3.6.4. La question de la formation des catéchistes (1967-1996)

Depuis 1967, le diocèse de Butembo-Beni a à son service plusieurs catégories de catéchistes. Outre les ‘catéchètes formateurs’, il y d'abord les responsables des communautés chrétiennes qui sont des ‘catéchistes pionniers et itinérants’. Ilscontrôlent les catéchistes d'autres communautés chrétiennes dans les villages.

Ensuite, les ‘catéchistes auxiliaires paroissiaux’ aident le prêtre dans la paroisse ou assurent la direction d'une paroisse abandonnée à cause de la pénurie du personnel sacerdotal. Ils donnent les instructions et animent la communauté paroissiale. On rencontre aussi parmi eux des ‘catéchistes bénévoles’, constitués de volontaires issus des fidèles, des mamans, des instituteurs, des religieux et des religieuses 1164 .

Le problème financier est général à tous les catéchistes. Certes, les bénévoles dans les villages peuvent, selon la générosité de leurs chrétiens, recevoir le soutien moral et matériel de leurs ouailles. Cela n’est pas le cas de ceux qui sont engagés à plein-temps ou à mi-temps dans les paroisses. Pour ces derniers, l'Église catholique souhaite une justice salariale en ces termes : « En outre, à ceux qui se dévouent entièrement à cette besogne, on devra leur procurer par une juste rémunération un état de vie décent et la sécurité sociale 1165  ».

Dans ce dessein, l'Église propose des subsides spéciaux à la Propagande pour l'entretien et la formation des catéchistes. En 1969, le diocèse de Butembo-Beni, a introduit une demande en faveur des catéchistes auprès de cet organisme. Mais, l'aide reçue n’a pas pu couvrir les besoins fondamentaux d’une vie humaine pleinement épanouie.

Afin de remédier à cette lacune, au niveau local, l'école catéchétique en collaboration avec les paroisses conscientisa les catéchistes à l'autofinancement familial. Bien plus, le diocèse créa des oeuvres spécifiques d'autofinancement pour cette école et pour ses ressortissants. Mais, ces réalisations renforcées par l’aide des paroisses aux catéchistes n’a guère changé les conditions de vie pauvre des catéchistes.

Hormis les initiatives de formation prise dans le vicariat apostolique de Beni, jusqu'en 1967, une formation proprement catéchétique n'existait pas dans le diocèse de Butembo-Beni. Avant le Concile Vatican II (1963-1965), les catéchistes étaient des agents indispensables auxquels les chrétiens se référaient en matière de conduite ou de pratique chrétienne. Cependant, ils étaient toujours considérés comme des auxiliaires dans l’apostolat des missionnaires. Leur formation catéchétique n’était pas systématique ou n’était pas encore élaborée dans les pays de mission.

C’est pourquoi Mgr Emmanuel Kataliko déclara en 1969 : « Nos catéchistes actuels, sauf des rares exceptions, ne peuvent être nommés des collaborateurs efficaces vu que leur niveau intellectuel et le sens critique et de réflexion se font remarquer 1166  ». En effet, à cette période, on distinguait habituellement les catéchistes en deux catégories, les catéchistes des missions ou des grandes succursales, et ceux de la brousse, bien que les uns et les autres remplissent presque les mêmes fonctions et soient tenus aux mêmes obligations.

Les critères de cette distinction résident dans le fait que, pour les catéchistes de brousse, les missionnaires se contentaient de faire appel à tout homme de bonne volonté, de conduite intègre, sachant suffisamment lire et écrire. Ce bagage spirituel et intellectuel lui permettait d’enseigner les prières et le mot à mot du catéchisme, et d’assurer une instruction chrétienne plus ou moins valable 1167 .

À la fin des années 1960, cette situation ne paraissait plus répondre aux appels du concile qui venait de promouvoir le laïcat et de définir son rôle essentiel dans l’Eglise et dans la société. C’est pourquoi, Mgr Emmanuel Kataliko, lors de la réunion du Conseil des Consulteurs tenue à Butembo le 7 décembre 1967, envisagea de fonder une école de stages catéchétiques afin de remédier aux déficiences intellectuelles notoires de certains catéchistes et d'avoir la collaboration des laïcs valables dans le ministère paroissial.

Il suggéra, à cette occasion, que cette école catéchétique reçoive trimestriellement une quarantaine de candidats, qui proviendraient de toutes les paroisses du diocèse, pour recevoir un enseignement pratique de catéchèse à partir de leçons modèles 1168 . Dans un premier temps, le Conseil des Consulteurs chercha une collaboration avec les Centres catéchétiques de Bunia et de Bukavu qui initieraient des futurs formateurs des catéchistes du diocèse de Butembo-Beni.

Cette proposition s’avérait réalisable car, à la même période, les bases sur lesquelles s’édifia le centre catéchiste de Butembo était déjà établies. Le Père Jean-Baptiste Meessen animait déjà des sessions catéchétiques. Rentré en Europe pour des raisons de santé, Mgr Emmanuel Kataliko demanda au Père Théodard Steegen, juriste de formation, de continuer le travail déjà entrepris par son confrère assomptionniste. Ce Père accepta cette nouvelle charge et travailla en étroite collaboration avec le Père Marc Champion, et de la Sœur Maria-Dolres Arrazola, de la Compagnie de Marie, qui avait une formation catéchétique.

En 1967, cette équipe organisa des sessions catéchétiques, pendant les vacances de Noël et de Pâques, pour les enseignants et monitrices des écoles primaires afin de les préparer à animer une instruction religieuse avec compétence et conviction. Pendant les grandes vacances, cette équipe fit appel à Mlle Hugette Prolx, professeur canadienne à l'école normale de Mulo, et au Père jésuite Jean-Paul Declercq, professeur à Bukavu au Collège Notre-Dame de la Victoire.

En mai 1968, le Conseil des Consulteurs diocésains réunit tous les curés et les prêtres directeurs dans l'enseignement secondaire, et décida à l'unanimité de l'érection d'une école catéchétique sous la direction du Père Théodard Steegen et de la Mère Maria-Dolres Arrazola. Cette fondation, qui était toujours retardée à cause du manque du personnel et des moyens financiers, put ainsi ouvrir ses portes aux catéchistes du diocèse de Butembo-Beni 1169 .

Elle reçut d’abord des hommes mariés qui étaient catéchistes dans leurs villages. Ces candidats étaient désignés par les communautés paroissiales qu'ils rejoignaient après leurs études. Ce centre accueille aussi les religieuses et certaines jeunes filles catéchistes qui n'y sont pas internées. Cet accueil, dans les années 1970, mettait au même rang les jeunes filles célibataires appelées à remplir les fonctions réservées aux religieuses, aux instituteurs et aux hommes. Il fut perçu par la population locale comme une « révolution 1170  ».

L’admission des femmes célibataires au milieu des hommes mariés élevait la dignité et le statut de la femme à un niveau presque égale à celui des religieuses, exceptés les vœux. Leur vie sobre liée aux conditions matérielles dans les villages, leur célibat, qui implique une vie chaste pour avoir été désignée par la paroisse pour suivre des cours au centre catéchiste, leur docilité aux enseignements de l’Église, leur laissaient croire qu’elles étaient en quelque sorte « des religieuses » dans leurs villages.

Toutefois, elles reconnaissaient que leur vie de célibataire ne provenait pas d’une option de vie comme pour les religieuses, et que les études leur faisaient défaut pour s’orienter vers la vie religieuse. Par ailleurs, apprendre sur les bancs d’écoles avec des hommes adultes, et recevoir le même traitement qu’eux durant leur service dans la paroisse furent des actes positifs qui élevait leur statut social à un niveau presqu’égal de celui de l’homme.

C’est pourquoi, elles affirment que « l’homme reste toujours un homme : (Mwanaume iko tu mwanaume) ». Cette expression, pour les femmes catéchistes ou mariées, souligne, non seulement un complexe d’infériorité de la femme, issu de la culture qui inclut le statut de la femme dans celui de l’homme, mais aussi traduit l’estime que les femmes portent à l’égard des hommes pour leur savoir-faire, leur patience, leur endurance, et autres. Cette attitude d’humilité n’empêche pas aux hommes de voir en elles « l’œil de curé », c’est-à-dire les représentantes du curé dans leurs villages, et de recourir auprès d’elles pour chercher une solution à leurs problèmes d’ordre spirituel.

D’une manière plus large, l’égalité de l’homme et de la femme dans la société reste, néanmoins, « ambiguë » : durant les heures de service, elles sont souveraines, égales aux hommes ; à la maison, elles gardent leur statut social de mères et d’épouses 1171 . C’est pourquoi, les hommes préfèrent rencontrer, à domicile, les femmes fonctionnaires dans les services publics de l’Administration avant de se présenter dans leurs bureaux.

Outre cette question relative à l’émancipation de la femme grâce à son accès au centre catéchétique, la vie communautaire est de rigueur dans cette école pour les internes, à l’exception des femmes qui proviennent de leurs familles à cause de leur nombre fortement réduit au milieu des hommes mariés, et du manque de locaux. La journée commence par la prière commune suivie d’une méditation et d’une heure d'étude. Elle s’achève également par un temps d'étude et une prière du soir en commun. La formation des catéchistes comporte des leçons théoriques et pratiques réparties sur trente semaines.

Sur le plan théorique, ils reçoivent une initiation biblique orientée vers les principaux faits de l'histoire sainte, une formation catéchétique, liturgique et pastorale. L'histoire ecclésiastique, la spiritualité, la doctrine chrétienne, la célébration des sacrements et la liturgie (liturjia) 1172 , des notions d'homilétiques et d'éloquence, le chant, la formation humaine et la dynamique du groupe constituent autant de matières dans la partie théorique des cours 1173 .

Sur le plan pratique, les catéchistes préparent les fidèles à la réception des sacrements, président les réunions de prières, assistent les malades et au besoin leur apportent le viatique, assurent l'accompagnement spirituel des chrétiens et enseignent catéchisme dans leurs secteurs. Ils dirigent les liturgies dominicales de la célébration de la parole de Dieu (kuongoza ibada takatifu la Neno la Mungu) durant laquelle les chrétiens reçoivent la sainte réserve eucharistique laissée par le prêtre lors de sa visite pastorale. Ils célèbrent aussi les funérailles, conseillent les ménages en difficultés, initient et incitent les chrétiens aux oeuvres de développement 1174 .

Par ailleurs, une fois par mois, ils rassemblent les autres catéchistes des secteurs qu'ils dirigent, préparent ensemble les homélies des dimanches, et donnent des leçons d'instruction religieuse suivant un plan bien concerté. Enfin, ils discutent les différents problèmes rencontrés dans leur ministère pastoral, et communiquent les directives prises dans le conseil paroissial et pastoral. Malgré le succès apostolique qu'ils rencontrent dans leur ministère, les catéchistes prennent de plus en plus conscience de leurs limites devant certains problèmes pastoraux quand les chrétiens n’adhèrent pas facilement à certaines directives paroissiales.

Du point de vue doctrinal, devant la prolifération des sectes et leur virulence dans la critique de la doctrine catholique au sujet de la papauté, de la Vierge Marie, du culte de saints, des sacrements de l’Eucharistie, de la pénitence, de l’onction des malades, ainsi que des pratiques et des observances alimentaires, les catéchistes trouvent leur bagage intellectuel insuffisant. Ce n’est pas, par-là, la qualité des enseignements reçus qui est mise en doute. Le problème soulevé est celui du recrutement et de la méthodologie.

Depuis l’ouverture de cette école, en 1967, les catéchistes ont une moyenne d’âge d’environ 40 ans. Les plus doués n’ont pas dépassé les deux ans d’études post-primaires. Ils sont mélangés avec ceux qui ont poursuivi leurs études jusqu’au niveau de la quatrième année secondaire. Le décalage dans le niveau d’études des catéchistes pose aux formateurs un problème de méthodologie. Il fait surgir aussi la difficulté d’un enseignement personnalisé et adapté à chaque groupe d’âge de catéchistes.

Ces problèmes sont difficiles à résoudre car tous les catéchistes sont réunis ensemble dans un même auditoire. Par ailleurs, la pénurie du personnel encadreur ne favorise pas cette attention particulière aux personnes et aux groupes d’âge de niveau intellectuel différents 1175 . Par conséquent, les attentes des catéchistes ne sont que partiellement satisfaites. Certains estiment parfois que les enseignements reçus sont au-dessus de leur niveau intellectuel 1176 .

Enfin, d’une manière générale, tous sont absorbés par les problèmes fondamentaux de l’existence humaine, la famille, la scolarisation des enfants, la santé, et le devoir de solidarité familiale et clanique. Ce mode de vie, dans les villages comme dans les villes, ne prévoit aucune place pour un approfondissement personnel des enseignements reçus ni pour une formation permanente.

Toutefois, parmi les catéchistes figurent ceux qui ont un diplôme d’études de quatre ans post-primaires ou d’humanités secondaires. Ces derniers sont envoyés soit à l'Institut catéchétique de Bunia, soit à Butare durant la période de paix entre le Congo-Kinshasa et le Rwanda, soit enfin en Belgique dans l’Institut Lumen Vitae. Ces catéchistes sont destinés à devenir des formateurs dans ce centre catéchétique du diocèse de Butembo-Beni.

Bien qu'il soit, contrairement au catéchiste bénévole choisi par la communauté paroissiale, rémunéré à temps plein ou partiellement selon le travail rendu, le catéchiste qui a terminé sa formation à Butembo ou ailleurs éprouve une insatisfaction sur le plan matériel. Ceux qui ont une famille nombreuse ne peuvent pas l’entretenir. Leurs épouses portent en grande partie ce poids. Eux-mêmes, après le service, doivent se rendre aux champs afin que les produits agricoles suppléent au salaire insuffisant. Ce problème n’est pas particulier à l’Église ; il s’étend à tous les échelons de la société nationale.

À la fin du XXe siècle, l'Église de Butembo-Beni reste très cléricale dans sa hiérarchie. Ce phénomène handicape la franche collaboration entre les laïcs et le clergé. Le bagage intellectuel des catéchistes ne favorise pas l’échange d'égal à égal avec les prêtres, malgré la participation mensuelle des catéchistes aux conseils paroissial et pastoral. Le reproche de paternalisme adressé aux missionnaires s’applique aussi aux membres du clergé autochtone et aux religieux africains.

Les catéchistes demeurent des personnes qui exécutent, selon leur compréhension, les directives reçues de la paroisse. La réalisation de leurs rares projets reste entre les mains du curé. Une réflexion théologique, pastorale et catéchistique approfondie demeure difficile à envisager ou du moins à soutenir. Les catéchistes, plus que des collaborateurs entreprenants, demeurent des porte-paroles, des transmetteurs, des communicateurs, au mieux des interprètes de la hiérarchie ecclésiastique 1177 .

Dans le diocèse de Butembo-Beni, l’organisation des stages et des sessions de recyclage pour les catéchistes afin qu'ils reviennent à l'école et étudier les problèmes spécifiques rencontrés lors de leur ministère pastoral semble difficile à cause du manque de ressources financières. Cependant, en vue de répondre au dessein du concile, l'école des catéchistes est devenue, depuis les années 1990, un Centre diocésain de Pastorale, de Catéchèse et de Liturgie (C.D.C.P.L.).

Ce centre aimerait, d’abord, permettre à tous les agents de l'évangélisation d'avoir une formation spirituelle. Il désire aussi fournir une bonne formation aux responsables et membres de différents mouvements d'action catholique, notamment aux comités, aux agents de développement, et aux chantres 1178 . Bien que leur rôle soit prépondérant dans la société et dans la vie de l’Eglise naissante, les catéchistes ne sont pas socialement enviés parce que leur statut social demeure celui des pauvres au milieu des pauvres. Néanmoins, leur privilège réside dans l’estime qu’ils reçoivent des chrétiens, dans l’accueil de leur parole et de leurs conseils dans la vie du village, et dans leur mode de vie chrétienne sur lequel les chrétiens modèlent le leur.

Auxiliaires indispensables et subordonnés aux prêtres, les catéchistes se comportent comme des « curés-laïcs » ; d’autres ont une conscience vive d’être des padri-nusu, -demi-prêtres-, d’autres enfin se considèrent ou sont considérés comme des lieutenants ou représentants 1179 du prêtre dans les grands centres ou encore de l’évêque dans les paroisses sans prêtres. Malgré ce prestige, leur rang social et ecclésial n’est pas envié par le peuple.

Cependant, ils n’en demeurent pas moins les permanents des communautés chrétiennes, sous curés, les formateurs de conscience et d’identité chrétienne. Ils sont enfin, auprès de la population, des hommes et des femmes qui nourrissent un sentiment d’appartenance à une religion supérieure, par rapport à toutes les autres considérées comme des petites doctrines ou églises (dini ndogo ndogo), avec des chefs bien connus, au niveau mondial, le pape, les évêques et les prêtres.

En définitive, en dépit des problèmes d'ordre doctrinal, pastoral et financier, les catéchistes bénévoles et ceux qui reçoivent une formation appropriée au centre catéchétique on montré leur importance pour le diocèse de Butembo-Beni. Auxiliaires indispensables des prêtres, ils édifient l'Église locale, chacun selon son rang. Vivant au milieu et avec le peuple, ils sont les premiers agents de l'inculturation du message chrétien.

Notes
1164.

Réponses aux questions posées par Most Rev. William J. MC CORMACK, D.D., p. 1-2. (Collection des feuilles d’archives personnelles à l’auteur de ce texte).

1165.

VATICAN II, Décret sur l'activité missionnaire de l'Eglise, 'Ad Gentes', n°17, op. cit., p. 455.

1166.

Emmanuel. Kataliko, Lettre pastorale. Butembo, le 24 août 1969.

1167.

« École de Stages catéchétiques à Butembo », dans Sint Unum (1967) n°15, p. 14-15.

1168.

Ibidem, p. 15.

1169.

Théodard. STEEGEN,« Instruction religieuse dans le diocèse de Butembo-Beni », dans Sint Unun (1969) n°20, p. 14.

1170.

Témoignage de Nguru Bertha et de Marie-Thérèse Kahambu, en 1987. Elles étaient parmi les premières catéchistes de la paroisse. Pour elles, l

1171.

Témoignage d’un couple de médecins, professeurs à l’Université de Kinshasa. Kinshasa, novembre 1995. Observations personnelles de l’auteur auprès des femmes universitaires, mariées ou célibataires, de Butembo, lors de son service à l’aumônerie de l’Université Catholique du Graben (UCG) (1998-2001).

1172.

La liturgia est similaire aux assemblées dominicales en l'absence de prêtre (ADAP). Elle suit, dans le diocèse de Butembo-Beni, la procédure de la messe. Après l'homélie suivie du Credo et des prières d'intercession, les fidèles présentent leurs offrandes. Aussitôt après, en communion spirituelle avec un prêtre qui célèbre la messe en ce moment dans le monde, on expose le Saint sacrement, puis on récite ou on chante le Pater noster. Puis le reste continue comme à la messe. Après le baiser de paix, on chante l’Agnus Dei, on reçoit ensuite la communion qui est en réalité la réserve eucharistique prend soin de laisser, en quantité suffisante, dans le secteur le jour de passage du prêtre. Une prière conclusive met fin à cette célébration.

1173.

« Réponses aux questions posées par Most Rev. William J. MC CORMACK », D.D., p. 2. N.b. Ce document ne présente ni l'auteur, ni le lieu, ni la date des réponses. Il est dans un état fragmentaire ; Emmanuel Kataliko, Rapport quinquennal (1977-1981), p. 18-19. Edgar CUYPERS, « L'école des catéchistes de Butembo », dans L’Assomption et ses oeuvres (1979) n°599, p. 15-16.

1174.

« Réponses aux questions posées par Most Rev. William J. MC CORMACK, D.D. », p. 1-2.

1175.

Entretiens informels avec l'abbé Télesphore Matabishi, le catéchète Kambungu Marcel, tous deux Professeurs au Centre catéchétique de Butembo, en septembre 1995.

1176.

Témoignage des catéchistes lors de notre ministère pastoral (1986-1991) dans la Paroisse de Mbao au diocèse de Butembo-Beni.

1177.

Correspondance de l'Abbé Matabishi Telesphore avec le Père Sitone Matthieu. Butembo, le 25 septembre 1995 ; Entretiens informels avec l'abbé Télesphore Matabishi, le catéchète Kambungu Marcel, tous deux Professeurs au Centre catéchétique de Butembo, en septembre 1995 ;.

1178.

Entretiens personnels et informels avec le l'Abbé Telesphore Matabishi en septembre 1995.

1179.

Expérience personnelle durant notre ministère pastoral (1986-1991) dans le Paroisse de Mbao au diocèse de Butembo-Beni.