4.4.3. Enseignement primaire (1929-1965)

L'enseignement scolaire a toujours été considéré par les missionnaires comme un puissant moyen d'évangélisation. Joint à l'enseignement religieux, affirmait Mgr Gabriel Grison, en 1932, l'instruction scolaire est un des facteurs du développement d'une nation car de l'un et de l'autre dépendent l'avenir de la nation 1304 .

Au début de la christianisation de la mission de Beni (1906), l'école a été un des facteurs de la propagation de la foi chrétienne. Le Père Marie-Jules Celis, en 1934, dans son Rapport sur la Mission assomptionniste au Congo relata : « L'enseignement profane, qui doit toujours aller de pair avec l'éducation, nous permet d'exercer une influence plus profonde que la simple catéchisation 1305  ».

Au Congo Belge, l'école avait non seulement un rôle religieux d'évangélisation, mais aussi une dimension sociale consistant à civiliser le Noir, à élever sa vie morale, et à étendre l'influence blanche sur les populations locales. A ce sujet, Mgr De Clercq, Vicaire apostolique du Haut Kasai, en octobre 1932, lors de la Conférence Plénière des Ordinaires du Congo-Belge, déclarait :

‘Il faut donner à l'école toute la place qu'elle doit avoir dans notre oeuvre d'évangélisation. Or, cette place est de toute première importance, son seulement comme moyen d'extension et comme instrument de pénétration et de conquête. La meilleure manière, je dois dire la seule bonne manière, d'évangéliser nos populations noires aujourd'hui, est d'ouvrir une école. Car, sans école, une instruction religieuse, telle que le moment actuel l'exige, est impossible : non seulement l'instruction, mais la formation à la vie chrétienne telle que les circonstances et les moments demandent. Des chrétiens qui ne savent ni lire, ni écrire, se laissent entraîner par le premier venu. Éloignes de tout prêtre (...) comment les tenir des menées adversaires, si nous ne pouvons leur faire parvenir nos livres et nos périodiques, une nourriture spirituelle et intellectuelle appropriée 1306 ?’

Dans le vicariat de Beni, l'école a été un puissant moyen de recrutement des catéchumènes qui venaient non seulement pour l'instruction religieuse, mais aussi pour l'enseignement profane. L'instruction religieuse, dont le peuple se souciait peu, finit par les affecter positivement. Même ceux qui, par le biais de l'école, cherchaient une promotion sociale, étaient inconsciemment familiarisés avec la religion chrétienne et ses exigences.

De la pression morale au choix de la vie chrétienne : tel fut l’itinéraire de certains « indigènes » qui ont d’abord été réquisitionné manu militari pour fréquenter l’école. Celle-ci, à son tour, jusque dans les 1960, exigeait que les élèves soient présents aux célébrations dominicales suivies de l’appel de l’instituteur 1307 . Avant l’arrivée des Pères Assomptionnistes, en 1929, dans la mission de Beni, l’enseignement par les Déhoniens se déroulait dans des chapelles-écoles. Il a même été signalé une ouverture d’école primaire pour les filles pour laquelle nous n’avons pas des données précises.

L'organisation systématique de l'enseignement dans cette mission se situerait dans les années 1930 quand les Pères Marie-Jules Celis à Kimbulu et le Père Baudouin Ponsaert furent détachés de l'apostolat direct des postes pour s'occuper de la direction des écoles. C'est encore, dans les années 1932 et 1933, que le Père Marie-Jules Celis polycopiait des cours à l'intention des enseignants de l'école primaire. Ces missionnaires créèrent des écoles centrales aux postes et des succursales dans la brousse afin d'atteindre le maximum d’enfants éloignés dans la brousse.

La fondation d’une école ne posait pas de problèmes majeurs à cause d’une main-d’œuvre locale, gratuite mais forcée. Cependant, il fallait s’assurer de la densité et de la stabilité de la population et examiner sérieusement la question financière. D’une part, les missionnaires prenaient en considération leurs ressources financières fort réduites ; d’autre part, ils étaient perplexes sur la contribution de l’Administration coloniale pour cette œuvre.

Ce facteur économique présidait au choix du terrain qui devait être plat et proche des endroits qui fourniraient le matériel de construction : l'eau, les pierres, le sable, une terre à brique, le bois et l'accord de l'administration coloniale pour l'abattage des arbres pour la cuisson des briques 1308 .

Les écoles de brousse se limitaient aux deux premières classes de l’enseignement primaire. Les missionnaires se méfiaient de ces classes car elles n’offraient pas la rigueur suffisante pour la formation religieuse et intellectuelle. Toutefois, elles étaient une nécessité sociale et religieuse à cause des écoles centrales surpeuplées.

Par ailleurs, les moyens pécuniaires ne permettaient pas aux missionnaires de construire de nouvelles classes en réponse aux demandes d’entrée des élèves désireux d'instruction. Enfin, ces écoles succursales étaient relativement imposées aux missionnaires par l’Administration coloniale qui souhaitait que les élèves suivent l’enseignement primaire près de leurs villages. Cette décentralisation des écoles évita aux missionnaires la surcharge des frais de l'internat que le gouvernement refusait de solder 1309 .

Image n° 18 : École de brousse, centrale et classe pour orphelin
Image n° 18 : École de brousse, centrale et classe pour orphelin

Source : Revue Qu’Il règne (2001) n° 356, p. 3 ; Revue Les Oblates de l’Assomption, p. 7.

Afin de remédier aux insuffisances religieuses et intellectuelles, les missionnaires eurent un travail en surplus pour assurer une inspection régulière dans ces écoles et chercher à former des moniteurs compétents 1310 . Cette situation fut, dans les années 1951/1952) à l'origine de la création des Écoles d'Apprentissage Pédagogique (E.A.P.) sous la direction des Pères Trudo Joniaux, à Muhangi et de Salvinus Berghoms à Beni.

Comme il s’avérait difficile de dispenser, en deux ans, une formation pédagogique complète, les missionnaires insistèrent surtout sur la méthodologie et l'explication du matériel didactique, dispensèrent un cours succinct de pédagogie, et préparaient avec les instituteurs des leçons modèles. Le swahili, le français, la géographie, l'hygiène, l'agriculture (avec une partie théorique et une autre pratique), le calcul, le système métrique, , la religion, la liturgie, les récits bibliques, le chant, et la gymnastique constituaient le programme scolaire.

Le cycle des Ecoles d’Apprentissage Pédagogique était de deux ans 1311 . La première année, les instituteurs et le directeur lui-même donnaient des cours aux petits enfants devant leurs futurs moniteurs. Ces leçons modèles étaient ensuite discutées ensemble dans les moindres détails. La seconde année, chaque futur moniteur, pendant sa semaine, sous la direction du directeur ou du professeur, mettait en pratique les enseignements reçus.

Ces cours aux futurs moniteurs étaient ensuite discutés et critiqués sous les aspects suivants : la préparation, le matériel employé, le ton de la voix, la discipline en classe, la révision des leçons précédentes, l'exposé de la nouvelle leçon et son contrôle, ses applications, et les conseils moraux qui pouvaient en découler. Au second semestre, le dimanche, les élèves de dernière classe des Ecoles d’Apprentissage Pédagogique, participaient à une conférence sur le travail des catéchistes car, pour les missionnaires, ces écoles devaient servir non seulement à la formation des moniteurs dans les villages mais aussi à celle des catéchistes.

En quittant ces écoles, les « moniteurs-catéchistes » allaient enseigner là où le chef de poste de mission les envoyait. Durant deux ans, leurs enseignements étaient rigoureusement contrôlés. A la fin de ce temps de stage, ils revenaient à l'Ecole d’Apprentissage Pédagogique pour une ou deux semaines de recyclage comprenant certains cours sur lesquels ils subissaient un examen, et le contrôle dans les moindres détails des cahiers de travail.

A la fin de cette épreuve, ils recevaient un certificat de moniteur avec quelques outils de base pour leur travail : des jeux, des cahiers de lecture et de calcul, et un petit bulletin polycopié, Kengele yetu (notre cloche). Le prêtre le visitait aussi régulièrement lors de ses randonnées apostoliques et du contrôle des ses catéchistes.

Grâce aux « moniteurs-catéchistes », les écoles de brousse devinrent viables même si la fabrication du matériel didactique n'était pas parfois adaptée. L’équipement des classes changea : des bancs remplacèrent les genoux ou les troncs d’arbres qui tenaient lieu de pupitres. L'absentéisme des élèves diminuait sensiblement car l’enseignement des « moniteurs-catéchistes » s’améliorait et attirait de plus en plus les jeunes. Les parents eux-mêmes, satisfaits du progrès de leurs fils grâce aux enseignements reçus, veillaient à leur assiduité.

Les missionnaires donnaient aux écoliers des récompenses fabriquées à partir d’anciennes ardoises peintes de couleurs vives selon la régularité des élèves 1312 . Ce fait stimulait l’émulation au milieu des élèves car le port de cette décoration devenait, en même temps, une fierté pour l’élève et ses parents, et un stimulant pour les paresseux blâmés par leur entourage 1313 .

Les Ecoles d’Apprentissage Pédagogiques (E.A.P.) permirent la formation des ‘moniteurs-catéchistes’. Ceux-ci se sentaient plus à l'aise dans le premier degré de l’enseignement primaire que les anciens enseignants qui avaient suivi l'école normale et qui recevaient une formation plus générale.

Ces écoles remédièrent à la pénurie du personnel des enseignants qualifiés et formèrent des personnes au service de la propagation du christianisme 1314 . Elles contribuèrent aussi au développement des écoles primaires dans le vicariat apostolique de Beni car, grâce aux moniteurs-catéchistes, l'enseignement complet du primaire fut organisé dans les écoles centrales comme dans les succursales.

Dans les années 1960, ces Ecoles d’Application Pédagogiques furent supprimées sur l’étendue de la République et devinrent des cycles d'orientation en vue des humanités secondaires. L’Ecoles d’Apprentissage Pédagogique de Beni devint successivement le collège Ruwenzori Saint Kizito (1960-1972), puis Institut Lwanzururu, depuis 1972, lors de la zaïrianisation. Elle reçut les sections littéraires et commerciales, pendant que celle de Muhangi fusionna avec l’école normale de Mulo.

Le cycle de l’école primaire était reparti sur cinq ans dont les deux premières années constituaient le degré élémentaire mais les élèves souffraient du complexe d’infériorité : leurs aînés les appelaient des vipushi, pluriel de kispushi qui signifie « un nul ». Au village comme à l’école, cette appellation humiliante devint, indépendamment des instituteurs ou « moniteurs-catéchistes », une propagande pour persévérer à l’école et une valorisation des plus instruits.

Le programme des écoles était composé de l'abécédaire, la lecture, l'écriture, l'arithmétique, l'hygiène, l'agriculture, du catéchisme et des prières. C'est la raison pour laquelle le Père Romanus Declercq parlait de l'apostolat par l'école. Ce programme relativement varié avait pour but « d'élever l'âme, de former peu à peu l'esprit et le caractère, de lutter contre le vagabondage, la « farniente » et l'égoïsme 1315  ».

Dans ce programme, l’enseignement de l'agriculture ne répondait pas aux attentes des écoliers et de leurs parents. En fait, ils n'y voyaient aucun avantage et ne comprenaient pas sa nécessité et sa valeur à l’école car il le faisait déjà au village. C’est pourquoi, plusieurs élèves, dans les écoles rurales, abandonnaient l'école préférant la vie au village à la contrainte, à l'effort et à la discipline scolaire. L'école de brousse servait ainsi à alléger les effectifs dans le second degré.

Comme le programme de l’école primaire n’était pas obligatoire dans les écoles rurales, plusieurs enfants n’ont reçu que des rudiments d'instruction : apprendre à lire et à écrire, travailler la terre et recevoir des instructions chrétiennes. Néanmoins, ces écoliers aidés par ceux des écoles centrales pouvaient, à leur tour, enseigner leurs compatriotes qui n'avaient pas accès à l'école grâce à leurs connaissances acquises dans le domaine de l’écriture, de l’arithmétique, du calcul mental, de certaines phrases courantes en français, des prières, des récits bibliques, et du catéchisme 1316 .

Toutefois, les élèves désireux de devenir des ‘commis’ dans l’Administration, infirmiers, mécaniciens, chauffeurs, moniteurs ou prêtres étaient fortement intéressés par les études. Ils pouvaient parcourir des distances de plus de deux heures de marche pour fréquenter le second degré dans les écoles centrales. La sanction la plus redoutée était l'exclusion définitive de l'école. En fait, cette mesure disciplinaire, après tant d'efforts, devenait insupportable car les écoliers qui désiraient s'instruire espéraient, par ce moyen, s'émanciper de leur milieu illettré 1317 .

Cette possibilité de promotion était le privilège de la jeunesse masculine. Jusqu'en 1936, bien qu'on signale à Beni en 1930 une petite école fréquentée par des jeunes filles et des femmes, l'enseignement était réservé aux garçons. Il a fallu attendre l'arrivée des Soeurs Oblates en 1936 pour organiser un enseignement scolaire primaire pour les filles. Tout en suivant le programme du primaire, les religieuses cherchèrent à donner aux jeunes filles une formation intellectuelle, morale et pratique durant les trois années du second degré.

Pour atteindre ce but, les religieuses privilégièrent la mémoire et la réflexion tout en éduquant leurs écolières à la discipline afin que celles-ci acquièrent la volonté de devenir une élite au-dessus de la masse anonyme de leurs anciennes compagnes. Les résultats positifs de cette méthode se remarquèrent par la fréquentation régulière de l’école par les filles qui ont perçu la valeur de l’instruction scolaire. C'est pourquoi, elles surmontèrent aussi la fatigue des trajets à parcourir et le refus des parents qui occasionnaient des irrégularités et à la longue l'abandon de l'école 1318 .

Le but poursuivi par les religieuses dans le domaine scolaire était de former à une vie disciplinée faite de générosité dans l'effort, et d’élever le niveau intellectuel et moral de la femme. Ainsi, la formation intellectuelle s'accompagnait aussi de la formation à la personnalité 1319 . Il fallut du temps pour que la formation scolaire féminine atteigne toute la population de la contrée.

En 1950, le vicariat apostolique de Beni comptait seulement quatre écoles primaires pour filles à Beni, à Manguredjipa, à Butembo et à Mulo. Cette situation s'explique par le fait que l'enseignement de la jeunesse féminine était remis entre les seules mains des religieuses. Partout où elles s'installaient, elles ouvraient immédiatement une école primaire pour filles. À Mulo, à Butembo et à Bunyuka, elles parvinrent à créer des écoles secondaires pour les filles persévérantes qui voulaient poursuivre leurs études.

Une question de fond se pose : pourquoi les autochtones s'intéressèrent-ils à l’instruction scolaire ? L'émancipation du milieu indigène encouragée par les moniteurs-catéchistes et les instituteurs formés fut à la base du goût d’être instruit. Pendant qu’ils dispensaient des éléments de la doctrine chrétienne ; les instituteurs instruisaient, éduquaient et participaient à l'évolution lente de la population locale vers la ‘civilisation occidentale’, difficile même à vivre.

D’autre part, la contribution financière du gouvernement de la Colonie, bien qu'elle ne couvre pas toutes les dépenses des écoles, n'est pas négligeable. Grâce à elle, des écoles centrales ainsi que des succursales furent construites en matériel durable, c’est-à-dire en briques couvertes de tuiles pour les classes terminales de l’école primaire. Ces constructions mettaient les élèves dans des conditions et des dispositions favorables à l’étude 1320 .

Cette situation créa un sentiment de supériorité chez les écoliers. Ceux qui suivaient leur instruction dans des classes en pisé enviaient ceux qui accédaient aux classes bien construites car dans la mentalité de la population locale, ceux-ci étaient plus intelligents que les autres. Ce complexe fut accentué par le fait que les élèves moins doués étaient transférés dans les écoles succursales mal bâties et même sous-estimées par les parents des élèves qui considéraient ces écoles comme la dernière chance d’accéder aux études.

Inversement, les plus doués étaient promus par leur tranfert dans les écoles centrales. Cette pratique, bien qu’elle découragea certains, renforça l’enthousiasme pour la fréquentation régulière de l’école 1321 . Il en est sorti une expression encore en vogue : « alisomea Kimbulu ao Nuru », c’est-à-dire il a fréquenté son enseignement des les écoles de Kimbulu ou de Nuru, présumées avoir un niveau inférieur et des conditions peu viables d’études.

Notes
1304.

Gabriel GRISON, Lettre circulaire. Stanleyville, 8 novembre 1932.

1305.

APAR, IL 39 :Marie Jules Celis, Rapport sur la Mission assomptionniste au Congo Belge. Louvain le 28-29 décembre 1934, p. 18.

1306.

« Les écoles en Afrique », dans L’Afrique ardente (1937) n°4, p. 2.

1307.

Cette situation a toujours été racontée par les anciens d’une moyenne de 60 ans devant les réticences des élèves irréguliers. Ils parlent même de la prison pour les parents pratiquant l’école buissonnière, et des chefs des villages fouettés pour avoir caché les jeunes quand ceux-ci se dissimulaient dans la brousse jusqu’à la fin des classes. L’auteur de ce texte se souvient de l’appel de l’instituteur après la seconde messe prévue pour les enfants.

1308.

Vital. STESSENS, « La construction d'une école en brousse », dans Missions Assomptionnistes (1963) n°561, p.23-30.

1309.

Henri PIÉRARD, « Activité missionnaire », dans L’Afrique ardente (1956) n°90, p. 5-6.

1310.

Romanus DECLERCQ, « En brousse. Apostolat par l'école », dans Le Royaume (1958) n°28, p. 4.

Idem, « Un jour en brousse parmi tant d'autres », dans Missions des Augustins de l'Assomption (1956) n°3, p. 6.

1311.

Lieven BERGMANS, Cinquante ans de présence assomptionniste au Nord-Kivu, op. cit., p. 144-145.

1312.

« L'École d'Apprentissage Pédagogique de Muhangi », dans L’Afrique ardente (1955) n° 88, p. 18-21.

1313.

Témoignage reçu de Kasiki Sitone et de Cosmas Kighemba dans notre tendre enfance.

1314.

Romanus DECLERCQ, « En brousse. Apostolat par l'école », op. cit. , p.3-7 

1315.

; Idem, « Un jour en brousse parmi tant d'autres », op. cit. p. 6 ; Idem, « Hygiène ou non », dans Le Royaume (1954) n°2, p. 18.

1316.

Cette situation existe encore dans les villages les plus reculés dans la forêt où la conversation en français n’est pas un secret pour les autochtones qui perçoivent plus ou moins ce dont il est question. S’ils ne répondent pas par les mots-clefs, ils pourront le faire dans la langue vernaculaire.

1317.

L.L., « L'écolier noir », dans L’Afrique ardente (1932) n°3, p. 6 ; Romanus. DECLERCQ,« En brousse », op. cit., p.4-6.

1318.

Témoignages de Charlotte Sekeraviti et ses collègues à Muhangi en septembre 1994.

1319.

Romanus DECLERCQ, « A Beni, négrillonnes en classe », dans Le Royaume (1952) n°4 et (1953) n° 5, p. 3-7 et p. 8-12.

1320.

Henri PIÉRARD, « Une belle étape », dans L’Afrique ardente (1954) n°82, p. 10.

1321.

Mentalité régnante au milieu de la population locale qui va jusqu’à minimiser les écoles secondaires de la brousse ou à mettre en doute leurs diplômes. Henri PIÉRARD, « Activité missionnaire », dans L’Afrique ardente (1956) n°90, p. 6. Romanus DECLERCQ, » A Beni, négrillonnes en classe », dans Le Royaume (1952) n°4, p. 7.