4.7.3. L'hôpital Matanda (1988)

Le dernier hôpital du diocèse est plus récent même s'il trouve son origine dans la période coloniale. Les constructions de l'hôpital de Matanda commencèrent en 1956 suivant le plan quinquennal de l'époque. Mais, les travaux de construction durent être arrêtés lors des évènements de l'indépendance (1960). En ce temps, on s'apprêtait à monter la charpente et la toiture. Aussitôt après l’indépendance, la rébellion (1964-1965), à son tour, détruit les bâtiments qui s'élevaient de terre à tel point que dans les années 1980 il n'en restait que des ruines.

Depuis 1982, Mgr Emmanuel Kataliko songea à relancer les travaux de l'hôpital car la population locale n'avait plus d'espoir dans l’avenir. Il contacta successivement le Gouverneur de la Région du Nord-Kivu et le Commissaire d'Etat à la santé. Ces démarches aboutirent en 1988 à l'autorisation officielle d'achever les constructions de l'hôpital qui devra être, désormais, géré par l'Evêque au nom de l'Etat 1380 . L’évêque se mit ensuite à conscientiser la population locale sur l'importance et la nécessité de cet hôpital à Butembo.

En effet, la cité connaissait une forte croissance démographique. L'hôpital de l'État à Kitatumba dans la cité et celui des protestants à Katwa, à cinq kilomètres de Butembo servaient parcimonieusement les malades. Enfin, les deux grands hôpitaux catholiques du diocèse, Musienene et Kyondo, se trouvent à de longues distances au-delà de 20 km sur des routes impraticables, et parfois les possibilités d'accueil des malades sont limitées à cause de l'affluence des personnes.

En face de cet impérieux problème, la population de la cité créa un comité d'organisation des travaux, lequel comité exhorta la population à contribuer à l'achèvement de leur hôpital par diverses formes d'appui et d'aide selon les possibilité de chacun. Puis, le diocèse fit intéresser l'œuvre à différentes personnes, voire même des touristes de passage. L'Evêque lui-même entreprit des voyages en Europe pour demander de l'aide auprès de certains organismes. L'œuvre de la Sainte Enfance du Vatican, Misereor ( l’organisation catholique d’aide aux pays du Tiers-Monde en Allemagne), et un diocèse d'Italie se montrèrent favorables à la requête.

Dans le diocèse le Prélat venait d'organiser des collectes dans toutes les paroisses. Celles-ci furent stoppées le 25 octobre 1987. Aussi, les membres du Lion's Club ainsi que ceux du mouvement de saint Vincent de Paul se montrèrent généreux. Le 23 novembre 1986, après les célébrations dominicales à la Cathédrale, fut le jour le plus déterminant où l'assemblée populaire prit l'option décisive de reconstruire l'hôpital de Matanda. M. Pembeni en fit le devis. Certains vinrent à proposer que la contribution de toute la population soit obligatoire à la manière des impôts de l'Etat. On préféra un travail de conscientisation faisant appel à la générosité et au sens du bien commun.

Ainsi, avec le soutien de la population et de sa contribution, avec l'aide des subsides étrangers 1381 , l'Evêque, à partir du 25 avril 1986, et l'architecte Mwimbi Cyrille, Supérieur général des Frères de l'Assomption de Butembo-Beni, entreprirent les travaux de reconstruction de l'hôpital Matanda. Ils suivirent d'abord le premier plan de 1956 de l'oncle David. Les réajustements ne vinrent qu'avec l'évolution des travaux et les besoins actuels.

En 1956, l'Administration coloniale belge, contacta le chef de groupement Buyora qui donna la colline de Matanda sur laquelle l'hôpital devrait être construit. Mais, soudainement, les travaux furent gênés par les menaces de certaines personnes qui, depuis les années 1960, avaient érigé anarchiquement leurs domiciles sur les terrains qu'ils avaient illégalement acquis.

Pour ne pas mécontenter la population, le chef de groupement déplaça les habitants de Matanda pour leur donner des terres à Bweteta. Mais, comme l'hôpital était toujours inachevé, certains, avec la complicité des agents locaux du cadastre, s'approprièrent anarchiquement des parcelles 1382 sur la concession prévue pour le bien sanitaire commun.

Matokeo, l'ancien chef de la cité de Butembo, prévint les usurpateurs de ne pas construire en dur sur le terrain de l'Etat afin qu'ils n'éprouvent pas des difficultés majeures à quitter leurs parcelles dans le cas où le Gouvernement venait à revendiquer sa concession pour réhabiliter l'hôpital. Devant ce comportement, Mgr. Emmanuel Kataliko contacta le Conseil exécutif. Compte tenu de l'ampleur des projets à réaliser durant le septennat du social, le Conseil exécutif remit l'hôpital de Matanda, en 1988, à l'Evêque.

Informés de la situation, les occupants illégaux du terrain en connivence avec les agents du cadastre qui leur avaient facilité l'acquisition illégitime de leurs différents titres de propriété brandirent des contrats d'occupation de leurs parcelles. Devant ces faits, le Commissaire de Zone Assistant, Thelemuka Kagazi, convoqua à son bureau les concernés pour les persuader que le problème trouverait une solution dans le calme.

Malgré ces conseils, certains usurpateurs transformèrent un problème purement social en une question religieuse opposant les catholiques aux protestants. Ces derniers prétendirent faussement que la colline de Matanda était habitée par des protestants, raison pour laquelle l'Evêque catholique aimerait les déloger. Il fallu une personne impartiale pour régler ce différend afin que justice soit rendue à chacun. Le Commissaire de Zone Assistant fit appel au Géomètre Tuyekani de Beni à qui il adjoignit M De Comann, professeur à l'I.T.A.V. afin qu'ils délimitent le terrain de l'hôpital. Le géomètre borna le terrain.

Mais, pour semer la confusion, certains protestants venaient nuitamment déterrer les bornes. L'affaire devint si confuse que ni les autorités politiques de la place, ni les services du Tribunal de paix (TRIPAIX), ni le Procureur de la République auprès du Tribunal de Grande instance du Nord-Kivu à Goma ne purent résoudre le conflit. Sur place, à Butembo, le Commissaire de Zone Assistant avec Kyombwe, le chef du groupement, venaient entre temps de trouver un certain compromis en cherchant des terrains en compensation des parcelles acquises illégalement et celle sans numéro de Mr Kanyenze.

Malheureusement les personnes concernées ne voulaient aucun dialogue ni avec le diocèse, ni avec l'autorité civile locale. Bien au contraire, ils engagèrent l'avocat Bahati et se mirent à couvrir d'opprobre l'Evêque et l'Église catholique. Une dernière tentative de réconciliation fut entreprise par le Commissaire de Zone Assistant. Dans sa troisième réunion, il convoqua les deux parties en conflits. Seuls les délégués du diocèse répondirent à la convocation.

Devant le refus d'un compromis, et considérant le fait que presque toute la colline de Matanda était occupée anarchiquement, l'Evêque prit l'ultime décision de suivre les limites de Tuyekani, le géomètre de Beni, et du professeur Mr De Comann. En date du 17 avril 1986, ce géomètre envoya la copie de sa lettre 1383 du 10 mai 1986 à Thelemuka Kagazi, le Commissaire de zone assistant de Butembo, pour lui transmettre les limites du terrain. Ce dernier en informa le Commissaire de zone titulaire de Lubero en lui demandant une intervention rapide 1384 .

Certains occupants comprirent aussitôt qu'ils n'auraient pas gain de cause. Ceux qui possédaient des cases en pisé commencèrent l’évacuation pacifique de la commune. D'autres, qui avaient des maisons en matériaux semi-durables, démolirent leurs maisons en prenant soin de sauver ce qui était encore récupérable. Une maison encore inachevée se trouvait à cheval sur le terrain de l'hôpital et sur la parcelle du concerné. La population locale supplia le propriétaire de construire dans la partie qui ne posait pas problème. Ce qui fut fait. Mais, la maison inhabitée d'un récalcitrant, construite en matériel durable, demeura sur la concession de l'hôpital. Le propriétaire fut surpris de voir un buldozer la la mettre à terre 1385 .

La concession de l'hôpital étant ainsi libérée, les travaux de construction prirent une allure assez rapide en sorte qu'au bout d'une année, le 25 décembre 1987, Mgr Emmanuel Kataliko inaugura officiellement l'hôpital de Matanda 1386 qui fut opérationnel à partir du 07 mars 1987. Il faudra encore attendre l'année 1996, dix ans après les travaux de réhabilitation de l'hôpital, pour participer à son achèvement et pour avoir presque tous les soins sanitaires nécessaires qui répondent aux premiers soins urgents de la population.

Cependant, cet hôpital était-il congréganiste, étant bâti sur la concession de l'Etat et dirigé par l'évêque comme l'Institut Technique Agricole et Vétérinaire (ITAV), une école d'État confiée au diocèse et à la Congrégation missionnaire ? Jusqu'en 1989, l'hôpital de Matanda fut officiellement géré par l'Église catholique mais au nom de l'Etat bien que ce dernier n’ait donné sa contribution ni pour les constructions, ni pour l'équipement de l'hôpital, ni pour son achèvement. Néanmoins, c'est l'Etat qui autorisa la réhabilitation de l'hôpital. Bien plus, en 1989, l'intervention du Commissaire d'État fut un grand soutient du Gouvernement au diocèse. Il demandait au Gouverneur de la Région du Nord-Kivu de dissuader les ex-occupants du terrain de revendiquer de cette concession

Ce fut dans la même année 1989 que Mgr Emmanuel Kataliko eut une audience avec Président de la République, Joseph Désiré Mobutu, à l'issue de laquelle le Président décida que tout ce qui entrait dans la concession de l'hôpital appartenait au diocèse et que si l'Etat venait à récupérer l'hôpital, il restituerait tout ce qui aurait servi à l'achèvement.

Devant cette éventualité, la même année 1989, au cours d'une cérémonie tenue à l'évêché de Butembo, l’évêque confia la gestion de l'hôpital aux Petites Sœurs de la Présentation Notre-Dame en remettant les clés à leur Supérieure Générale de l'époque, la Mère Mukirania Irène. Mais l'hôpital n'était pas encore doté de médecins. Dans un premier temps, les Sœurs durent recourir aux docteurs de Kyondo et de Musienene pour les consultations médicales 1387 .

Cette situation provisoire n'empêcha pas les malades et la population locale d'exercer une pression sur les responsables de l'hôpital afin que ces derniers leur trouvent un médecin permanent. L'hôpital engagea alors définitivement le docteur Mundama Witende dont le mandat venait d'expirer à l'hôpital de Kyondo. Il fut successivement suivi des médecins-chefs, le docteur Kabuyaya Kamenge en provenance de Mweso, et de l'actuel médecin directeur de l'hôpital, le docteur Kakule Ndungo qui travaillait à Bukavu.

Hormis les difficultés du début, les constructions, le terrain, le manque de personnel suffisant et qualifié ainsi que des produits pharmaceutiques de qualité, l'hôpital de Matanda a beaucoup souffert du manque des relations harmonieuses entre le personnel soignant et la Congrégation gestionnaire. Le problème de fond réside dans les différentes visions de la même oeuvre à laquelle tous étaient censés collaborer.

Les infirmiers et surtout les médecin affirmaient que l'hôpital devait avoir un statut d'Etat. Les religieuses faisaient valoir que la nouvelle institution était une Association Sans But Lucratif (A.S.B.L.) dont elles étaient responsables. Ainsi, les religieuses pouvaient-elles s'ingérer dans la gestion de l'hôpital malgré la présence d'un médecin-directeur à qui incombait le travail d'organisation. C'est dans ce contexte que trois docteurs déposèrent leur démission.

Les médecins pouvaient revendiquer les maisons propres qui leur avaient été promises. Mais, l'hôpital, dans les années 1990, se trouvait dans l'impossibilité de les leur fournir à moins qu'il n'accroisse ses emprunts d'argent. En outre, les infirmiers et les docteurs pouvaient aussi réclamer des salaires élevés, menacer de faire la grève et favoriser le laisser-aller à l'hôpital. Une fois de plus, l'hôpital se trouvait dans l’incapacité de rémunérer son personnel à cause de l'endettement des malades, des institutions commerciales et étatiques qui n'honoraient pas leurs factures, et de l'État qui payait arbitrairement le tiers des ouvriers de l'hôpital.

En dehors de ces revendications légitimes difficiles à résoudre à cause de la situation contextuelle du moment, les médecins, à leur tour, pouvaient recevoir de graves reproches entre autres, l'absentéisme au travail, l’accueil d’une clientèle privée durant les heures de prestation, les critiques négatives sur l’hôpital et sa direction, les réunions clandestines 1388 . Ces aspects soulignent la difficulté de collaboration qui a existé entre les ecclésiastiques et les laïcs.

Afin de surmonter ces difficultés, la réunion du 16 février fut décisive pour l'hôpital de Matanda. Il a été demandé à la Congrégation gestionnaire de l'hôpital et aux médecins de savoir respecter le temps libre de chacun en dehors des heures de prestation. Néanmoins, ce respect du temps des autres ne signifiait pas qu'il était destiné à la chasse aux malades par les docteurs au profit des cabinets privés.

Bien plus, les décisions du conseil d'administration et celui de gestion devinrent souveraines. Les deux conseils devaient être redynamisés et convoqués régulièrement. Par ailleurs, l'organigramme de l'hôpital définissant les tâches de chacun entra en application en suivant les statuts des hôpitaux conventionnés catholiques qui n’ont pas de caractère lucratif.

En outre, l'assemblée exigea qu'on affecte le personnel qualifié à la place qu'il faut. C'est pourquoi, on demanda à la Congrégation gestionnaire de l'hôpital de former son personnel en gestion, en administration et en sciences médicales 1389 , et de renoncer à son immixtion dans la gestion courante de l'hôpital. Enfin, les participants à la réunion du 16 février 1992 décidèrent de se mettre à l’œuvre pour garantir les services de qualité à la population et tandis les démissionnaires furent écarter de l'hôpital 1390 .

Parmi d'autres difficultés, l'hôpital Matanda se confronta à l'urgence de la création d'un Institut Technique Médical qui fournirait un personnel et un service de qualité aux malades. Ce problème se posa à la réunion du 5 mars 1989. L'année suivante, le 5 février 1990, il revint sur la table. Bien qu'il fut classé parmi les projets à long terme, ce besoin de personnel et les demandes incessantes des étudiants forcèrent la main aux responsables de l'hôpital qui ouvrirent, dès la rentrée scolaire 1990-1991, une école pour infirmières du docteur Mundama Witende.

L’hôpital est confronté à plusieurs défis : la question des salaires insuffisants, un personnel qualifié en nombre très restreint, un autofinancement toujours maigre, et la difficulté de s'approvisionner en produits pharmaceutiques demeurent 1391 . On ne peut se ravitailler que dans les pays limitrophes ; mais la durée d'attente des produits reste très longue. Ils parviennent à destination avec de la casse, ou périmés à cause de la mauvaise conversation des produits et de l'état déplorable des routes. Ce qui conduit l’hôpital à travailler à perte.

En outre, il faut prendre encompte les malades qui sont soignés gratuitement, les agents de l'Etat et les militaires, et le secours en médicaments des personnes sinistrés par la guerre de libération du Congo. Enfin, on ne peut pas négliger les cas des malades insolvables à cause, soit de leur situation de misère, soit de leur mauvaise volonté. Certains pensent qu'ils sont exemptés des factures parce qu'ils auraient contribué d’une manière ou d’une autre à la construction de l'hôpital.

En dépit de ces difficultés, qui sont communes aux hôpitaux du diocèse de Butembo-Beni, l'hôpital Matanda connaît une forte affluence des patients de la cité et des alentours. Il reste un lieu privilégié d'apostolat pour les Petites Sœurs de la Présentation de Notre-Dame. Elles enseignent aux malades le sens chrétien de la souffrance et de la mort, et l'espérance dans la résurrection du Christ.

Bien plus, les Sœurs responsables des malades ne cessent de les visiter et de les réconforter par leur présence parfois silencieuse, parfois priante et parfois accompagnée d'un petit geste discret et ponctuel d'assistance pour les plus nécessiteux. Par ailleurs, elles doivent inciter le personnel soignant au sens de la responsabilité, de l'unité, de la collaboration, de la conscience professionnelle, et de l'accueil des malades car ces vertus attireraient la sympathie des malades qui se sentiraient aimés et bien soignés. Elles l'invitent enfin à écarter comme une peste toute critique destructive entre les membres du personnel 1392 .

Soucieux du bien spirituel des malades, Mgr Emmanuel Kataliko fit venir de Boxton, en Hollande, en 1987, le Père Edmondus Verman, assomptionniste, qui y résidait pour un repos après ses années de mission au Congo dans le diocèse. Ce Père, ancien professeur de latin et d'anglais au petit séminaire de Musienene (1965-1978), se consacrait à la paroisse aussi bien qu'à l'aumônerie à l'hôpital du lieu. Il revint au Congo pour une durée de quatre ans (1989-1992) pour ce ministère spécifique en assurant l’aumônerie dans les communautés religieuses des Petites Sœurs de la présentation environnant leur maison généralice. A son retour définitif en Europe, les prêtres de la cathédrale prirent la relève.

Notes
1380.

ZAMANI NDEKENINGE, Compte rendu de l'Assemblée générale sur l'hôpital Matanda-Butembo du 2 novembre 1987, p. 1-2.

1381.

Hormis l'apport du diocèse et des paroisses construisant les pavillons 1, 2, et 3, il faudra relater la contribution des hommes de bonne volonté, notamment les Petites Soeurs de la Présentation Notre-Dame qui construirent les pavillons n°4, 5 et 8, de Mbanga Joseph, un protestant, avec son pavillon n°§, des membres du Lion's Club et du groupe de saint Vincent de Paul dont les pavillons n° 7 et 9 portent respectivement leurs noms, de M Pay Pay qui s'engagea pour le pavillon n° 10, et de l'autofinancement de l'hôpital qui acheva le pavillon n°11 portant le nom de clinique Mater Stella qui reçut comme premier malade le Père Edgar Cuypers des Assomptionnistes. Nous ne pouvons pas manquer de souligner l'aide extérieur notoire d'un diocèse d'Italie dont ne nom ne se trouve pas dans les archives, Miserior et l'oeuvre de la Sainte Enfance à qui on a donné le nom d’un pavillon.

1382.

Il s'agit des 25 parcelles enregistrées sous les numéros 22, 48-55, 80-90, 92, 100-103 et d'une autre sans numéro appartenant à M Kanyenze.

1383.

La copie de cette lettre du 10 mai 1986 porte le n°2448.3/B.C.F./003/86

1384.

Il s'agit de la lettre n°5072/258/D.35 du 8 octobre 1986.

1385.

Rapport de Thelemuka Kagozi, Commissaire de Zone Assistant. Butembo, le 9 octobre 1986, p. 1-2.

1386.

À cette date, l'hôpital comprenait un dispensaire, une maternité, le Pavillon saint Vincent de Paul, et une salle d'hôpital.

1387.

KASWERA MATHE, Evolution des activités de l'hôpital Matanda depuis sa création jusqu'à nos jours. Procès cerbal de la Réunion du 12 avril 1997, p. 1-2.

1388.

Jean.Marie KALONDERO, Compte rendu de la rencontre du 15 au 16 février 1992 avec le Médecin Inspecteur Régional au sujet de l'hôpital Matanda. Butembo, le 16 février 1992, p. 1-2.

1389.

Observation de l’auteur.

1390.

Jean.Marie Kalondero, Compte rendu de la rencontre du 15 au 16 février 1992 avec le Médecin Inspecteur Régional au sujet de l'hôpital Matanda. Butembo, le 16 février 1992, p. 1-4.

1391.

Kaswera Mathe, Comptes rendus des Réunions Ordinaires du Comité de Gestion. Butembo, le 9 septembre 1996, p. 3-4, Butembo, le 12 avril 1997, p. 3-5, et Butembo le 8 mai 1995, p. 3-8.

1392.

Entretiens informels du 15 au 20 septembre 1997 avec les Soeurs Katina Nzondero, docteur de la place, Régine, infirmière du même hôpital, et des membres de la famille lors de notre hospitalisation.