Mes remerciements s’adressent tout d’abord à mon directeur de thèse, Gérard Claisse, qui m’a suivie avec rigueur et patience dans la construction de ce travail dont il est l’instigateur. Je tiens à lui exprimer toute ma gratitude.
Je remercie tout aussi sincèrement et chaleureusement Pascal Pochet, qui m’a consacrée beaucoup de son temps. Ce travail doit beaucoup à ses relectures critiques et minutieuses, à ses conseils ainsi qu’à son soutien sans faille.
Merci à Lourdes Diaz Olvera et Didier Plat qui ont accepté de lire et de commenter certaines parties de cette thèse. Leur écoute, leur gentillesse et leurs encouragements à persévérer dans les moments les plus difficiles m’ont beaucoup aidée. Je souhaiterais également remercier Dominique Mignot pour la confiance qu’il m’a témoignée tout au long de ces années ainsi que pour l’intérêt qu’il a accordé à cette recherche.
Un grand merci à toute l’équipe du Laboratoire d’Economie des Transports pour son accueil chaleureux, sa solidarité et sa bonne humeur. Je remercie tout particulièrement Marie Blanchard, Jean-Pierre Nicolas, Martine Sefsaf et Florence Toilier pour leur aide en diverses circonstances. Merci à Marie-Andrée Buisson pour m’avoir encouragée à entreprendre cette thèse.
Ces années n’auraient pas été les mêmes sans les amitiés qui les ont accompagnées. J’ai une pensée particulière pour les anciens et actuels doctorants ou post-doctorants du LET avec lesquels j’ai passé d’excellents moments : Anne, Bibata, Céline, Gérard, Isabelle, Lisa, Sahab, Valérie, Wafi.
Un grand merci à mes amis de longue date, Laurence, Salima et Thomas, qui ont toujours eu le bon mot au bon moment. Merci à Brian, Céline, Christèle, Solange et Stéphane, qui grâce à leur humour, m’ont aidée à garder le moral et la motivation. Merci aussi à Michel et Sylvie pour leur attention constante qui m’a beaucoup touchée.
C’est avec émotion que je tiens à remercier mes parents, mes grands-parents et ma sœur adorée, Gigi. Leur affection, leur générosité et leur complicité m’ont été d’un grand réconfort.
Enfin, je te remercie Pierre. Malgré les moments de doutes et d’angoisse, nos années de thèse resteront, sans aucun doute, d’excellents souvenirs. Au jeu de la rapidité tu as gagné et il était temps que j’en termine !