse : on l’a dite missionnaire en milieu ouvrier mais elle a marqué la mémoire catholique par la rénovation liturgique et les spécificités de la vie d’une communauté restreinte. Et il ne faut pas s’y tromper : en dépit des discours qui réduisent le territoire paroissial à un faubourg ouvrier déchristianisé et qui affirment la réalité de la mission, les développements consacrés à l’expérience paroissiale se focalisent sur le thème du renouveau. Jacques Gadille commence ainsi une notice réservée à Laurent Remillieux dans le Dictionnaire du monde religieux dans la France contemporaine : « L’abbé Remillieux est très représentatif du mouvement de rénovation liturgique et de la vie paroissiale qui, en France, prend naissance à la fin de la Première Guerre mondiale, pour aboutir, à l’issue de la Seconde, à la fondation, à Lyon [sic], du Centre de Pastorale liturgique » 202 . Il reprend d’ailleurs le fil directeur qu’il a suivi lors de son évocation du modèle paroissial de Notre-Dame Saint-Alban, « une expérience pionnière » dans l’histoire du diocèse de Lyon 203 . L’ouvrage de Joseph Folliet est indiqué à chaque fois dans la bibliographie et il est utilisé comme une étude historique dont on suit les problématiques et les conclusions. On trouve déjà cette utilisation dans le travail de Paul Droulers sur le père Desbuquois et l’Action Populaire, qui associe l’abbé Remillieux à « Saint-Alban, paroisse-pilote » ou « paroisse de pointe » 204 . Antoine Delestre, dans son étude sur l’expérience paroissiale conduite depuis septembre 1939 au Sacré-Cœur du Petit-Colombes, dans la banlieue ouest de Paris, par une équipe animée par Georges Michonneau des Fils de la Charité, signale de la même façon l’esprit précurseur de l’abbé Remillieux : « Le Père Michonneau n’était certes pas le premier curé à s’intéresser à la réforme des paroisses […]. Près de Lyon, l’abbé Remillieux, curé de Notre-Dame Saint-Alban, avait par ailleurs depuis longtemps vaincu l’argent et posé tous les principes de la réforme liturgique et paroissiale » ; puis plus loin : « [Le Père Michonneau] n’était pas non plus le seul curé à prétendre rapprocher la liturgie de la “vie” des paroissiens. Quinze avant lui, le Père Remillieux […] avait apporté à ses fidèles une liturgie vivante et assimilable. » 205 . Mais on pourrait citer aussi des ouvrages plus récents qui reprennent la même référence et choisissent d’ériger Notre-Dame Saint-Alban et son curé en modèle des renouvellements du catholicisme lyonnais. Bernard Comte, par exemple, quand il présente l’environnement de la Résistance à Lyon, rappelle systématiquement l’expérience paroissiale de Notre-Dame Saint-Alban 206 . Chaque fois que le sujet est abordé, des historiens du christianisme non lyonnais, parfois non spécialistes de la période contemporaine, mais engagés au cours de leur vie dans le mouvement de l’Eglise, se retrouvent sur les mêmes positions. Marc Venard, dans un colloque organisé en janvier 2000 par l’Université de Rouen sur le thème « Identité chrétienne et espace urbain », s’étonnait ainsi, après avoir écouté mon intervention qui portait essentiellement sur l’investissement paroissial d’un espace social, de n’avoir jusque-là su de Notre-Dame Saint-Alban que son œuvre liturgique et sa lutte contre l’argent dans l’Eglise. Et il citait immédiatement la source qui l’avait renseigné et sur laquelle reposait encore sa mémoire de l’expérience paroissiale : l’ouvrage du père Chéry qu’il avait lu dès sa publication. C’était là toute une génération d’historiens et de militants catholiques qui se rejoignait dans un intérêt commun pour le renouveau paroissial et les initiatives « avancées » de Laurent Remillieux.
Trois ouvrages ont fondé la mémoire des témoins, militants et historiens confondus. La biographie de Joseph Folliet, référence récurrente sur laquelle j’ai déjà insisté, se démarque des deux autres par la date de sa publication et les intentions de son auteur, directeur de la Chronique sociale : préparé au cours des années 1950, le projet éditorial n’aboutit qu’en 1962 et reste ancré dans le milieu du catholicisme social lyonnais. Les deux premiers essais furent au contraire publiés dans l’effervescence de l’après-guerre. Ils s’inscrivaient directement, au moins pour l’un d’entre eux, dans la dynamique impulsée par le mémoire des abbés Godin et Daniel sur la nécessité de repenser les modalités de la mission en milieu ouvrier. Ainsi, les responsables de la collection « Rencontres » des éditions du Cerf plaçaient explicitement le volume rédigé par le père Chéry, Communauté paroissiale et liturgie. Notre-Dame Saint-Alban, dans la continuité de La France pays de mission ?, dont un tirage avait paru dans la même collection.
‘« Le présent volume relève des préoccupations d’ « Eglise et Chrétienté ». On pourrait dire qu’il poursuit la ligne des essais : France pays de mission, Problèmes missionnaires de la France rurale, Paroisse communauté missionnaire, s’il n’évoquait une expérience plus ancienne et à laquelle beaucoup sont redevables : le patient travail dans une paroisse lyonnaise d’un curé connu dans la France entière et au-delà. » 207 ’Alors que « le présent volume » allait s’intéresser au problème de l’argent dans l’Eglise et à la vie liturgique de la paroisse 208 , l’éditeur l’associait à trois ouvrages mettant en cause le modèle traditionnel de la paroisse, inadapté à l’exigence missionnaire que leurs auteurs désiraient promouvoir. En retenant l’ancienneté de l’expérience de Notre-Dame Saint-Alban, il signalait pourtant la confrontation de deux générations, mais personne n’en tirait les leçons qui s’imposaient. Le père Chéry, qui avait aussi rédigé le volume sur l’expérience menée par l’abbé Michonneau au Sacré-Cœur de Colombes, revenait néanmoins en conclusion sur la différence qui séparait les deux prêtres.
‘« Il reste que l’ébranlement n’est pas donné aux quelques sept mille paroissiens de ce territoire qui ne fréquentent pas l’église, – l’ébranlement qui les amènerait au Christ et à ses sacrements. Notre-Dame Saint-Alban n’est pas comparable sur ce point au Sacré-Cœur de Colombes, par exemple. Pourquoi ? Parce que l’orientation du Père Remillieux a été différente de celle du Père Michonneau. Non certes dans son intention : j’ai assez souligné dans ce livre sa hantise constante des brebis infidèles à éclairer et à ramener au Christ pour qu’il soit impossible de le concevoir comme replié sur un petit troupeau choisi qu’on cultive avec prédilection en oubliant les autres ! Mais dans sa réalisation. Il a pensé, comme le Père Michonneau, que seule une communauté vivante était capable de rayonner. Mais, tandis que le Père Michonneau constitue sa communauté vivante en la rendant missionnaire, le Père Remillieux a estimé qu’il fallait d’abord créer une famille spirituelle fortement enracinée dans le Christ par le culte et la pratique des vertus, – famille qui, ensuite, déborderait de cette vie, attirerait les autres à Jésus. […]Le père Chéry admettait que les habitants du territoire paroissial étaient largement restés inaccessibles et que l’influence religieuse de Notre-Dame Saint-Alban se limitait à un cercle restreint de fidèles qui avaient adhéré aux initiatives de leur curé. En dépit de l’amalgame opéré ensuite par la mémoire catholique entre les paroisses qui se distinguaient du modèle commun, on reconnaissait que la spécificité de Notre-Dame Saint-Alban, telle qu’elle se présentait aux catholiques de la fin des années 1930 au milieu des années 1940, se définissait en dehors de la problématique missionnaire appliquée aux paroisses ouvrières.
Le troisième ouvrage que je n’ai pas encore cité était celui qui se réclamait le plus clairement de cette vision, tout en éprouvant encore cependant le besoin d’indiquer la dimension missionnaire de la rénovation liturgique. Renaissance liturgique et vie paroissiale 210 était cette fois l’œuvre d’un laïc, Robert Flacelière, ancien élève de la rue d’Ulm, que ses activités professionnelles avaient conduit à l’université de Lyon où il enseigna le grec, avant d’être nommé plus tard en Sorbonne. Il apportait le témoignage d’un pratiquant, membre de la Paroisse universitaire, « catholique parfait » selon Jules Monchanin 211 , qui avait participé à la vie paroissiale de Notre-Dame Saint-Alban pendant le temps de son séjour lyonnais, et qui avait mieux connu l’abbé Remillieux à l’occasion de retraites prêchées à des couples mariés. Dans un exposé publié en 1979 dans les Cahiers Foi et Société pour le trentième anniversaire de la mort de Laurent Remillieux, Robert Flacelière précisait qu’il avait fréquenté le curé de Notre-Dame Saint-Alban « pendant quinze ans, de 1933 à 1948 » 212 . Par son intermédiaire, on entrait dans l’une des problématiques de l’expérience paroissiale de Notre-Dame Saint-Alban : la recherche d’un accomplissement religieux personnel vécu au sein d’une communauté spirituelle par une minorité, une élite, liée à un même réseau.
J’ai logiquement accordé aux trois ouvrages en question le statut de source. La présentation précise qu’ils proposaient de la vie liturgique et qui correspondait aux documents émanant de l’abbé Remillieux, des autres intervenants ecclésiastiques ou des paroissiens m’épargnera de longs développements descriptifs sur le déroulement des cérémonies. Ils me permettent de replacer la paroisse étudiée dans un contexte de contestation du modèle traditionnel et de réfléchir à ses particularités. Ils posent cependant un problème. En ramenant l’expérience paroissiale à la problématique de la mission telle qu’elle se définit en ce milieu des années 1940, en dépit de toutes les précautions prises et des nuances apportées, non seulement ils lisaient a posteriori une histoire qui avait commencé en 1919, et qui s’était construite sur des problématiques qui lui étaient antérieures, mais ils élaboraient aussi une image idéale de Notre-Dame Saint-Alban reposant sur le seul temps des années 1940, et que véhiculeraient par la suite tous les auteurs catholiques et l’ensemble des historiens.
Admettons cependant que l’amalgame qui se fixe alors entre rénovation liturgique et mission devienne l’axe fondamental de la réflexion, quitte à l’accepter d’abord comme une réalité du fonctionnement paroissial. Mais déplaçons le questionnement, de la nature des changements à leur interprétation. En quoi les changements liturgiques introduits par le curé servaient-ils ses intentions missionnaires ? Avant de répondre à la question, il faut donc commencer par revenir à la définition de ses intentions, en analysant le discours tenu sur le faubourg déchristianisé comme en étudiant les pratiques pastorales développées à l'égard de la population du territoire paroissial. On pourra ensuite rapporter ces dernières aux exigences spirituelles de ce groupe de catholiques attirés à Notre-Dame Saint-Alban parce qu’ils appartenaient à un même réseau. Ce que je voudrais montrer, c’est la dissociation de deux projets. Le premier, qui était le point de départ de la naissance d’une nouvelle paroisse, concernait un hypothétique et finalement utopique quartier ouvrier, qu’il s’agissait de reconquérir à la foi chrétienne. Le deuxième s’imposait dans la continuité des logiques relationnelles construites autour des deux fondateurs de Notre-Dame Saint-Alban, Laurent Remillieux et Victor Carlhian, et renvoyait aux efforts d’accomplissement religieux évoqués précédemment. Ce deuxième projet, tacite au moment de la fondation paroissiale et pourtant visible à travers le culte rendu aux morts familiaux et sillonnistes de la guerre, recevait en héritage l’ancien réseau du Sillon lyonnais et se nourrissait des recompositions du milieu du catholicisme social. Si ce chapitre délaissera la reconstitution du réseau catholique qui vit en Notre-Dame Saint-Alban un lieu spirituel de ralliement, on n’oubliera cependant pas que le projet religieux qui séduisit les membres de ce réseau organisa, beaucoup plus que les velléités missionnaires proclamées, le fonctionnement de la communauté paroissiale.
Un autre indice prouvait d’ailleurs la complexité de l’affaire et la nécessité de maintenir une analyse qui prenne en compte à la fois réalités et discours, qui navigue entre les différents temps de cette histoire. La revue du Centre de Pastorale Liturgique, La Maison-Dieu, consacra à Renaissance liturgique et vie paroissiale une notice bibliographique qui parut au cours du troisième trimestre 1945 213 . Le compte rendu louait les qualités pédagogiques de l’exposé et le présentait comme « un ouvrage de vulgarisation propre à éveiller les esprits au problème du renouveau liturgique ». Mais il n’évoquait jamais l’expérience de Notre-Dame Saint-Alban qui avait pourtant inspiré Robert Flacelière et qui était largement citée dans l’ouvrage. Il précisait par contre que l’auteur était « manifestement dépendant dans son exposé des cours et des conversations qui eurent lieu à Vanves en janvier 1944 ». Une note de Robert Flacelière confirmait sa présence aux Journées d’études du Centre de Pastorale Liturgique 214 . Mais il ne semblait pas avoir pris conscience de leur portée sur la construction de son discours. Par ses silences sur Notre-Dame Saint-Alban et ses commentaires sur les influences à l’origine de l’essai sur la renaissance liturgique, la notice bibliographique concernant l’ouvrage de Robert Flacelière restait troublante. Elle alertait en fait l’historien sur la possible contamination des récits évoquant, après 1943, la rénovation de la vie paroissiale de Notre-Dame Saint-Alban par les discours des protagonistes du Centre de Pastorale Liturgique.
Il faut donc reprendre les faits et leur interprétation par le début de l’histoire et non les saisir à partir des problématiques définies dans les années 1940. Autrement dit, il ne s’agit pas de savoir si l’abbé Laurent Remillieux était un précurseur de la réforme liturgique, qui trouva un aboutissement lors du Concile de Vatican, mais de comprendre ce que les changements liturgiques cristallisèrent au sein de la communauté paroissiale d’une part, parmi les catholiques engagés dans le mouvement de l’Eglise d’autre part. S’ils seront replacés dans le contexte religieux lyonnais, français, voire européen, ils seront avant tout expliqués ici par l’histoire du prêtre et de ses paroissiens. D’abord, le terme de précurseur est en lui-même un obstacle à une réflexion de type historique. Le dictionnaire des noms communs, le volume un du Petit Robert, avance comme première définition « celui qui annonce, prépare la venue d’un autre », avec l’exemple suivant « Saint Jean-Baptiste, précurseur du Christ ». Même si le choix de l’exemple montre seulement la difficulté de se départir d’une culture chrétienne, la définition demeure signifiante pour notre propos et ne peut que nous inviter à rejeter le terme. L’étude de Laurent Remillieux ne sera menée que du point de vue de son passé et en relation avec le présent qui l’environnait. Il sera toujours temps de s’interroger ensuite sur le sens à donner à cette volonté d’une génération de catholiques et de ses héritiers d’en faire un « précurseur » en matière de liturgie comme dans d’autres domaines. On reprendra donc l’objet de l’histoire tel qu’il a été construit au cours des deux chapitres précédents et on continuera à accorder toute l’attention au territoire paroissial et à ses résidents pour conduire la réflexion sur le fonctionnement de la communauté paroissiale de Notre-Dame Saint-Alban et sur les réalisations effectuées en son sein. Cette observation sera investie d’une partie des conclusions tirées des analyses menées dans la première partie sur l’histoire personnelle et familiale de Laurent Remillieux et sur les conditions de la fondation paroissiale.
Jacques Gadille, notice sur « Laurent Remillieux », Lyon – Le Lyonnais – Le Beaujolais, Dictionnaire du monde religieux dans la France contemporaine, op. cit., p. 363-364. Le Centre de Pastorale liturgique a été fondé en fait à Paris, en 1943.
Jacques Gadille (sous la direction de), Histoire des diocèses de France, Lyon, op. cit., p. 296-297.
Paul Droulers, Politique sociale et christianisme, le Père Desbuquois et l’Action Populaire, Tome II 1919-1946, Paris, Les Editions Ouvrières, 1981, 455 p., p. 242 et 329.
Antoine Delestre, 35 ans de mission au Petit-Colombes, 1939-1974, Paris, Editions du Cerf, 1977, 211 p., p. 31 et 41.
Bernard Comte, L’honneur et la conscience. Catholiques français en résistance. 1940-1944,Paris, Les Editions de l’Atelier / Les Editions Ouvrières, 1998, 304 p, et Bernard Comte, Jean-Marie Domenach, Christian et Denise Rendu, Gilbert Dru. Un chrétien résistant, Paris, Beauchesne, 1998, 238 p
H. Ch. Chéry, O.P., Communauté paroissiale et liturgie. Notre-Dame Saint-Alban, op. cit., (Coll. Rencontres, 25), page intérieure de couverture. Les ouvrages cités, outre celui des abbés Daniel et Godin, sont ceux de Fernand Boulard, avec la collaboration de A. Achard et H. J. Emerard, Problèmes missionnaires de la France rurale, Paris, Editions du Cerf, 2 vol., 1945, 192 et 308 p. (Coll. Rencontres, 16 et 17-18), et de l’abbé Michonneau, Paroisse, communauté missionnaire,Conclusions de cinq ans d’expérience en milieu populaire présentées par H. Ch. Chéry, O.P., Paris, Editions du Cerf, 1946, éd. corrigée, avec préface du cardinal Suhard, 493 p. (Coll. Rencontres, 21-22).
La table des matières rend bien compte de la thématique excluant le traitement du problème missionnaire en tant que tel, puisque, après un premier chapitre intitulé « Vous avez vaincu l’argent », les développements suivant sont réservés à : « Une liturgie vraie », « Le baptême », « Communion solennelle ou reviviscence du baptême ? », « Le mariage », « Les funérailles ».
H. Ch. Chéry, O.P., Communauté paroissiale et liturgie…, op. cit., p. 153-155.
Robert Flacelière, Renaissance liturgique et vie paroissiale, Paris, Editions du Seuil, 1945, 142 p.
Abbé Monchanin, Lettres à sa mère, 1913-1957, présentées par Françoise Jacquin, Paris, Les Editions du Cerf, 1989, 592 p., Lettre du 5 juin 1955, p. 520. Une biographie du prêtre a été publiée par Françoise Jacquin, Jules Monchanin, prêtre, 1895-1957, Paris, Editions du Cerf, 1996, 8°-329 p.
Robert Flacelière, « La fidélité et l’ouverture chez un curé lyonnais », Cahiers Foi et Société, Octobre 1979, p. 3-7.
La Maison-Dieu, Cahier n° 3, 3e trimestre 1945, p. 138.
Robert Flacelière, Renaissance liturgique et vie paroissiale, op. cit., Note 1 p. 23.