Ce travail de thèse est le résultat d’une tentative d’union anthropologique entre la fête et le politique, entre l’univers sensible et collectif de l’imaginaire et celui plus rationnel des affaires publiques. J’ai voulu ainsi explorer l’interstice qui réside entre poésie et raison en vivant le carnaval, univers culturel de folie sociale.
Mes remerciements s’adressent tout naturellement à mon directeur de thèse, M. François Laplantine, pour m’avoir soutenu et orienté ainsi que pour m’avoir accordé sa confiance dans ce projet ambitieux.
Il m’est agréable de remercier aussi les membres de l’Ordre Gôniotique de Chalon-sur-Saône, celles et ceux de la compagnie Pôle-Sud à Saint-Gilles de La Réunion, celles et ceux de la Fédération des Festivals et carnaval de Guyane et tous les membres du groupe « Scorpion » de Cayenne.
S’il est évident que je ne peux ici être exhaustif, je tiens toutefois à remercier André Revenat, de Chalon, Anne Savet, de Saint-Gilles et Josette de Cayenne qui ont été mes principaux informateurs.
Qu’il me soit également permis ici d’adresser le témoignage de ma gratitude à ceux de mes proches, Paquita, Achille et mes parents, qui ont accompagné et soutenu mon travail, tout au long de ces six années.
Je mets également à part les noms de ceux qui, outre leur fonctions universitaires, m’ont fait partager leurs compétences : MM. Denis Cerclet et Lionel Obadia.
Lolita et Eric pour leur accueil réunionnais sans détour et leur hospitalité ainsi que tous mes généreux hôtes guyannais.
Didier pour son aide logistique, son dévouement et son secours matériel.
Nadège, Damien et Amandine qui sont devenus mes premiers lecteurs vigilants.
Céline pour sa patience, son expérience et à qui je dois une critique précieuse de l’écriture et des conseils pour la mise en forme finale.
« Le désordre, c’est l’ordre moins le pouvoir. »
Léo Ferré, Il n’y a plus rien, 1973